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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 11:52
Même s'il convient de s'incliner sur la mort des dix soldats Français,tués dans une embuscade en Afghanistan et d'adresser des condoléances aux familles douloureusement touchées. On ne peut pas s'empêcher de comparer la turbulence médiatique engendrée par ces soldats morts avec le black-out  total qui a régné sur les seize mille morts en quatre ans de ce qu'on a appellé, selon les comptes rendus: "Guerre d'Algérie" ou "Operations de maintien de l'ordre"
Concoctée par ce mollusque binoclard qu'était Guy Mollet, responsable de l'enclanchement de l'opération Algérie, après avoir été l'un des principaux responsables de la guerre d'Indochine terminée glorieusement à Dien Bien Phu, comme chacun sait !  Alors que les rapatriés blessés de la guerre d'Indochine étaient accueillis sur leurs brancards à coups de pierre par les dockers syndiqués à la CGT sur les quais du port de Marseille!
Opération Algérie Française déclanchée à la suite d'un attentat en Kabylie et qui a entraîné la mobilisation progressive, après "les rappelés" ayant déjà accompli leur temps de TOUTE LA JEUNESSE FRANCAISE,mobilisable sans hésitation ni murmures, à partir de vingt ans et pendant trente mois !
Car il faut se rappeler qu'à l'époque toutes les classes mobilisables, ont été requises sans aucun volontariat ou presque, ce qui revient à dire toute la jeunesse de France sans exception. Et seize mille d'entre eux sont morts, en vain, là-bas jusqu'à la brillante conclusion du problème par le grand dépendeur d'andouilles du"Je vous ai compris!" Et les seize mille morts en quatre ans ont été rapatriés "en catimini" dans des Breguet deux ponts de l'armée et déposés sur l'aéroport se Villacoublay ,de nuit et, dans le plus grand secret, sans le moindre  honneur militaireet sans la moindre présence de journalistes et encore moins de cameramen pour être expédiés en secret dans leurs villes ou villages respectifs !  BRAVO et MERCI pouir EUX!
Aujourd'hui les dix soldats Français morts étaient des ENGAGES VOLONTAIRES ET DES SOLDATS DE METIER , partis dans les pays insalubres de la "Talibanie" sur des ordres du Gouvernement Français, pour aller relayer des troupes Américaines incapables de maîtriser la situation sur le terrain dans une guerre enclanchée, une fois de plus par cet incommensurable .... de Bush, et suivie une fois de plus comme un toutou par nos dirigeants. Inconscients du fait que ces" zimbrecs"créés dans les pays musulmans où nous intervenons aux côtés des zozos du Pentagone, sont tout aussi voués à l'échec que l'ont été nos interventions en Indochine et en Algérie et que celles des Russes en Afghanistan ! -" Français vous avez la mémoire courte!" Comme disait déjà Philippe  Pétain qui n'est pas tombé de la dernière averse!'
En ajoutant  que la tactique d'embuscade utilisée par les Talibans d'aujourd'hui est exactement la même que celle utilisée par les "felllagas' d'Algérie il ya  cinquante deux ans avec une notable sophistication des moyens matériels.
Comme vous pouvez le constater la douleur a des poids et mesures différents selon les époques, les circonstances et la connerie, une fois de plus abyssale, des médias, et surtout ceux payés à l'Audimat !
Le jour où nos dirigeants, s'il faut les appeler ainsi, auront compris que sous prétexte de faire cocorico les deux pieds dans la merde, çà ne sert à rien pour personne, nous aurons franchi un pas important dans le domaine de la salubrité publique et de la modestie raisonnable face à l'interventionisme imbécile !
L'époque de:" Aux armes citoyens, formez vos bataillons!" est révolue, nous avons d'autres horizons à scruter et d'autres batailles à gagner ! !
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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 06:59
Même si Armelle voulait conserver sa liberté en restant dans sa cabane,elle demanda, pourtant à Corinne si elle accepterait d'heberger Gloria pour qu'elle puisse continuer ses études dans de meilleures conditions. Pour le plus grand bonheur de Valérie, qui après avoir connu intimement, plus petite, les charmes d'Armelle se promettait bien de nouer des relations intimes avec Gloria, dont elle avait déjà découvert la sensualité débridée.
Dès qu'elle fut installée, à demeure la jeune étudiante fut la proie des assiduités de Valérie. Voyant quelle était la situation, Gloria, alors qu'elle venait de refuser à Valérie l'accès de son lit la nuit prochaine, décida de lui faire un chantage !
-"Au lycée, j'ai une amie noire qui est professeur de basket. Nous sommes amoureuses et elle m'invite chez elle les jours de repos. Nous pourrions vivre nos élans à trois, si tu me laissais la faire venir ici ;"
Valérie hésitait. Raciste comme elle l'était, elle se voyait mal accueillir dans son lit une fille à la peau noire qui devait puer la terre d'Afrique. Ces effluves, justement, qui grisaient Gloria, lorsqu'elles étaient en sueur, au sortir d'un match de basket !
Mais sentant la fille résolue, elle accepta. Et fut récompensée par un échange intime d'une grand intensité qui dura une partie de la nuit,ce qui leur cerna les paupières de mauve le lendemain matin, Valérie ayant offert à sa partenaire son bourgeon géant et sa cataracte de plaisir.

Tara était flattée d'être accueillie dans cette grande demeure bourgeoise, même si elle avait entendu dire qu'il s'y passait des choses plutôt troublantes.Mais curieuse comme une souris, elle n'était pas mécontente d'aller voir sur place ce qui s'y passait;
En voyant, quelques jours plus tard, Tara nue et enlacée avec Gloria sur le grand lit de leurs amours, les préjugés de Valérie tombèrent, devant la beauté de la noire, son sourire, l'éclat à la fois sauvge et tendre de son regard et la sensualité qui émananit d'elle.
Les reins fourmillant de désir, elle n'eut plus qu'une idée: Etre nue, elle aussi, et lovée contre cette panthère noire. La caresser, la butiner, la combler, et boire au fond de sa coupe, aux nuances corail, la liqueur de son plaisir.
Elle fut prise de vitesse. ce fut Tara qui, la première, se retrouva le visage entre ses cuisses. Là où, prévenue par Gloria, elle espérait voir jaillir la cascade, fille du désir, après avoir conquis, de ses grosse lèvres ventouses et avides, un troublant bourgeon triomphant.
Après avoir exploré avec avidité l'intimité de Valérie, Tara, le visage luisant de liqueur, sans interrompre ses caresses, se retourna pour chevaucher le visage de sa partenaire pour lui offrir sa conque béante et inondée.
Un peu suffocante, mais ausi grisée par les effluves océanes et africaines de l'Ivoirienne, conjuguées avec la sensation des lèvres et ded doigts naviguant en elle, Valérie ne tarda pas à sentir son corps tressauter, secoué par les spasmes de la jouissance et déversa son flot de femme fleuve en inondant le visage de Tara émerveillée et désaltérée par une telle abondance !
Valétie, Gloria et Tara, le trio devint inséparable. Elles baignaient, en permanence, dans leurs désirs qui s'éxacerbaient les uns les autres jusqu'à ce qu'elles retombent, haletantes, ruisselantes et épuisées.
Enchevêtrées les unes dans les autres. Corinne avait l'oeil rivé au trou de la serrure et ne perdait pas une miette du spectacle, la main au giron et harmonisant ses gestes avec ceux des trois filles !
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19 août 2008 2 19 /08 /août /2008 08:54
Bien que sorcière et dispensatrice du mal, Armelle avait été horrifiée par le récit de Gloria contant  les turpitudes d'Armand Ravigot, le notaire.Elle réfléchit plusieurs jours avant de passer à l'action, et finalement décida de venger sa fille.
Dans sa cabane elle avait tous les ingrédients nécésaire pour préparer la décoction dont elle avait besoin, elle aurait très bien pu le faire sans que Gloria ne s'en aperçoive. Comme c'était elle qui préparait, le plus souvent le repas de midi, il lui était facile d'empoisonner le notaire, mais en risquant de tuer toute la famille ! Alors elle modela une petite statuette de cire ressemblant vaguement au notaire et, avec tout le cérémonial et les incantations nécéssaires la transperça d'épines comme il convenait. Le lendemain, enveloppée dans un mouchoir, en faisant le lit d'Armand, qui depuis longtemps faisait chambre à part,, elle dissimula la statuette entre matelas et sommier. Il était peu vraisemblable que le notaire aille fouiller là où dormait la statuette et Armelle commença à attendre les effets du sortilège.
Il ne commençèrent à se manifester que plus tard: D'abord des migraines, puis des nausées et des douleurs intestinales qui pouvaient être prises pour une intoxication microbienne ou virale. Amaigrissemnt et petites hémorragies intestinales précédèrent l'apparition de pustules sur le corps et le visage qui allèrent en s'étendant progressivement en surface et en purulence.
Dans la chambre du malade, l'atmosphère était devenue irrespirable et Armelle poussa le vice jusqu'à proposer une décoction à appliquer sur les plaies qui se creusaient chaque jour davantage.
Corinne, désemparée se raccrochait à Armelle, cherchait à se faire réconforter par des baisers, et en profitait pour avoir les mains balladeuses ce qui mettait son giron en chaleur et le rendait solliciteur d'attouchements intimes, pour le plus grand agacement de son intendante, totalement insensible à ce genre d'appels.

Valérie n'entrait jamais dans la chambre de son père. Par dégoût, mais aussi par vengeance.N'ayant jamais eu d'affection, mais au contraire de la haine et du mépris pour ce père aux doigts fureteurs qui avait empoisonné toute son enfance et son adolescence, sans qu'elle ait jamais osé dire son ignominie. Alors qu'il venait même, certains soirs, jusqu'à glisser ses ignobles doigts boudinés sous ses draps pour l'explorer lorsqu'elle était couchée. Elle attendait qu'il disparaise, non sans une certaine impatience.
Au milieu de Novembre, en fin d'un après-midi brouillardeux et froid, alors que la nuit tombait et que les dernières feuilles dorées jonchaient le sol, il rendit son âme au diable qui n'attendait que lui pour se réjouir au coin de son feu.
On ouvrit le fenêtre pour tenter de faire disparaître les miasmes pestilentiels, et presque aussitôt, quelques corbeaux, grands amateurs de vers et d'asticots, déjà pansus comme des moines, vinrent se poser sur le rebord, prêts au festin !

Le notaire laissant une grosse fortune, en partie volée à ses clients, sa famille n'avait pas de soucis à se faire pour la subsistance. Corinne proposa à Armelle de venir vivre avec elle pour continuer à entretenir la maison et l'entourer de soins particuliers et intimes moyennant une forte augmentation de ses gages. Mais même si sa cabane, au bord de l'étang, manquait de confort, elle préféra garder sa liberté de femme de quarante ans.
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18 août 2008 1 18 /08 /août /2008 07:15
Oui les athlètes présents aux JO sont de magnifiques champions déjà presque tous couverts d'or d'argent et de bronze au cours de leurs exploits précédents. Oui ils ont préparé cet évènement avec fièvre depuis quatre ans et ceux qui, pour une raison échouent au bord de la réussite sont effondrés , à juste titre, de voir leurs efforts réduits à néant en quelques secondes.

Et puis certains qui se sont couverts de gloire jusqu'àlors se voient rattrapés et dépassés par une génération montante plus jeune et plus fraîche dans l'effort. Le désespoir de Manaudou a sûrement déchiré le coeur de plus d'un d'entre nous, tout comme l'imparable déclin d'Amélie Mauresmo Mais il en est ainsi de l'espèce humaine que ses plus vaillants et talentueux représentants ne peuvent pas être premier partout et tout le temps !
Les surhumains çà n'existe qe dans les mauvaises séries à épisodes de la télé !

Mais une chose m'étonne ! Pourquoi les médias, une fois de plus complètement stupides s'acharnent-ils à donner une telle importance au tableau des médailles comme à l'école primaire d'où l'on rentre un beau jour avec la croix d'honneur !
Avoir su gagner une médaille d'or ou d'argent ou de bronze est un formidable exploit ! Mais ces ânes bâtés ne réfléchissent pas une seconde, à ce seul fait que pour gagner une médaille d'or, quelle que soit la discipline, les Chinois ont pu puiser dans un formidable vivier de un milliard trois cent cinquante millions de Chinois pour former leur champion, alors que pour gagner la même médaille le même jour, à la même heure les Français ne disposent que d'un vivier de  soixante quatre millions de Français ! Soit 1 francais pour 21 Chinois !

Ce qui fait que si on veut faire un tableau d'honneur des Pays vainqueur de médailles, il faudrait que pour une médaille d'or Française il y en ait vingt et une gagnées par les Chinois! Vous voyez le travail. Et celà sans compter les Pays participants aux JO qui ont des populations encore beaucoup moins importantes que la France ! Alors où est le mérite des Chinois? Dites le moi ?

Alors qu'aujourd'hui 18 Août, la France classée  onziéme à gagné 26 médailles dont 4 d'or et la Chine 61 dont 35 d'or ! Si on tient compte des viviers de champions. Rions un peu: Pour être à égalité, la France ayant 4 médailles d'or, la Chine devrait en avoir  4X 21=84.. Et pour le total: 26 x 21= 546 Médailles! 

Bien sûr que c'est absurde,maisil n'en demeure pas moins qu'il n'y a pas d'égalité des chances dans ce genre de compétitions, sauf que: EN PRINCIPE, les participants à l'une ou l'autre des épreuves sont à égalité à l'instant du départ, pour remporter la victoire !
 Mais est-il bien utile de faire dépenser tant d'argent  à 69 Pays dont certains sont pauvres comme Job? Oui si l'on en croit Monsieur de Coubertin puisque "l'important c'est de participer"mais sur le plan de l'économie des Pays concernés, il me semble que çà se discute ! Pas vous ?

Dans un tout autre domaine, mais sportif également pourquoi dans un match de tennis un service"let" ou "net" comme on veut est il considéré comme faute, alors qu'en cours d'échange une balle qui touche le haut du filet et passe de l'autre côté est considérée comme bonne ? Vous avez dit "bizarre"! Moi aussi !

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16 août 2008 6 16 /08 /août /2008 07:00
Dans l'élan et la fièvre de leurs folles éreintes, Tara avait appris l'enfourchement à Gloria: Cette étreinte divine pour deux femmes, qui consiste à ouvrir en grand ses cuisses  comme les branches de grands ciseaux,ouvertes et, face à face puis se rapprochant au maximum pour accoler leurs nymphes luisantes et écartelèes, tout en s'agrippant l'une à l'autre par les poignets e se tirant plus encore vers la partenaire pour  incruster, au maximum; les unes dans les autres en ondulant juqu'à ce qu'elles forment deux sexes luisants et accolées  entre eux dans un clapotis odorant et magnifiquement troublant. Les deux vulves ainsi aspirées  n'en faisant plus qu'une seule, les deux jumelles étant aspirées l'une par l'autre !
Au sortir de cet aprè-midi, alors que Gloria, le coeur en charpie, s'apprêtait à quitter Tara, l'Ivoirienne avait avoué, les mots voilés par l'émotion:
-"Gloria, je suis folle de toi! Jamais je n'ai vécu avec autant de force, ce que nous venons de partager. Reviens ! Reviens le plus vite possible, et même, si tu le veux, j'aimerais partager ma vie avec toi ! Oui ! Tous les jours, toute ma vie !"
Gloria, bouleversée en quittant Tara, s'était interrogée sur la proposition de son amie. Mais elle avait réalisé très vite, qu'elle n'était pas la femme d'une vie, ainsi, préétablie. Elle voulait du nouveau, de l'aventure, et aussi, fille de sorcière, elle sentait insidieusement qu'elle voulait être libre pour faire souffrir ceux ou celles qui s'attacheraient à elle !
Pourtant, attachée comme elle l'était à Tara, elle n'avait pas l'intention de la quitter ainsi. Mais pourtant, elle voulait lui donner l'impression de rester en retrait, en ayant l'air un peu moins amoureuse, pour la faire souffrir en prenant un peu barre sur elle, tout en lui apportant sa présence, ses élans et leurs plaisirs partagés.
Les plus troublants possibles depuis qu'elle avait compris que Tara avait une forte sensiblilité érotique deu côté des pieds moites et de son anneau plissé et duveteux à la saveur épicée, petite bouche affamée en attente de visiteurs amoureux !

Armelle avait été profondément troublée par les révélations de sa fille au sujet de ses rencontres secrètes de jadis avec Armand dans un placard à balais. Le notaire glauque,lui avait souvent donné des nausées en pensant qu'il recevait avec Corinne et quelques amis spécialement choisis, des adolescents dont ils faisaient des esclaves sexuels loués fort cher par leurs parents !
Elle attendit un moment de grande intimité, un soir, à la cabane, où elle sentait Gloria disposée aux confidences, pour l'interroger sur ce qu'elle avait vécu avec Armand. D'abord réticente, elle fouilla sa mémoire et ses troublants et douloureux souvenirs
-"Tu sais, maman,il acommencé quand j'étais toute petite. Il me caressait au travers de ma petite culotte. Je trouvaisçà agréable et il le faisait juste en passant. Quand j'ai grandi, il m'attirait avec des bonbons dans la grande penderie du couloir. Là çà durait plus longtempet il mettait ses doigts et apès il les reniflait. Il m'avait dit que si je parlais de lui et moi, il irait en prison et que tu ne pourrais plus travailler dans sa maison. Alors je me laissais faire !
On était presque dans le noir, et un jour il a mis un chose molle dans ma main. En me demandant de la caresser comme si c'était un petit oiseau. Alors c'est devenu un peu gros et un peu raide.Je lui avait dit que son oiseau sentait mauvais, alors après il a mis du parfum. Je devais avoir six ou sept ans. Mais le jour où il a voulu mettre son oiseau entre mes jambes, je me suis sauvée et il n' a jamais essayé de recommencer !
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15 août 2008 5 15 /08 /août /2008 07:55
La douche commune qui avait suivi sa première leçon de basket avec Tara avait été si intense el le plaisir si grand pour Gloria que Tara avait été obligée de la prendre dans ses bras et de la soutenir pour qu'elle ne s'effondre pas sur le carrelage ruissellant des douches!
Après plusieurs séances d'initiation au basket de cette qualité au cours desquelles Gloria avait été tétanisée par le plaisir mais plus encore grisée par le parfum qui émanait du corps de la noire: Un mélange de féminité exacerbée par le désir et de terre d'Afique si puissante et envoûtante, Tara en vint à proposer à son élève de venir partager, chez elle, quelques heures de loisir au cours desquelles elle pourrait lui donner des leçons d'anatomie ! Mûe par un sentiment de joie elle ne put s'empêcher d'en parler à Armelle:
-"Tu sais, au lycée, il y a une prof de basket noire et belle comme une statue. Nous sommes devenues amies et même très amies, sous la douche. Elle m'a invitée à venir chez elle, parce que, toutes les deux nous sommes tombées amoureuses ! Rien que de me souvenir de ses lèvres dévorant les miennes j''en suis toute inondée ! Alors tu veux bien que j'y aille dis ?"
Troublée, Armelle se souvint de Malika et ne put refuser à sa fille de vivre ce qu'elle avait tant aimé !
Arrivée chez Tara, Gloria, d'habitude si sûre d'elle, avait les jambes en coton. Elle se sentait mille fois plus troublée qu'avec Valérie. Aussitôt la porte ouverte, elle fut enlacée et lorsque les grosses lèvres de la noire butinèrent les siennes avant de les dévorer, elle défaillit !
Le lit était vaste et très odorant. Les deux filles, vite nues s'enlaçèrent. Tara était experte et d'une sensualité presque sauvage, avec des gestes de dominante. Gloria le sentait, mais n'en avait jamais eu l'habitude. Troublée, mais un peu dépitée dans sa nature de dompteuse elle aussi ! Même avec Valérie qui était plus âgée qu'elle ;
Tara se comportait comme un Maëlstrom, et l'emportait au gré de ses pulsions, dans un torrent de sensualité qui déferlait et la submergeait sans qu'elle cherche à se débattre, ni à arrêter cette tornade amoureuse, faite de luisances et des effluves de leurs désirs mêlés. Pour Gloria, c'était le délire, presque la folie !
Elle aurait voulu manger tout le corps de sa compagne, la boire jusqu'à l'ultime goutte de désir ! C'était exactement ce que Tara, plongée entre ses cuisses était entrain de faire avec elle qui se tordait de plaisir, haletante, écartelée et vaincue sur le lit. Avec dans le cerveau et au bord des lèvres, ces seuls cris:
-"Oui, oh oui, mon amour......! Encore......! Va...... ! Plus loin, plus fort ......!
L'après midi entier ne fut que houle, cahots, halètements et non-retours. Sans cesse renouvelés et sans cesse plus intenses, comme ne peuvent pas le faire les hommes. Epuisées, encore haletantes, elles ne sortirent des bras de l'autre qu'avec déchirement. Elles auraient voulu passer le reste de leurs vies enlacées comme elle venaient de l''être, doigts et lèvres sans cesse plongées au coeur de leurs désirs mêlés !
Gloria ayant découvert, avec Tara, le Nirvana offert pars ses grandes mains noires aux paumes roses striées de noir qui faisaient merveille partout où elles se posaient ! Ayant découvert, aussi l'art des caresses avec les pieds dont les orteils ondulant s'insinuaient au coeur des féminités offertes et inondées pour y recueillir une liqueur cristalline offerte aux lèvres de l'autre avant de replonger dans les abysses béantes ! Et aussi, rendue folle, par les doux baisers inquisiteurs sur les pourtours et le coeur de l'anneau plissé aux saveurs épicées !
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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 06:27
En admettant qu'à l'origine le Bien et le Mal aient été les deux faces d'une même entité, Au moment du big-bang c'est incontestablement le Mal qui a réagi le plus vite et depuis lors, il règne en maître sur le monde entier, dans tout les domaines et sur tous les sujets !

Il a ses "suppôts" qui travaillent pour lui et font des ravages sans se donner beaucoup de mal ! Vous voulez un exemple relativement récent et bien prenons la deuxième guerre mondiale: Il a suffit de quelques hommes comme Hitler et Hiro Ito et Mussolini et Staline et Churchil et Roosevelt pour que de l'Europe au fin fond du Pacifique, en six ans il y ait 40 millions de morts, dans des souffrances abominables.
Et encore ce chiffre ne comptabilise que les soldats combattant les armes à la main, Alors avec le total des civils, morts sous les bombes ou autrement, le chiffre doit être monstrueux en prenant pour base, seulement les morts Français, Allemands, Anglais,Italiens mais sans oublier tous les autres ! Ou les 70000 morts instantanés au moment de l'explosion de la bombe atomique lancée sur Nagasaki , après Hiroshima

Même chose lors de la première guerre mondiale oùil a suffit de la dépêche d'Ems entre Guillaume Ier et Bismarck jugée injurieuse pour la France pour déclancher une guerre de quatre ans qui aura fait 8.700.000 morts,dont 1.390.000 morts Français et 1.950.000 morts Allemands sur le terrain.
Les autres morts ayant été Autrichiens, Hongrois,Belges, Bulgares, Canadiens, Américains, Anglais,Italiens, Roumains, Russes Serbes et Turques !

Et ces abominables boucheries auront été les conséquences de décisions prises par seulement une petite poignée d''hommes politiques ou dirigeants. Et il en est ainsi à chaque conflit naissant et se développant au fil des siècles dans tous les pays du monde  et à toutes les époques.
Mais Satan ne joue pas que sur les grandes catastrophes il joue aussi avec la méchanceté latente de chaque être humain, en y ajoutant en plus la bêtise !

Allez donc chercher dans les espèces animales les individus qui battent et même torturent ou violent leurs enfants ou qui les abandonnent dans une voiture fermée et en plein soleil au mois d'Aout ! Allez donc y chercher des juges qui condamnent des innocents à des dizaines d'années de prison ! Ou encore des dirigeants qui affament leurs peuples en supprimant les cultures vivrières pour les remplacer par des cultures industrielles tellement plus lucratives pour remplir leurs compte en banques personnels ! Ou même de jeunes imbéciles qui se saoulent et se droguent avant d'aller faire la course en voiture sur les routes nationales et se tuent en tuant, aussi, des innocents qui arrivaient en sens inverse !
Et aussi les moralistes imbéciles qui sous prétexte de lois idiotes, empêchent des malades incurables et hurlant de douleurs d'etre assistés par des gens compétents pour abréger leurs vies et donc leurs souffrances ! Et soyez en assurés, Satan  a encore de beaux jours devant lui avant que ne vienne la fin de l'humanité dans un autre big bang !

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13 août 2008 3 13 /08 /août /2008 07:15
Dix ans, onze ans, douze ans, elle révèla de plus en plus son caractère de meneuse de bande.Elle avait pris autorité sur la plupart de ses camarades. Elle donnait des ordres et distribuaient récompenses et sanctions dont la plus appréciée était la fessée qui commençait par une série de claques sur le derrière et peu à peu évoluait vers une caresse de plus en plus intime et fouilleuse de vallées mises en émoi et souhaitant que le"supplice" se prolonge.
Elle avait créé, ainsi une sorte de cour au sein de laquelle les filles rêvaient d'être admises en utilisant la flatterie et les cadeaux que Gloria acceptait bien volontiers que ce soient des friandises, parfois des petits bijoux ou de l'argent qui lui constituait un petit pécule ! Et elle allait vivre chez certaines de ces préfèrées, des après-midi de repos qu'elle transformait en une grande marée de plaisirs partagées qui laissaient leurs doigts embaumant la crevette pour les longues heures de la soirée suivante, en reniflant, aussi les petites culottes échangées!
Les professeurs connaissaient l'emprise de Gloria sur ses camarades, mais n'intervenaient pas, car elle faisait règner d'année en année dans les différentes classes suivies, une discipline et un ordre parfaits
Armelle avait conservé son poste d'intendante pour des raisons matérielles, tout en continuant à jeter des sorts et des maléfices mais n'agisait plus que sur commande et moyennant finances. Elle en profitait pour initier Gloria à tout ce qu'elle connaissait de la magie. Sa fille était fascinée et se réjouissait d'augmenter, ainsi un ascendant et un pouvoir qu'elle connaissait déjà par nature.
Elle arriva au lycée, précédée par une réputation à la fois sulfureuse et de dominatrice. On se méfiait d'elle et de son emprise. Pourtant elle s'aperçut très vite que les dominantes du lieu étaient des sportives ayant atteint un haut niveau universitaire. Elles étaient les reines des salles de cours,et plus encore des vestiaires
Il lui fallait donc tenter de les amadouer et, tout de suite elle remarqua une noire de toute beauté, athlète Ivoirienne d'un mètre quatre vingt et capitaine de l'équipe féminine de basket du lycée.
C'était Tara ! Elle jeta son dévolu sur cette splendeur qui la troublait tant et tout de suite tenta de s'en faire une amie en lui demandant de l'initier à ce sport. Lui donnant ainsi l'occasion de la voir souvent et de se trouver, aussi avec elle dans les vestiaires.
Le lendemain, bien équipée, elle était présente au cours d'initiation donné par cette splendeur qui laissait Gloria bouche bée et culotte inondée ! Et très vite Gloria s'aperçut que Tara n'était pas insensible à son charme et à l'aura qui émanait d'elle.
L'une comme l'autre, au cours des passes, cherchaient à se rapprocher et à s'effleurer. Sachant que bientôt viendrait le moment de la douche, où elles pourraient se découvrir dans leurs splendides nudités. Tara était nettement plus grande et aussi plus âgée que Gloria, encore adolescente. Un corps de bronze,des seins assez menus mais de marbre et un triangle pubien en forme de forêt équatoriale en faisait une beauté encore plus troublante que Gloria n'avait pu l'imaginer. Elle en était tétanisée et tremblante à la fois. Vivant, sans le savoir, mes mêmes troubles et pulsions qu'avait vécu sa mère avec Malika !
Dès la fin de la première leçon, profitant des déluges de la douche, elles se savonnèrent mutuellement avec autant de douceur que de furtives caresses, de plus en plus intimes. Et très vite les doigts de Tara mirent Gloria en esclavage et la menèrent, jambes flageolantes jusqu'au sommet du plaisir !
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12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 07:16
Pendant toute sa petite enfance, Gloria avait grandi en partie dans la nature et ,en partie,dans l'atmosphère glauque de l'étude notariale. En passant de ce stade à celui de la préadolescence, elle avait attiré les convoitises de certains membres de la famille, malgré la vigilance de sa mère, qui pourtant ne pouvait être partout à la fois.
Elle était devenue une petite jeune fille,d'une beauté hors du commun car il émanait d'elle une sorte de rayonnement de sensualité qui mettait en éveil les sens de ceux qui l'approchaient: Brune au regard troublant d'intensité et de feu. Belle malgré l'acné qui, par crises, lui couvrait le visage lorqu'elle n'avait pas répondu assez intensément au pulsions qui envahissaient ses reins, le soir venu au creux de son lit !
Elle avait un corps de jeune sportive, entretenu par la natation pratiquée presque chaque matin, avec sa mère, dans l'étang proche de leur cabane. Une poitrine naissante mais prometteuse, des mains et des pieds de reine, mais dont elle rongeait, parfois, les ongles les jours de trop grand trouble à cause de cette particularité qu'elle avait découverte avec étonnement et qui faisait d'elle, déjà, une jeune fille fontaine !
C'était Armand,le notaire, qui le premier, avait été irrésistiblement tenté par ce corps adolescent, plein de sève et de fougue..Gloria n'avait guère d'attirance pour l'homme, mais avait été séduite par l'habileté et la perversité de caresses prodiguées en cachette, qui mettait son corps en feu et en eau chaque fois qu'il trouvait l''opportunité de l'attirer dans une sorte de placard dont il avait fait son recoin de vices dévoilés en secret à Gloria, mais aussi à sa secrétaire qui l'y rejoignait presque quotidiennement !
Armand avait appris à Gloria à faire jouer efficacement ses doigts et ses lèvres sur le minuscule appendice circoncis et odorant qui pendait sous sa bedaine, et qu'elle parvenait à émouvoir !
La seconde à avoir été tentée par des échanges avec Gloria était Valérie.Qui très attirée par les filles, comme sa mère,trouvait en Gloria une proie délicieuse à entrainer dans sa chambre et dans son lit chaque fois qu' Armelle s'absentait pour remplir des fonctions d'intendante qui l'attiraient dehors.
Pourtant, celle-ci s'aperçut des penchants de sa fille, une nuit où elle la sentit se glisser dans son lit, à la cabane, et où elle voulut avoir, avec Armelle, les mêmes gestes que ceux qu'elle partageait avec Valérie. Après avoir expiqué à sa mère ce qu'elle faisait ensemble et trouvait tout à fait normal ! Elle avait dix ans !
-"Et tu fais tout çà uniquement avec Valérie ou avec d'autre aussi ?
-"Avec le notaire, c'est moins bien: Il sent le vieux ! C'est bon aussi, mais ce n'est pas pareil, parce qu'il est mou et qu'il coule, mais chaque fois il me donne des sous pour m'acheter des caramels ! Et je le fais aussi avec Ginette, ma voisine de pupitre. Elle a une tire-lire plus grande que la mienne et toujours mouillée ! j'adore parce que çà sent la crevette
-"Et à l'école, c'est juste avec Ginette?"
-"Oh non ! Elle, c'est ma meilleure amie, mais ensemble, on le fait avec les jumelles, Marion et Murielle, elles sont plus grandes, mais elles nous invitent chez elle et on joue tout l'après-midi, dans leur chambre. On enlève nos culottes, on se chatouille le minou et on se renifle entre les jambes. On joue au docteur, avec nos doigts comme thermomètres! On adore! Et ce qu'elles aiment le plus,c'est quand je mouille beaucoup, comme si je faisais pipi
Armelle n'en croyait pas ses oreilles. Le ton sur lequel Gloria parlait de ses relations sexuelles indiquait combien elle trouvait tout çà parfaitement naturel Alors elle ne comprenait pas les réactions de sa mère et pourquoi elle ne voulait pas qu'elles en fassent autant toutes les deux ensemble !
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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 08:10
Valérie, la fille du notaire, était assez jolie quoique trop enveloppée,son père le bedonnant, la disait "grassouillette!". Mais surtout, même à son âge de seize ans elle appartenait à la race rare des filles-fontaines, et se transformait en cataracte inondant tout autour d'elle lorsqu'elle arrivait au plaisir, moment où, sous l'effet des caresses, son bourgeon, gorgé de désir, jailli de son abri,avait la taille d'un doigts de bébé !
Pour Armelle,la condition de "bonne à tout faire" se transforma au fil des jours en celle d'intendante. Corinne,aussi paresseuse que vicieuse avait tendance à se reposer sur la compétence d'Armelle pour gérer toutes les contingences matérielles de la maison.
Hormis l'obligation de satisfaire les désirs sexuels de sa patronne au petit réveil, la fonction n'était pas trop désagréable. De toute manière, bien que sorcière, elle n'avait pas le pouvoir de faire pleuvoir les Louis d'or dan son escarcelle et elle avait besoin d'argent pour vivre et pour élever Gloria.

Mais elle avait bien conscience que si elle ne se pliait pas aux exigences de Corinne, elle serait congédiée immédiatement. En revanche, sa patronne lui avait proposé de venir s'installer dans le grande maison avec sa fille. Mais Armelle avait décliné la proposition, ne voulant pas se retrouver, nuit et jour en butte aux avances de la mère et de la fille, et préférant, de beaucoup, conserver sa liberté au bord de l'étang.
Sa nature sauvage y reprenanit le dessus. Elle allait se baigner au petit matin dans l'étang, y batifolant avec les poissons habitués à sa présence. Elle chassait les gibiers d'eau,leur tordant le cou, les plumant et les faisant rôtir comme jadis à la bergerie; Tom suivait ce genre d'activité avec passion, en faisant claquer ses mâchoires, sachant qu'une partie du festin serait pour lui ! Il lui arrivait même de devenir chasseur, lorsqu'il accompagnait Armelle dans l'étang. Et son instinct lui permettait, parfois, d'attraper, par surprise, d'un coup de croc, une oie ou un canard qu'il apportait triomphalement jusqu'aux pieds de sa maîtresse.

Chaque jour elle emmenait Gloria avec elle sur son lieu de travail, mais en la surveillant de très près, ayant découvert, au bout de quelques mois, que le notaire bedonnant  et porcin se laissait entrainer à de coupables penchants pour les caresses prodiguées aux très jeunes enfants!
Elle était obligée aussi d'être très diplomate avec Corinne et Valérie, car la mère avait un fantasme qui la poussait à vouloir attirer, en même temps, dans son lit, sa fille et son intendante.

Quant à Renaud, le fils de dix huit ans, qui lui, n'ignorait rien des secrets de l'intimité de sa soeur, un peu las de se contempler, tout seul devant ses miroirs, invitait des camarades de lycée pour faire des concours d'anatomie, qui dégénéraient souvent et devenaient pretextes à des étreintes variées au creux de son lit, dont Armelle devait effacer les traces de multiples jaillisements adolescents ! Epanchements auxquels il invitait Valérie, friande de ce genre de spectacle, même si elle préférait les filles et où il aurait voulu attirer aussi Armelle, sans avoir encore osé le faire. Mais faire l'amour avec sa mère sous les yeux de ses camarades éventuellement participants faisait partie de ses fantasmes récurents !
Tous ces débordements plaisaient beaucoup à Belzébuth, qui, pourtant ne trouvait pas Armelle assez motivée et prompte à attiser le feu qui brûlait au creux des reins de toute cette famille, jugée parfaitement honorable par toute la bonne société de l'endroit !
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