Les tendres jumeaux !

Au sortir de leur sieste, leurs mains se font papillons voletant sur le corps du  demi-frère,et déjà leurs virilités sortent de leur torpeur. Alors  ils se basculent, tête-bêche, pour mieux contempler et désirer la tige quis se tend vers  leur visage avec son dôme violacé au méat entrouvert et couronné des gouttes translucides d'un désir, vite gobé !
Lentement ils se butinent, se hument, se caressent les narines en éveil, avides des senteurs troublantes de leurs humeurs viriles ! Puis doucement  ils s'embouchent allant et venant tout en respirant sur le bout de leurs doigts  les moiteurs endormies dans le duvet de leurs étoiles mauves qui palpitent doucement.
A nouveau ils se butinent et s'engobent jusqu'aux jaillissements blancs qu'ils mêleront sur leurs lèvres.
Allongé sur le ventre, cuisses ouvertes, le premier qui a joui accueillera en lui son amant jusqu'à ce qu'il fuse à son tour !

Aurélia se sent devenir malheureuse !  Malgré la vie dorée que lui offre la Princesse, toujours aussi amoureuse, et la superbe clientèle qu'elle est entrain de se faire grâce à sa protectrice, et qui fait qu'on lui déroule le tapis rouge, chaque fois qu'elle paraît dans sa Société  !
Elle est triste parce que la montagne de chair graisseuse qui enveloppe Khadidja lui donne de moins en moins envie de plonger entre ses cuisses pour la faire jouir, mais bien plus encore parce qu'elle sent que Cyrielle est entrain de se détacher d'elle, irrésistiblement attirée  par la beauté et la délirante sexualité de Nadia !
La Marocaine, maintenant amoureuse avec son coeur autant qu'avec son corps, fait tout pour attirer entre ses bras la jeune femme blonde qui la fascine ! En lui offrant tout ce qu'elle possède de sensualité. Et en y ajoutant les puisssantes effluves émanant de son corps de femme et d'Africaine et qui font délirer Cyrielle, elle aussi de plus en plus amoureuse !
Nadia  pour joindre l'utile à l'agréable, a su l'initier aux délices que sont capables de lui apporter, en même temps Ali et Ahmed alors que Nadia lui dévore la bouche, les seins, et le bourgeon en folie !

Aurélia sait tout celà et en souffre, mais supporte par amour. Jusqu'au jour où tout craque et elle explose ! Il fait chaud, il fait nuit, Cyrielle est étendue sur leur lit commun et se caresse doucement, humide et offerte. Alors bondissant de rage et d'amour conjugués, Aurélia se jette sur elle, la gifle, lui tire les cheveux, lui mord les seins et griffe son pubis en violant sa vallée et son anneau avec ses doigts plantés et mis en pinces !
Cyrielle retrouve un peu de cette étonnante jouissance qu'elle avait déjà éprouvée lorsqu'elle avait été battue, liée sur son lit dans le palais de l'Emir. Alors, par provocation elle demande:
-"Continues, tu vas me faire jouir !"
A la fois décontenancée et folle de rage, Aurélia va chercher des collants dans sa commode et attache les membres de sa compagne aimée aux quatre coins du lit !
Elle possède aussi, une cravache, cadeau de Khadidja qui ne dédaigne pas d'être battue, elle aussi, dans ses moments de délire!
Empoignant cette longue tige de cuir souple, elle se rue sur Cyrielle et commence à la fouetter.Sous l'impact des coups, la jeune femme se raidit, dominée d'abord par la douleur. Puis, encore timide, le plaisir apparaît. Ses seins durcissent, dont les pointes se dressent. Son sexe s'épanouit et se mouille, son bourgeon jaillit de son abri, elle ondule du bassin, sa tête va de droite et de gauche. Elle sent venir l'orgasme!
Aurélia, folle de colère, frappe toujours, les zébrures strient, maintenant le corps de Cyrielle, mais sous la douleur, son adorée monte vers le plaisir en se mordant les lèvres !