15 mars 2008
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Sous les coups, le plaisir monte et irradie le corps de Cyrielle qui se met en arc de cercle, alors que le pubis se tend vers le ciel, envahi de spasmes. Et, toutes nymphes décollées, un flot de plaisir inonde ses cuisses écartelées, coulant jusque dans l'anneau qui palpite aussi ! Cyrielle jouit en criant, son corps tressaute encore. Alors Aurélia délirante, y plante le bout arrondi de la cravache!
Elle est pantelante, tandis qu'Aurélie furieuse et honteuse, s'écroule en larmes sur le corps de la femme aimée. Son sexe transpire, lui ausi de désir qu'elle assouvit elle même et avec le bout gluant de la cravache souillée !
En fin de compte, après l'orage, réconciliée et nues, les deux femmes se sont mises tête-bêche, l'une dominant l'autre. Les cuisses largement écartées, le sexe posé au dessus de la bouche active de sa maîtresse, Aurélia se noie dans son désir face à l'intimité ruisselante de Cyrielle.Un peu plus bas palpite l'auréole du trou mauve. Aurélia le caresse doucement et il s'ouvre pour accueillir la visite. Cyrielle murmure: -"Oh oui !
Alors mettant deux doigts en pince elle les plonge dans les deux béances. Cyrielle gémit, son basin ondule encore davantage. La puissante onde de l'orgasme la submerge !
Mais en même temps Aurélia cherche de ses lèvres le bourgeon, cette petite antenne du paradis qui se tend vers les caresses et qu'elle pinçotte, suçotte et mignote des lèvres de la langue !
Cyrielle se sent devenir folle de plaisir, depuis les pieds, moites et recroquevillés, jusqu'aux cheveux qui se dressent puis se collent aux tempes. mais en même temps elle dévore la béance d'Aurélia qui lui englue le visage ! Et soudain presque ensemble, elles explosent dans un torrent de gluance nacrée et marine
Khadidja, elle aussi a des états d'âme. L'éloignement volontaire de son Pays est sans doute l'une des causes de son désarroi mais ce n'est pas la seule. Elle trouve qu'Aurélia la délaisse, le jour pour des raisons professionnelles et le soir venu parce que Cyrielle et Nadia sont là pour faire partie d'un quatuor qu'elle a créé elle même mais qu'elle regrette maintenant de plus en plus !
Car Khadidja à changé beaucoup.Ayant abandonné sa goinfrerie de loukoums, de pistaches et d'amandes grillées, et du coup elle a perdu beaucoup de poids. Sans être devenue mince, elle n'est plus l'énorme pousah mafflu qu'elle était encore récemment. Ce qui met en valeu laeauté de ses traits, un peu semblable à la tête d'un oiseau de proie, avec son regard noir, intense, ses narines frémissantes au moindre sentiement de colère ou de désir,ses lèvres pulpeuses et gourmandes jusqu'à en devenir voraces !
Mais ce qui maintenant attire le plus Aurélia, ce sont les aisselles touffues, forêt de poils toujours humides de sueur à la saveur acide ! Et plus encore ses pieds potelés certes mais musclés cependant, aux ongles ras et aux orteils toujours moites comme ceux d'un bébé et libérant une fragance sensuelle !
Mais pour son épanouissemnt sexuel, Khadidaja ne fait pas seulement appel à Aurélia, qu'elle aime toujours d'amour; Mais elle a aussi Nadia dont la sensualité torride et violente la met en émoi et aussi Ali et Ahmed qui la tétanisent lorsqu'elles voit leurs deux bengalas tendus chauds et vibrants !
Elle est pantelante, tandis qu'Aurélie furieuse et honteuse, s'écroule en larmes sur le corps de la femme aimée. Son sexe transpire, lui ausi de désir qu'elle assouvit elle même et avec le bout gluant de la cravache souillée !
En fin de compte, après l'orage, réconciliée et nues, les deux femmes se sont mises tête-bêche, l'une dominant l'autre. Les cuisses largement écartées, le sexe posé au dessus de la bouche active de sa maîtresse, Aurélia se noie dans son désir face à l'intimité ruisselante de Cyrielle.Un peu plus bas palpite l'auréole du trou mauve. Aurélia le caresse doucement et il s'ouvre pour accueillir la visite. Cyrielle murmure: -"Oh oui !
Alors mettant deux doigts en pince elle les plonge dans les deux béances. Cyrielle gémit, son basin ondule encore davantage. La puissante onde de l'orgasme la submerge !
Mais en même temps Aurélia cherche de ses lèvres le bourgeon, cette petite antenne du paradis qui se tend vers les caresses et qu'elle pinçotte, suçotte et mignote des lèvres de la langue !
Cyrielle se sent devenir folle de plaisir, depuis les pieds, moites et recroquevillés, jusqu'aux cheveux qui se dressent puis se collent aux tempes. mais en même temps elle dévore la béance d'Aurélia qui lui englue le visage ! Et soudain presque ensemble, elles explosent dans un torrent de gluance nacrée et marine
Khadidja, elle aussi a des états d'âme. L'éloignement volontaire de son Pays est sans doute l'une des causes de son désarroi mais ce n'est pas la seule. Elle trouve qu'Aurélia la délaisse, le jour pour des raisons professionnelles et le soir venu parce que Cyrielle et Nadia sont là pour faire partie d'un quatuor qu'elle a créé elle même mais qu'elle regrette maintenant de plus en plus !
Car Khadidja à changé beaucoup.Ayant abandonné sa goinfrerie de loukoums, de pistaches et d'amandes grillées, et du coup elle a perdu beaucoup de poids. Sans être devenue mince, elle n'est plus l'énorme pousah mafflu qu'elle était encore récemment. Ce qui met en valeu laeauté de ses traits, un peu semblable à la tête d'un oiseau de proie, avec son regard noir, intense, ses narines frémissantes au moindre sentiement de colère ou de désir,ses lèvres pulpeuses et gourmandes jusqu'à en devenir voraces !
Mais ce qui maintenant attire le plus Aurélia, ce sont les aisselles touffues, forêt de poils toujours humides de sueur à la saveur acide ! Et plus encore ses pieds potelés certes mais musclés cependant, aux ongles ras et aux orteils toujours moites comme ceux d'un bébé et libérant une fragance sensuelle !
Mais pour son épanouissemnt sexuel, Khadidaja ne fait pas seulement appel à Aurélia, qu'elle aime toujours d'amour; Mais elle a aussi Nadia dont la sensualité torride et violente la met en émoi et aussi Ali et Ahmed qui la tétanisent lorsqu'elles voit leurs deux bengalas tendus chauds et vibrants !
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