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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 09:23
Son père lui laissa deux jours de répit avant de faire intervenir les serpents. En les voyant arriver, elle comprit tout de suite ce qui l'attendait. Mais Ali et Ahmed qui avaient été les officiants du supplice pour Aurélia  et Cyrielle étaient morts ! Elle se laissa faire lorsque les esclaves les remplaçant, avec  des mots d'excuse à peine prononcés, lui lièrent bras et jambes, immobiisant, également son bassin.

Comme pour Aurélia et Cyrielle, les serpents lovés entre les cuisses ouvertes et attirés par les odeurs intimes furent d'une grande efficacité pour faire, avec leurs langues butinant sa tigelle, monter Khadidja au sommet de la jouissance, affolant son coeur qui battait à éclater
Comme pour ses deux amies la jouissance se transforma en douleur légère, puis en souffrance de plus en plus intense au fur et à mesure que les langues diaboliques faisaient naître orgasme sur orgasme, vidant le sexe et les nerfs de la Princesse, qui, elle aussi, finit  par s'évanouir, le corps tordu par les spasmes !

Mais le plus dur fut la dernière épreuve: Amenée debout et nue au centre d'une grande pièce sous un portique dont les longues lanières lui tendirent les bras en croix vers le ciel, alors que, les pieds écartelés, étaient rattachés à des anneaux scellés dans le sol. Elle resta liée, ainsi, seule, pendant de longues minutes.Puis entra la geôlière qui occupait la chambre contigüe à la sienne, le regard toujours aussi brûlant de haine et tenant une longue cravache !

Face à la princesse, elle se déporta, un peu, sur le côté pour frapper plus à son aise. Le premier coup toucha les seins dont  les pointe,aussitôt se durcirent. le deuxième cingla le corps au niveau du nombril! Khadidja se mordait les lèvres pour ne pas crier. Le troisième toucha les cuisses et le pubis, striant la toison et délogeant le clitoris de son abri. Des larmes coulèrent alors sur les joues de la Princesse, songeant à la souffrance qu'elle avait fait subir à Aurélia !
Sa tortionnaire passa derrière elle et lui cingla le dos et les fesses plusieurs fois. Khadidja s'était mis les lèvres en sang à force de les mordre, mais elle ne criait pas! Revenant face à elle, son bourreau, par deux fois, lui fouetta les seins et, dans un dernier coup particulièrement puissant et habile en frappant de bas en haut, elle cingla la fente du sexe écartelé ! Dans un spasme de douleur, Khadidja s'évanouit, pendant, toute molle au bout de ses liens ! Caché dans la chambre voisine, son père avait assisté au supplice sans broncher et pénétrant dans la pièce au comble de l'émoi, il viola la geôlière ! !

Au moment où la Princesse souffrait mille morts, après avoir fait souffrir celles qu'elle devait, ensuite aimer, Cyrielle et Aurélia filait le parfait amour au coeur de la petite oasis, lieu de rendez-vous hypothétique avec Khadidja !
L'hôtel était confortable, luxueux même, alors que le désert était à moins de cinq minutes de marche de leur chambre. L'oasis était un petit morceau de paradis, peut-être simplement à cause de l'environnement ascétique du désert, face à la palmeraie croulante de dattes, aux bosquets de lauriers roses, aux gazelles broutant l'alfa. Les cigognes de retour au nid chaque soir, après avoir vu défiler les dunes sous leurs ailes immenses claquaient du bec face à face au milieu du nid., Les fennecs côtoyant les chiens africains, jaunes efflanqués et se battant pour trois ordures nauséabondes !
Les deux amoureuses vivaient dans ce décor, un peu artificiel, en glissant du lit de tendresse à la fraîcheur de la douche, du baiser à la caresse, totalement attentives  à l'autre, à chaque moment et attendant, sans trop y croire, à l'arrivée de Khadidja  !
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