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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 10:58
Aurélia et Cyrielle avaient pris leurs dispositions pour pouvoir rallier la petite oasis du nord Sahara disposant d'un hôtel assez confortable pour touristes aisés afin d'y attendre Khadidja, escortées d'Ali et de Ahmed. Un soir, pendant le dîner un homme en noir vint les rejoindre et s'adressa, en arabe aux deux garçons qui se levèrent pour quitter la table.
Avant de partir Ali expliqua simplement à Aurélia que l'Emir voulait les voir revenir au Palais. Sans rien ajouter,mais les larmes aux yeux. Ils embrassèrent les deux jeunes femmes et s'en furent vers leur destin, qui fut d'abord l'émasculation, puis la décapitation.

Le soir de son arrivée au Palais, Khadidja vit l'Emir entrer dans sa chambre et l'apostropher violemment lui parlant comme à une chienne pour lui annoncer qu'elle subirait tous les mauvais traitements  qu'elle avait
infligée aux deux européennes, puis il la quitta sans un mot de plus!
La première visite, dès le lendemain fut celle du grand homme barbu et vêtu d'une longue robe noire brodée d'or. Lui aussi était un prince, neveu de l'Emir et agissait sur son ordre.

Calmement il demanda à Khadidja de se mettre nue sur son lit, d'écarter les cuisses et de se caresser devant lui. Sachant ne rien pouvoir faire d'autre qu'obéir, elle s'éxécuta.
Allongée sur le dos elle exposa sa toison crépue, montant presque juqu'au nombril et envahissant les cuisses, ce qui excita beaucoup l'homme.
Puis écartant les jambes, beaucoup moins flasques et molles qu'autrefois, elle plongea les doigts dans sa forêt, puis se frayant un chemin au milieu des touffes noires, atteignit les lèvres épaisses qu'elle écarta, tirant sur ses nymphes qui se décollèrent l'une de l'autre dans un chuintement mouillé, tandis qu'apparaissait le gros bouton en forme d'amande!

Elle entama ses caresses, plongeant dans sa grotte, étirant et frottant sa tigelle, puis glissant l'index jusqu'au petit trou avant de se humer les doigts. Le sexe s'inonda mouillant l'entrecuisse. Le Prince regardait, amusé, puis franchement excité. Il écarta les pans de sa robe, plongea sa main dans son sarroual et sortit de l'ombre une tige chevaline, déjà à demi érigée, qui fit frémir Khadidja, autant de peur que de désir! 

Il se caressa; sans quitter des yeux l'intimité de la Princesse. Sa tige devint énorme sous un dôme luisant, et presque noir qu'il caressa du pouce.
La masturbation réciproque dura un moment, puis s'approchant de Khadidja, au bord du plaisir, il s'enfonça brutalement en elle et lima en force! La Princesse se mit à trembler, puis à hurler. Comme il sentait monter son propre désir, il sortit de la grotte inondée, retourna Khadidja comme une crêpe, la mit en levrette, appuya son dôme sur l'anneau plissé et la viola brutalement ! Le Prince en noir monta très vite en puissance et ne put s'empêcher de jaiilir en elle trois ou quatre fois en grognant. Avant de se retirer sèchement en la faisant crier, et en servant du drap avant de s'en aller sans un mot !

Quelques instants plus tard, apparut une esclave chargée de soulager les douloureuses brûlures de Khadidja avec des huiles et des onguents. Elle pleurait de rage et de douleur !
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