Dans l'état de béance orgasmique où se trouvait Khadidja, d'un regard discret, Aurélia surveillait l'heure qui, pour elle, s'écoulait trop lentement. Pendant que la Princesse reprenait son souffle, elle se laissa glisser vers le bas du lit et entreprit  une sensuelle caresse des pieds aux orteils boudinés et ronds, mais moites comme elle aimait !

Sous l'effet de ces caresses, les cuisses énormes et luisantes s'ouvrirent. Derrière la toison crépue les nymphes se décollèrent dans un chuintement  mouillé tandis que plus haut, apparaissait l'énorme bourgeon prêt à éclater. Comme lors de leurs étreintes chez Khadidja, Aurélia réussit à s'infiltrer pour  coller les deux sexes l'un à l'autre. dans un clapotis, les deux cloaques se firent ventouses; L'ondulation des deux corps imbriqués les mena ensemble, vers l'explosion, les coulées de liqueur se mélangèrent et l'atmosphère devint océanes !

Aurélia, malgré sa tension nerveuse n'avait pas échappée au violent orgasme de son sexe soudé à celui de la Princesse. elle se laissa aller dans la béatitude de l'après-jouissance puis se leva pour aller se servir une coupe de Champagne tenu au frais dans un seau emperlé de buée. Khadidja n'en buvait pas !
L'instant approchait, l'arabe regardait Aurélia avec des yeux noirs profondément cernés de mauve, exprimant sa tendresse. Au bout de quelques moments elle murmura:
-"Je voudrais encore tes doigts et tes lèvres en moi ! Viens!"

La demande allait exactement dans le sens de la stratégie d'Aurélia, qui, sans se presser se glissa sur le ventre , entre les cuisses à nouveau béantes !

Grisée par les effluves de cyprine elle remonta jusqu'à le fourche offerte, écartelée. Ses doigts, puis ses lèvres entrèrent en action. Khadidja recevait ces caresses avec des feulements de panthère. Les coulées de liqueurs reprirent; Aurélia s'y abreuva jusqu'au moment ou sa fureur de vengeance déborda !

Alors, de deux doigts, elle écarta à fond le capuchon, faisant jaillir la grosse amande hors de son abri. puis retirant sa langue qui lêchait et pinçait encore, ivre de haine, elle mordit sauvagement en tirant, le gros bouton, tout en mettant sa main sur la bouche de Khadidja pour étouffer son hurlement de douleur! La Princesse s'évanouit !
Le sang jaillit, Aurélia se redressa vivement et quitta le lit trempé dont les draps se teintaient de sang. Elle s'essuya les lèvres avec le bord du tissu, puis rapidement se rhabilla, en regardant, encore, avec haine, mais aussi avec pitié, le corps de la Princesse évanouie !
L'instant d'après, en douceur, elle ouvrit la porte de la suite et se glissa dehors. Descendant l'étage unique, elle s'assura que personne ne pouvait la voir au rez de chaussée et quitta l'hôtel sans aucun bruit.
Là-bas, à cent mètres, sa petite voiture l'attendait, avec Cyrielle au volant. Elle sauta, en voltige, sur le siège passager et la voiture quitta silencieusement sa place. Elles échangèrent un regard  et Aurélia fit un signe de tête.
Ses yeux étaient voilés des larmes de la douleur d'avoir dû agir avec autant de sauvagerie, mais soulagée d'avoir vengé Cyrielle et elle-même, des flagellations des viols et des serpents qu'elle avaient subis au palais !
Elle se rappelait, en outre que l'excision était une pratique encore tout à fait courante dans la partie du monde où vivait Khadidja !

Pour Aurélia et Cyrielle, se retrouver dans les bras l'une de l'autre, chaque soir, était un bonheur toujours renouvelé. Dîner en tête à tête en partageant le récit de leur journée, regarder la télévision blotties l'une contre l'autre, se glisser ensemble,nues, dans le lit en retrrouvant la douceur du grain de peau et le parfum de l'amie, jouir sans fin de caresses réciproques, quel fabuleux plaisir !

Un matin ensoleillé, alors qu'elle prenaient leur petit déjeuner, elle virent s'arrêter devant la maison, une Rolls-Royce, conduite par un chauffeur. Le temps d'échanger un regard, et malgré les vitres teintées de la limousine, elles surent que la Princesse était arrivée.
Effectivementn deux minutes plus tard, toutes voiles dehors, Khadidja était dans la cuisine, souriante et sentant une délicieuse odeur de café, en demanda une tasse !
Aurélia, sans commentaires superflus prit la parole/
-"Pour respecter nos conventions et pour que vous y trouviez un confort plus grand que celui de la maison; j'ai retenu une suite dans un relais chateau proche d'ici où vous pourrez vous installer pour le dîner et pour la nuit.
Mais nous y serons seules toutes les deux, car Cyrielle ne sera  sans doute pas rentrée d'un vol qu'elle doit effectuer aujourd'hui pour votre p^ère. celà vous convient-il ? La Princess demanda:
Cyrielle ne pourrait-elle pas nous y rejoindre? j'aimerais tant vous voir vous caresser toutes les deux !
-"Si je ne reviens pas trop tard dans la nuit, je pourrais venir vous retrouver !

Un peu avant l'heure du dîner, Khadidja vint chercher Aurélia avec sa Rolls. Et à peine enfoncée dans les profonds coussins de cuir de la voiture, Aurélia fut submergée de caresses par la Princess impatiente de retrouver le corps de  la jeune femme!

Le trajet fut bref, le relais- château, prévenu attendait Khadidja, conduite directement dans sa suite. Elle commanda le dîner qui devait être servi sur place.
A peine le majordome était-il sorti que déjà elle était à demi-nue sur le lit tendant les bras à Aurélia qui s'allongea mais ne voulut pas commencer les caresses avant le dîner. La Princesse un peu contrariée, se caressa seule, pour se stimuler en attendant les hors d'oeuvres !
Quoi que délicieux, le dîner fut vite consommé. Khadidja était presque nue et continuait à se caresser sous la table, tout en mageant avec ses doigts,sans doute pour assaisonner la nourriture de sa  liqueur marine ! Tandis qu'Aurélia pensait à l'éxécution de son plan et à la synchronisation de l'action prévue avecCyrielle.
A peine la table desservie, elle fut assaillie par l'énorme masse graisseuse, aux seins géants, aux tétons noirs et durs qui l'écrasait sur le lit en l'étouffant presque et cherchant à la violer de ses doigts boudinés.

Alors Aurélia entra en action et ce fut elle qui, violant d'un doigt l'anneau plissé, en plongeant deux autres dans le sexe pour le masturber en pince et écrasant  le clitoris en tournant du gras du pouce fit bondir Khadidja vite et fort. Un bref instant plus tard, le corps de l'arabe était en arc de cercle et les draps s'inondaient de coulées odorantes et nacrées !

Effectivement, une heure plus tard, elles étaient en plein ciel. Cyrielle  retrouvait son avion et son équipage, et le copilote la couvait toujours d'un regard de langouste amoureuse qui l'agaçait profondément !  Il alla même jusqu'à venir en cabine pour tenter auprès d'elle des gestes sexuels provoquant en exhibant une virilité triomphante, à laquelle les deux jeunes femmes ne répondirent que par une indifférence totale, faisant comme si elles ne voyaient rien !
Les coeurs d'Aurélia et de Cyrielle battaient à l'unisson tout comme leurs pulsions physiques de l'une vers l'autre, enchaînant les caresses  sans se soucier le moins du monde des  deux hommes  présents dans la carlingue ! Lorsque les roues de l'avion touchèrent le tarmac, le petit choc du contact des roues avec la piste fit battre leurs coeurs. Enfin elles étaient libres et sauves, même si elles avaient vécu de bien désagréables moments! Mais elles gardaient un souvenir mitigé de leur rencontre avec les serpents, rencontre qui leur laissait des sensations à la fois pénibles mais aussi très troublantes !
C'est en taxi qu'elles regagnèrent la maison d'Aurélia, retrouvant Tim qui bondissait de bonheur tournait comme un fou et se lêchait comme un furieux comme il avait pris l'habitude de le faire lorsqu'il était content ou excité par des effluves de femelles en émoi !
Les voisins ne s'étaient aperçus de rien, les croyant seulement rentrées de vacances un peu plus tôt que prévu. Et d'autre part, Khadidja ayant obtenu ce qu'elle voulait, ne tint pas rigueur à Cyrielle de sa liaison avec Aurélia, et lui conserva son poste d'hôtesse à bord du jet de son père ! D'autant plus qu'elle souhaitait conserver de bonnes relations avec les deux femmes en prévision de son séjour prochain en France.

A ce sujet, Aurélia avait raconté à Cyrielle ce qu'elle avait concocté comme vengeance contre la Princesse d'abord pour savoir ce qu'elle en pensait, mais  aussi parce qu'elle aurait besoin de  son amie pour mener son plan à éxécution Tout en lui ,demandant de garder le secret le plus absolu sur ce projet satanique !
Et à propos de Satan, le lendemain de leur retour, alors qu'elles étaient encore au lit, tendrement enlacées le fantôme tangible d'Antonin se matérialisa entre les draps, comme avant leur enlèvement et elles purent constater que la virilité adolescente du garçon n'avait rien perdu de  sa vigueur.
A laquelle l'une et l'autre firent honneur,en se désaltérant de cette jeune semence et en offrant leurs béances à son impudente endurance qui les firent s'envoler plusieurs fois!
Aurélia conservait un souvenir troublant de l'apparition de Tonin sur le marché de sa ville et du pigeon qui était venu se poser sur son panier d'osier sur son ordre. Alors que le garçon avait gravé dans sa mémoire la vision d'Aurélia accroupie à l'abri de la portière de sa voiture et cuisses ouvertes se soulageant dans le ruisseau ! La scène qui était à l'origine de tout !

C'était à cause de celà que coeurs confondus, et  corps entrelacés, le trio se livra aux délices des orgasmes et des liqueurs partagées. Doigts et lèvres féminines assaillant avec un trouble renouvelé la longue tige pâle et veinée de bleu de ce sexe adolescent mais tellement viril du fantôme vivant ! Se servant du dôme cramoisi surmontant la hampe,avec sa petite bouche aux lèvres minuscules et laissant apparaître des gouttes cristallines et transparentes comme d'un jouet sexuel. Pour se caresser le bourgeon et pour y faire naître, tour à tour, les spasmes de leur désir explosant ! Tonin, de son côté jouissait à perdre haleine entre les lèvres et dans les cratères en béance de ses deux partenaires ! Ils n'étaient jamais lassés et leurs désirs renaissaient encore et encore, sans doute grâce aux pouvoirs spéciaux dont Tonin avait hérité de sa Marraine-fée !

Sous la pression tournante de ce pouce habile, Khadidja émit un rugissement, se jeta en arrière sur les coussins, son corps se tendit autant qu'il le pouvait avant d'être secoué de spasmes les yeux chavirés et l'écume aux lèvres elle jouit en criant de plaisir !
Aurélia ne chercha pas l'orgasme mais regarda se dérouler celui de la Princesse. Elle vit sourdredans la vallée offerte de longues coulées de liqueur piquetée de pépites nacrées qui se repandaient entre les cuisses  luisantes. le sexe était béant et le clitoris prêt à éclater et dressé comme en un appel à d'autres caresses !

Ce n'était pas un spectacle capable de provoquer le désir, bien au contraire ! Peu à peu, les spasmes du pubis s'apaisèrent. Aurélia  la  laissa récupérer. C'était toujours un peu de temps de gagné sur la longueur de la nuit ! Ensuite elle s'allongea au côté de Khadidja, la laissant agir au gré des pulsions de ses doigts boudinés et de ses lèvres ombrées de moustache. Elle subissait, aussi les baisers mouillés des énormes lèvres de la Princesse amoureuse.

Lentement, après la tombée de la fièvre, au sortir d'une courte somnolence, la tension remonta dans le corps  dénudé et à la peau très foncée de l'arabe ! Alors pour tenter d'apaiser le feu insatiable de Khadidja, elle entreprit de lui faire vivre une  étreinte,sans doute inconnue pour la Princesse.
Elle lui demanda de s'allonger sur le côté au centre de l'immense lit ,tout en se remontant vers la tête  pour pouvoir s'agripper aux barreaux de métal. La manoeuvre allait être délicate à cause de la corpulence de Khadidja.En se mettant tête bêche, Aurélia réussit à soulever l'une des jambes de la Princesse et d'un coup de rein s'insinua dans la fourche en se mettant en ciseau pour coller sa vallée contre celle de Khadidja qui n'était plus qu'un cloaque béant de désir et l'accolement se fit dans un bruit de clapotis puis de ventouse lorsqu'Aurélia se mit à onduler pour  faire adhérer plus encore les deux sexes et tenter d'accoler les deux bourgeons gorgés de désir !

Le contact était si fort, si sensible si totalement intime que Khadidaj se mit à gémir en faisant, elle aussi bouger son bassin ! Les nymphes ainsi mêlées se collaient et se décollaient dans un clapotis et les tiges se cherchaient, frottant l'une contre l'autre fièvreusement.
Les deux femmes étaient sur le chemin du délire et comme la Princesse avait ordonné que les caméras soient branchées, toutes les femmes du palais assistaient au spectacle. rendues folles d'excitation, elle cherchaient à imiter, entre elles, ce qu'elle voyaient sur l'écran. Il y avait de la cyprine répandue partout !

Au moment où Aurélia sentit que Khadidja était presque au sommet de l'orgasme, elle se décolla un peu sur le côté. Ecartant plus encore les fesses ballotantes, elle chercha des doigts la rondelle étoilée et après l'avoir lubrifiée avec son désir elle viola la Princesse en la sodomisant, qui fut sur le point de s'évanouir dans un fulgurant orgasme !
De sa chambre, comme toutes les femmes du palais, Cyrielle avait pu suivre ce qui s'était passé. d'abord à la limite de la crise de nerfs en raison de son chagrin. Puis l'intensité du spectacle agit sur son émoi et peu à peu elle se laissa aller pour se faire monter en puissance et se faire jouir lorsqu'elle verrait Aurélia  et la Princesse s'envoler ensemble, mais cria de jalousie en voyant si intimement mêlés les deux sexes incrustés l'un dans l'autre et les cuisses luisantes de cyprine,  dont elle imaginait les effluves !

Les deux adolescents noirs furent chargés de transmettre l'ordre de Khadidja qui changeant d'avis désirait seulement recevoir Aurélia auprès d'elle. Ils étaient nus et la beauté de la jeune femme faisait visiblement effet sur les garçons qui furent en grand emoi devant elle sans la moindre gêne et  caressèrent  mutuellement leurs sexes brandis qui faisaient naître en elle des pensées et des humeurs  glissantes et océanes. Cyrielle de l'autre côté de la vitre ne perdait pas une miette du spectacle et se trouvait à l'unisson de trouble avec Aurélia !

Lorsqu'ils furent partis et que les émotions furent apaisées, Aurélia indiqua par gestes à Cyrielle qu'elle devrait se rendre seule auprès de Khadidja ce qui provoqua chez elle, à la fois un dépit et un soulagement !
Toutes les deux collées contre la vitre, bouche contre bouche, main contre main, sexe contre sexe, elles se firent jouir ensemble et le verre reçut les marques humides et nacrées de leur amour qu'elles lèchèrent ensemble, langue contre langue !

Quitte à passer une nuit entière avec Khadidja, autant tirer le meilleur parti  possible de la situation en offrant à la Princesse  de quoi mettre ses sens en catalepsie. Alors elle se présenta  nue, à part une  mini culotte sous une longue robe blanche , culotte transparente qu'elle n'avait pas quittée de la journée pour faire monter aussi haut que possible l'intensité de toutes les effluves  venues de son corps.!
Exprès, elle avait transpiré, s'était soulagée dans le fin tissu et s'était caressée plusieurs fois, mais sans jouir pour imprègner le plus possible la culotte de sa cyprine. Elle avait mis ses pieds dans des mules en fourrure pour qu'ils transpirent. Tout celà sous les yeux de Cyrielle noyés de tristesse et d'émotion.
Lorsqu'au début de la soirée, on vint la chercher pour la conduire auprès de Khadidja, elle laissait dans son sillage des volutes d'effuves sauvagement naturelles !

La Princesse s'en aperçut tout de suite, fut excitée et même reconnaisante de ce geste. Pour se mettre au diapason, elle plongea deux doigts boudinés dans son intimité pour s'assurer qu'elle aussi allait ofrir à sa partenaire un maelström de senteurs marines.
Elles étaient maintenant nues toutes les deux, assises face à face, les cuisses écartées. Aurélia avait passé les siennes par dessus les énormes boudins de la Princesse pour que les deux sexes soient aussi proches que posible l'un de l'autre.
D'abord, Aurélia caressa les seins de Khadidja, ou plutôt ses mamelles, mais pas vraiment molles. Leurs énormes tétons noirs et grumeleux durcirent. Les pointes de ceux d'Aurélia se dressèrent avec arrogance ce qui fit pâlir la Princesse à la fois de désir et de jalousie. Khadidja plongea une main- boudin entre les cuisses ouvertes de sa partenaire, dont le pubis était lisse: Souvenir des serpents !

Deux doigts fiévreux dégagèrent le bourgeon pour une longue et douce masturbation qui devint réciproque. Aurélia traversant habilement avec ses doigts l'épaisse broussaille luisante de cyprine qui couvrait le pubis de la Princesse.
Les deux organes étaient très importants mais aussi très différents: Celui de Khadidja avait un gland saillant en forme de grosse amande, la pointe tendue vers le bas. Celui d'Aurélia, au contraire, était tout en longueur et jailllissait comme un petit sexe d'homme raide at humide !
La masturbation réciproque dura un long moment. les deux femmes, maintenant, haletaient, sentant monter la grande secousse. Alors Aurélia accéléra la pression tournante de son pouce sur le clitoris.