Son père lui laissa deux jours de répit avant de faire intervenir les serpents. En les voyant arriver, elle comprit tout de suite ce qui l'attendait. Mais Ali et Ahmed qui avaient été les officiants du supplice pour Aurélia  et Cyrielle étaient morts ! Elle se laissa faire lorsque les esclaves les remplaçant, avec  des mots d'excuse à peine prononcés, lui lièrent bras et jambes, immobiisant, également son bassin.

Comme pour Aurélia et Cyrielle, les serpents lovés entre les cuisses ouvertes et attirés par les odeurs intimes furent d'une grande efficacité pour faire, avec leurs langues butinant sa tigelle, monter Khadidja au sommet de la jouissance, affolant son coeur qui battait à éclater
Comme pour ses deux amies la jouissance se transforma en douleur légère, puis en souffrance de plus en plus intense au fur et à mesure que les langues diaboliques faisaient naître orgasme sur orgasme, vidant le sexe et les nerfs de la Princesse, qui, elle aussi, finit  par s'évanouir, le corps tordu par les spasmes !

Mais le plus dur fut la dernière épreuve: Amenée debout et nue au centre d'une grande pièce sous un portique dont les longues lanières lui tendirent les bras en croix vers le ciel, alors que, les pieds écartelés, étaient rattachés à des anneaux scellés dans le sol. Elle resta liée, ainsi, seule, pendant de longues minutes.Puis entra la geôlière qui occupait la chambre contigüe à la sienne, le regard toujours aussi brûlant de haine et tenant une longue cravache !

Face à la princesse, elle se déporta, un peu, sur le côté pour frapper plus à son aise. Le premier coup toucha les seins dont  les pointe,aussitôt se durcirent. le deuxième cingla le corps au niveau du nombril! Khadidja se mordait les lèvres pour ne pas crier. Le troisième toucha les cuisses et le pubis, striant la toison et délogeant le clitoris de son abri. Des larmes coulèrent alors sur les joues de la Princesse, songeant à la souffrance qu'elle avait fait subir à Aurélia !
Sa tortionnaire passa derrière elle et lui cingla le dos et les fesses plusieurs fois. Khadidja s'était mis les lèvres en sang à force de les mordre, mais elle ne criait pas! Revenant face à elle, son bourreau, par deux fois, lui fouetta les seins et, dans un dernier coup particulièrement puissant et habile en frappant de bas en haut, elle cingla la fente du sexe écartelé ! Dans un spasme de douleur, Khadidja s'évanouit, pendant, toute molle au bout de ses liens ! Caché dans la chambre voisine, son père avait assisté au supplice sans broncher et pénétrant dans la pièce au comble de l'émoi, il viola la geôlière ! !

Au moment où la Princesse souffrait mille morts, après avoir fait souffrir celles qu'elle devait, ensuite aimer, Cyrielle et Aurélia filait le parfait amour au coeur de la petite oasis, lieu de rendez-vous hypothétique avec Khadidja !
L'hôtel était confortable, luxueux même, alors que le désert était à moins de cinq minutes de marche de leur chambre. L'oasis était un petit morceau de paradis, peut-être simplement à cause de l'environnement ascétique du désert, face à la palmeraie croulante de dattes, aux bosquets de lauriers roses, aux gazelles broutant l'alfa. Les cigognes de retour au nid chaque soir, après avoir vu défiler les dunes sous leurs ailes immenses claquaient du bec face à face au milieu du nid., Les fennecs côtoyant les chiens africains, jaunes efflanqués et se battant pour trois ordures nauséabondes !
Les deux amoureuses vivaient dans ce décor, un peu artificiel, en glissant du lit de tendresse à la fraîcheur de la douche, du baiser à la caresse, totalement attentives  à l'autre, à chaque moment et attendant, sans trop y croire, à l'arrivée de Khadidja  !

Peut-être  cette affirmation vous intrigue-t-elle peut être même vous choque-t-elle ! Et pourtant si vous regardez autour de vous et si vous écoutez vous vous apercevrez que partout dans le monde  et quel que soit l'acte accompli, les circonstances et  les raisons de l'avoir fait, vous vous apercevrez qu'une  infime minorité de ceux et de celles qui ont eu ce comportement se considèrent comme des héros !
Si vous les interrogez, sur leur geste,et sur les raisons pour lesquelles ils l'ont accompli, pratiquement tous vous répondront  "Qu'ils n'ont fait que leur devoir!" certains ajouteront même je l'ai fait par instinct, par évidente nécéssité d'agir. Un exemple classique étant celui d'une personne  voyant une autre personne tomber à l'eau ou s'y jeter plonge aussitôt pour tenter de ramener celle qui est en danger sur la terre ferme.
Ce geste courageux mais naturel pour un certain nombre ne les pousent pas à se considérer comme des héros! Certains même pousseront la modestie jusqu'à se confondre avec la foule au sortir de l'eau et disparaître discrètement.
Seulement voilà, sur la berge il pouvait se trouver des dizaines, peut-être même des centaines de spectateurs qui , eux, n'ont pas bougé le petit doigt pour aider la personne en danger,: Par égoïsme, par indifférence par peur ou par lâcheté plusieurs motifs sont possibles ,peu importe lequel, mais ils n'ont pas bougé !
Et ce sont ces gens là qui, pour se dédouaner moralement de leur non intervention, vont déclarer que le courageux sauveteur est un"héros" et leur réaction sera reprise par les médias, journaux, radios ou télévisions!
Et tout ce bon peuple sera heureux de se sentir protégé contre eux-mêmes et leur manque de courage ou leur peur ou leur lâcheté.
C'est pour celà qu'ils montrent le courageux sauveteur du doigt comme pour en faire un bouc émissaire du courage qu'ils n'ont pas eu !
Il n'est pas question de jeter la pierre à tous ceux qui n'ont pas voulu ou pu réagir au bont moment d'autant plus que certains d'entre eux ne savaient même pas nager et auraient transformé un acte de courage en quasi suicide Mais ce que j'admire chez ceux qui ont accompli un acte héroïque, c'est cette évidence de constater qu'ils ne pouvaient pas faire autrement que de se jeter à l'eau!
Si j'écris celà c'est à propos du dernier poilu auquel les autorités ont rendu un juste hommage hier, alors que ces dernières volontés étaient surtout pas de manifestations, pas d'Arc de Tiomphe, pas de défilé militaire !
Alors que ce dernier survivant d'une abominable boucherie a accompli un miracle, c'est dêtre resté vivant pendant toute la durée de la guerre alors qu'il s'était engagé volontaire dans la Légion dès les premiers jours du conflit. Mais çà c'est la part du Destin. Alors que son acte personnel il l'a accompli des centaines de fois comme infirmier brancardier dont le rôle était d'aller, en rampant sous la mitraille, chercher des camarades blessés et restés sur le terrain pour les ramener hors de portée des feux de l'ennemi et de les conduire en lieu sûr où ils seront soignés! Cà c'est du courage à l'état pur et du courage répété de très nombreuses fois! Et vous avez pu constater lors de ses interviews qu'il ne se considérait oas du tout comme un héros, sa modestie était confondante. Mais son héroisme ce n'est pas lui qui en a décidé mais la SOCIETE et tout particulièrement, puisqu'il s'agit là d'actes accomplis en guerre, comme presque toujours dans ce cas là, héroïsme déclaré notamment par ceux qui avaient trouvé le moyen de se planquer à l'arrière à l'abri des bureaux et des postes sans danger !
Et pour finir dans un autre genre d'héroïsme je voudrais rendre ici hommage à Madame Humbert dont on a tant parlé ces temps ci et dont l'héroisme pur a été souillé par les dirigeants irresponsables de tous poils!
Mais elle ne s'est jamais considérée comme une héroïne mais simplement comme une maman!

Les deux adolescents noirs savaient que la Princesse aimait être investie par ses deux béances à la fois et ne se privaient pas de la satisfaire, avec leurs membres impressionnants, et en la limant à contre temps pour la faire délirer plus encore, et nager dans un marécage de cyprine mêlée aux semences jumelles jaillies des deux tiges noires !

Mais ce qu'elle aimait avant tout, c'étaitent les somptueux dîners qu'elle faisait arroser de champagne dont elle avait pris l'habitude. Ce vin des dieux la mettait dans un état d'euphorie grandissante au fil des minutes. Alors commençait la ballade des corps en folie, se mêlant, s'enfourchant, se confondant dans la pénombre, et mieux encore dans l'obscurité totale permettant de ne plus savoir qui vous caressait, vous possédait, vous inondait et vous faisait jouir !

Le destin agit, parfois,cruellement et vite. Cette fois ce fut contre Khadidja qu'il entra en action:Un soir, à la nuit tombante,un homme se présenta dans la maison de la Princesse et demanda à lui parler. C'était le même homme, très grand, très noir et très barbu qui avait proposé à Aurélia au début de ses aventures de rencontrer Khadidja !

Il était là, maintenant, debout dans la grande pièce de séjour, vêtu du costume noir que reconnaissait Aurélia. mais c'était à la Princese qu'il s'adressait, pour lui annoncer calmement, de sa voix grave, que l'Emir était au courant de sa façon de vivre, qu'il était entré dans une énorme colère et qu'il exigeait que Khadidja, toutes affaires cessantes regagne au plus vite le Palais et définitivement !

Au cas où la Princesse n'obeirait pas, son père utiliserait la manière forte et la répudierait ! Puis sans un mot de plus et sans un regard pour les autres femmes présentes, il tourna les talons et disparut.
Khadidja s'effondra en larmes sur le grand canapé témoin de tant de moments intenses, entourée de ses trois compagnes qui tentaient, en vain, de la consoler ;

La Princesse savait qu'elle ne pouvait enfreindre les ordres de son père, sous peine de mettre sa vie en danger, mais aussi celles d'Aurélia, de Cyrielle et de Nadia !
Elle devait agir vite, ce qu'elle fit...En donnant, à Aurélia, par devant notaire, et malgré ses protestations, la maison qu'elles occupaient, qui avait été leur paradis temporaire! Et en cadeau d'adieu, leur offrit, à chacune, un lourd collier d'or assorti aux bracelets qu'elles portaient toutes les trois depuis le début de leur vie commune !

Aurélia n'admettait pas ce diktat de l'Emir, s'imposant comme un tyran dans la vie de sa fille. Aussi proposa-t-elle à la Princesse, aussitôt qu'elle serait partie, de gagner en compagnie de Cyrielle, un petit oasis, situé en bordure nord du Sahara et d'y attendre Khadidja si elle pouvait quitter le palais.

La Princesse, entendant celà, fondit en larmes de reconnaissance, en acceptant l'idée, mais en sachant qu"elle n'aurait certainement pas la liberté pour rejoindre les deux jeunes femmes.
Elle avait agi vite, mais probablement pas assez au gré de son père, car, trois jours plus tard, en début de nuit, quatre sbires vêtus de noir et barbus, sans un mot l'empoignèrent sans ménagements et l'embarquèrent dans une grosse limousine noire, arrêtée devant la porte, moteur tournant.
La Princesse enlevée, sans aucun bagage, la voiture démarra en trombe en faisant gicler les cailloux.! Le départ n'était pas discret, tout le voisinage s'en rendit compte!
Un bref moment plus tard, Khadidja se retrouva assise au fond de l'avion de son père qui décolla aussitôt pour la ramener au fond du palais paternel !

Au sortir de leur sieste, leurs mains se font papillons voletant sur le corps du  demi-frère,et déjà leurs virilités sortent de leur torpeur. Alors  ils se basculent, tête-bêche, pour mieux contempler et désirer la tige quis se tend vers  leur visage avec son dôme violacé au méat entrouvert et couronné des gouttes translucides d'un désir, vite gobé !
Lentement ils se butinent, se hument, se caressent les narines en éveil, avides des senteurs troublantes de leurs humeurs viriles ! Puis doucement  ils s'embouchent allant et venant tout en respirant sur le bout de leurs doigts  les moiteurs endormies dans le duvet de leurs étoiles mauves qui palpitent doucement.
A nouveau ils se butinent et s'engobent jusqu'aux jaillissements blancs qu'ils mêleront sur leurs lèvres.
Allongé sur le ventre, cuisses ouvertes, le premier qui a joui accueillera en lui son amant jusqu'à ce qu'il fuse à son tour !

Aurélia se sent devenir malheureuse !  Malgré la vie dorée que lui offre la Princesse, toujours aussi amoureuse, et la superbe clientèle qu'elle est entrain de se faire grâce à sa protectrice, et qui fait qu'on lui déroule le tapis rouge, chaque fois qu'elle paraît dans sa Société  !
Elle est triste parce que la montagne de chair graisseuse qui enveloppe Khadidja lui donne de moins en moins envie de plonger entre ses cuisses pour la faire jouir, mais bien plus encore parce qu'elle sent que Cyrielle est entrain de se détacher d'elle, irrésistiblement attirée  par la beauté et la délirante sexualité de Nadia !
La Marocaine, maintenant amoureuse avec son coeur autant qu'avec son corps, fait tout pour attirer entre ses bras la jeune femme blonde qui la fascine ! En lui offrant tout ce qu'elle possède de sensualité. Et en y ajoutant les puisssantes effluves émanant de son corps de femme et d'Africaine et qui font délirer Cyrielle, elle aussi de plus en plus amoureuse !
Nadia  pour joindre l'utile à l'agréable, a su l'initier aux délices que sont capables de lui apporter, en même temps Ali et Ahmed alors que Nadia lui dévore la bouche, les seins, et le bourgeon en folie !

Aurélia sait tout celà et en souffre, mais supporte par amour. Jusqu'au jour où tout craque et elle explose ! Il fait chaud, il fait nuit, Cyrielle est étendue sur leur lit commun et se caresse doucement, humide et offerte. Alors bondissant de rage et d'amour conjugués, Aurélia se jette sur elle, la gifle, lui tire les cheveux, lui mord les seins et griffe son pubis en violant sa vallée et son anneau avec ses doigts plantés et mis en pinces !
Cyrielle retrouve un peu de cette étonnante jouissance qu'elle avait déjà éprouvée lorsqu'elle avait été battue, liée sur son lit dans le palais de l'Emir. Alors, par provocation elle demande:
-"Continues, tu vas me faire jouir !"
A la fois décontenancée et folle de rage, Aurélia va chercher des collants dans sa commode et attache les membres de sa compagne aimée aux quatre coins du lit !
Elle possède aussi, une cravache, cadeau de Khadidja qui ne dédaigne pas d'être battue, elle aussi, dans ses moments de délire!
Empoignant cette longue tige de cuir souple, elle se rue sur Cyrielle et commence à la fouetter.Sous l'impact des coups, la jeune femme se raidit, dominée d'abord par la douleur. Puis, encore timide, le plaisir apparaît. Ses seins durcissent, dont les pointes se dressent. Son sexe s'épanouit et se mouille, son bourgeon jaillit de son abri, elle ondule du bassin, sa tête va de droite et de gauche. Elle sent venir l'orgasme!
Aurélia, folle de colère, frappe toujours, les zébrures strient, maintenant le corps de Cyrielle, mais sous la douleur, son adorée monte vers le plaisir en se mordant les lèvres !

Quand  on voit le nombre de navets inconsommables qui sortent sur les écrans, on se dit que lorsqu'un individu n'a aucun talent, d'aucune sorte et qu'il ne sait pas quoi faire de ses dix doigts et moins encore de son cerveau qui sonns le creux il fait un film! (Que les auteurs de chef-d'oeuvres cinématographiques me pardonnent car ils existent, mais ils ne sont pas très nombreux)
Et le pire c'est que ces navets inconsommables, il se trouve des directeurs de chaînes télévisées pour les programmer sur leurs écrans et celà même plusieurs fois de suite ! Histoire, sans doute de pouvoir boucher un trou dans leurs grilles. Non je ne donnerai pas de noms ni de titres mais vous les aurez sans doute reconnus tout de suite !

Des têtes à claques, il y en a partout, mais on les remarque plus particulièrement à la télévision. Elles sont le plus souvent animateurs ce qui souvent ne les empêche pas d'être producteurs mais aussi journalistes, ou supposés tels ! Et elles pérorent des heures entières, pour ne rien dire, ou si peu,  les binocles sur le sommet du crâne et l'air inspiré, ponctué de Heu!!!!!, de Voilààààà! ou de Hein!

Et ceux là sont particulièrement nuisibles  parce qu'ils reviennent souvent à l'antenne, certains même tous les jours et plusieurs fois par jour. Et parfois, pour faire bon poids on les rediffuse la nuit, toujours pour boucher des trous dans la grille ! Vous ne voyez pas de qui je veux parler ? Oh si réfléchissez cinq secondes et vous en trouverez sûrement plusieurs !
Il y a aussi celles qui sont déguisées en pétasses, blondasses pouffiasses et qui courent les castings, un micro à la main pour partciper à des concours de radio-crochets parce qu'elles se prennent pour Edith Piaf ou Dalida ou Aretha Franklin !

Des têtes à claques on en rencontre aussi beaucoup et souvent dans les administrations et celles là aussi sont dangereuses parce qu'ells sont investies d'une petite parcelle de pouvoir et qu'elles en usent et en abusent à plaisir. Jusqu'à faire tourner en bourriques les administrés qui ont affaires à elles ! Celles là on aurait envie de les prendre par le colbaque et de les étrangler !

Il y en a aussi sur les routes et les autoroutes. Celles là sont terriffiantes, souvent jeunes et roulent à fond la caisse dans des bagnoles pourries aux moteurs truqués, qui plus est, avec la sono à fond, la casquette à l'envers et la canette ou le joint à la  main ou aux lèvres !  EIles sont des adoratrices de la queue de poisson ou du doublage par la droite et souvent on les retouve à l'aube, pantins désarticulés dans un champs en contrebas de la route et bonnes pour la morgue !

D'autres encore font de la politique, ou du syndicalisme. dans ce cas là elles sont péremptoires souvent agressives et prétentieuses quand elles n'ont pas de bons argument à proposer à leurs éventuel électeurs ou  syndiqués.

Mais les plus  nocives  et malheureusement nombreuses sont celles qui divorcent pour un oui ou pour un non, deux fois, trois fois parfois plus encore, simplement pour aller voir ailleurs si c'est mieux, et pour aller tremper leur biscuit dans une autre cuillère (ou inversement!) sans soucis des ravages causés dans la vie de leurs rejetons qui n'y sont pour rien mais qui subissent la calamité et entrent en malheur !

Et puis, mais heureusement elles sont rarissimes, il y a celles qui hantent les flanccs des montagnes pour abattre des ourses ou des loups en disant qu'elles ont été attaquées !
Le champs d'investigations est vaste et nullement exhaustif mais on ne peut toutes les inventorier !