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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 10:16
En entendant les propos de Jérôme, elle les trouva discourtois mais en partie perspicace, ce qui est le propre des amoureux jaloux. Elle décida de lui rendre la monnaie de sa pièce et contre attaqua, mais en cherchant, elle aussi, à le troubler !
-"Une nuit de délire?Oh oui ! Je l'ai eue ! Pour la première fois et follement intense, même en y laissant mon hymen ! Mais aucune brouille. seulement une interrogation sur cette nuit-là, face aux sentiments que vous semblez éprouver pour moi, et qui me touchent ! Voilà pourquoi vous me voyez perturbée !"
Jérôme retint la dernière phrase. Ainsi Valentine était troublée par l'aveu qu'il lui avait fait, de ses sentiments et de son désir. Il en éprouva une onde de plaisir lui envahissant les reins. S'approchant d'elle, il lui prit la main et y posa ses lèvres :-" Oui Valentine, je vous ai dit la vérité: Je suis amoureux de vous et prêt à vous le prouver en vous demandant si vous accepteriez de devenir ma compagne, au lieu de rester mon intendante ? Si mon coeur vous est déjà acquis, je suis prêt et même impatient, de vous accueillir la nuit auprès de moi. Si, au contraire, vous préfèrez vivre avec Ludovic, j'en serais très malheureux, mais je ne ferais rien pour vous empêcher de partir le rejoindre !"
Valentine encaissa le choc de cette déclaration renouvelée, assortie d'un ultimatum qui voulait dire: -"Ou tu deviens ma compagne, ou tu t'en vas rejoindre celui qui, cette nuit, est devenu ton aman!"
Du coup, elle était en plein désarroi et ne savait comment répondre à cet homme, plein de bonnes intentions, de qualités intellectuelles indébiables et peut-être sexuelles, mais qui la mettait au pied du mur, et sur un grill, tout droit posé sur des charbons ardents !
En considérant l'endroit où il vivait et où elle évoluait chaque jour en l'entretenant, elle se disait qu'elle en ferait bien sa tanière. Se retrouvant, le soir venu, blottie contre lui au creux des draps frais qu'elle avait repassés la veille. Mais en évoquant la nuit précédente, vécue dans un studio étriqué et délabré, non pas blottie mais délirante et totalement offerte dans le bras de Ludovic, elle ne savait plus où donner de la tête ni du corps, ni du coeur ! Avec un brin d'amertume et d'ironie, elle songeait que l'idéal aurait été de fondre les deux hommes dans un même moule. Alors que, juste au même moment, l'un lui offrait la sérénité et la sécurité, alors que l'autre lui avait fait découvrir la douceur la poésir et l'envolée vers le Nirvana, mais dans une insécurité et une précarité totales ! Elle sourit intérieurement en évoquant la fable "Le loup et le chien!"
En bonne logique amoureuse et féminine, dans une situation de ce genre, une femme choisit,généralement, le chemin de l'amour, même s'il est semé des épines de l'incertitude. Mais pour Valentine le parcours déjà vécu de sa vie la marquait profondément : Une enfance paysanne terriblement perturbée  par un père tripoteur et incestueux. Une adolescence de petite vendeuse dans une crèmerie, couchant dans un cagibi sous l'escalier. Puis une vie moins austère mais solitaire, poursuivie par les assiduités d'une femme, dans l'univers de la couture, qui lui avait appris ce qu'était une existence de besogneuse et d'esseulée !
Si elle choisisait le chemin de l'amour, elle allait replonger, avec Ludovic, dans le sillon de la pauvreté enrobée dans des sentiment amoureux pimentés de plaisir physique, mais logée à l'enseigne des trainent-misère Alors qu'avec Jérôme, elle aurait la vie d'une bourgeoise aisée dépourvue de soucis matériels !
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 09:10
Commencer un article aujourd'hui sans parler de la victoire de Bareck Obama ce serait faire injure à la cohorte des journalistes de l'information qui depuis des jours et des semaines et même des mois,nous bassinent avec des considérations sur les USA et ses habitants. Ce qui aurait pu être intérêssant, mais qui n'a été qu'un immense rabachâge de lieux communs toujours les mêmes et celà sur toutes leschaînes et les longueurs d'ondes radio en même temps ! Celà s'appelle la paresse intellectuelle dont est frappé cette catégorie de citoyens Français mais ils ne sont pas les seuls et nous y reviendrons !

Toujours est- il que nous ne pouvons que souhaiter bonne route au nouveau Président, à condition qu'il ne subisse pas le triste sort des frères Kennedy avec une balle dans la tête. Car, pour lui, la tâche va être lourde compte tenu de l'état dans lequel le plus nullissime de tous les présidents américains: W; Bush ! ( qui a tout de même été élu et réélu, rappelons -le!)  lui laisse les Etats-Unis, financièrement, militairement et socialement ! Comment désembourber les Etats-Unis de la crise financière mondiale, de l'Irak, de l'Afghanistan et de la détresse sociale d'un quart  de la population ?
Il va devoir ramer dur s'il veut que l'Amérique conserve une place importante dans le monde, mais qui ne sera, sans doute plus jamais la première !

Les Américains, socialement parlant, n'ont pas la chance d'avoir un Etat-nourrice comme le nôtre, qui cornaqué, par la gauche et par les syndicats, veulent toujours plus de sécurité et plus d'argent, en travaillant toujours moins. Et qui prennent leur retraite, pour certains, avec encore trois gouttes de lait ( ou de Calva !)au bout du nez !
Ni une Sécurité Sociale qui permet aux Français, et tout le corps médical s'en plaint chaque jour, de se comporter comme des "chochotes" en appelant le SAMU et SOS Médecins chaque fois qu'ils saignent du nez ou ont la colique !
Et se précipitent aux URGENCES des hôpitaux chaque fois qu'ils ont un ongle incarné, ou la migraine. Submergeant, ainsi, avec un égoïsme abyssal, des services au dévouement sans limites; mais qui sont là pour sauver des vies et non pas tapoter dans les mimines de clients, entre autres obèses à force de croquer des cacahuèttes assis devant leur télé, ou qui se sont coincés les doigts dans une porte !

Et puisqu'on parle de télé revenons, une fois encore, sur l'indigence des  programmes faits pour caresser dans le sens du poil quarante millions sur soixante quatre, de fatigués du bulbe qui jouissent dans leurs strings en regardant des flicailleries à la "mords-moi l'oeil" par centaines, ou autres émissions où des pétasses et des nanards beuglent et crachotent derrière un micro, sous la férule de dindons glougloutant et de folles de Chaillot ! Sans parler des "séries américaines rediffusées vingt fois et  démodées depuis quarante  ans ! Le monde va comme il va, mon bon monsieur, mais on ne peut vraiment pas dire que ce soit glorieusement ! N'est-il pas ?
 
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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 07:31
Placés depuis au moins un siècle au sommet de la puissance mondiale, les citoyens américains lorsqu'ils en prendront conscience vont avoir un sacré choc ! Car ils étaient fiers d'être les gendarmes du monde et de pouvoir arroser la terre entière avec leurs dollars. Mais lorsque la terrible crise mondiale qui nous frappe tous en ce moment sera passée, le monde aura changé de visage et les USA ne seront plus qu'une puissance parmi d'autres dépassées par la nouvelle dominante sur notre terre: La Chine !
Et celà n'a rien de réjouissant pour quiconque aime vivre en démocratie car les Chinois ont certes bien des qualités, mais certainement pas celle d'être démocrates ! Cest un immense empire de moutons fièvreusement actifs et marchant courbés sous la houlette ou le joug de dirigeants tyranniques et brutaux de la même pâte que l'étaient les nazzis et le sont encore les dirigeants Russes et les communistes non chinois !
Nous n'allons donc pas vers le ciel bleu de la liberté, bien au contraire ! Et celà même si, par miracle les dirigeants européens réussisaient à construire une véritable Europe forte, unie, et énergique au travail ! trois cent cinquante millions d'Européens, face à un milliard trois cents millions de Chinois: Y a pas photo !

Oui, c'en est fini de l'hégémonie américaine, et Barack Obama, s'il est élu demain,n'y pourra rien changer !
Hélàs la Chine devenue toute puissante avec comme voisine l'inde, en pleine ascension elle aussi,pour communiste qu'elle soit et grisée par sa montée en puissance n'aura certailnement ni l'idée ni le désir de présider à la mise en commun de toutes les richesses économiques du monde et de les répartir pour le plus grand bien de tous alors que c'est la seule solution pour que se construise une nouvelle civilisation qui permettrait à l'humanité toute entière de survivre et peut-être même de vivre dans un confort et une aisance relative !
Finie la fabuleuse richesse des émirs arabes construite uniquement sur le fait qu'ils ont sous leurs pieds les plus importantes réserves de pétrole au monde. Cet or noir, où qu'il se trouve devra appartenir à l'humanité toute entière et non plus aux habitants du sol sous lequel il se trouve ! Et celà pour toutes les richesses existantes dans le monde où qu'elles se trouvent !
Voilà ce qui devrait se faire et la crise économique et financière mondiale qui se développe en ce moment devrait être le signal pour nous permettre d' abattre nos égoïsme locaux qui sont obsolètes ! Quelle voix sera assez puissante en ce monde pour faire comprendre cette évidence aux sourds et aux aveugles que nous sommes? Hélàs elle ne doit pas encore exister et  si elle s'élève, un jour, il sera sans doute trop tard !

D'autre part, Monsieur Bernard Thibault qui pérorait hier soir en vitupérant contre les dividendes servis aux actionnaires des Sociétés n' a jamais, sans doute imaginé, pas davantage que Besancenot, que, lassés par ce genre de discours démagogiques, les dits actionnaires pourraient exiger le remboursement de leurs actions au prix d'aujoud'd'hui, sans doute pour les réinvestir autrement, en laissant les "va de la gueule" comme eux, le cul nu dans leurs entreprises totalement démunies ! Ils auraient l'air malins ces mous du bulbe !
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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 10:11
Cet accouplement n'était pas fait, seulement de désir physique, mais d'une union qui enveloppait tous les rêves et les fantasmes que chacun d'eux avaient engendré de son côté, au creux d'une solitude enfin brisée. Ils ne se roulaient pas seulement dans les transports de leurs corps assouvis, mais aussi dans la douceur des voiles de la tendresse et de la découverte de l'autre jusqu'au plus intime de lui-même. Et, voulant se garder un souvenir plus précis, encore, Valentine se laissa glisser le long du corps de Ludovic pour aller recueillir, sur lui, les trainées et les effluves de leur étreinte !
Ils étaient, maintenant au coeur de la nuit et ils se laissèrent aller dans les replis d'un sommeil apaisé. Le réveil arriva avec l'étonnement et le plaisir de le vivre ensemble, alors que les corps, à peine sortis de leur torpeur, se cherchaient et s'attiraient pour une nouvelle étreinte forte de leurs sens revigorés !
Puis vint le temps des toasts grillés et du café odorant et fumant, bu les yeux dans les yeux. Ni l'un ni l'autre ne savaient où ils allaient, mais le temps des questions posées n'était pas venu, après tant de temps d'attente, de désespoirs et d'espoirs enfin réalisés !
Pourtant était venu, pour Valentine, celui de réintégrer son poste. La séparation fut difficile et ponctuée d'une question de Ludovic: -"Quand reviens-tu ?" Sans attendre la réponse vint, mais évasive: -"Le plus tôt possible, mais chez Jérôme, j'ai des obligations!"
En répondant, ainsi, Valentine cherchait à cacher son désarroi, car la situation avait évolué si vite et si intensément qu'elle se sentait prise au dépourvu. La salive des derniers baisers à peine évaporée, elle se retrouvait dans son cadre de travail. Avec, heureusement pour elle,le temps d'une journée pour remettre de l'ordre dans son aspect physique. Effaçant avec regret en se glissant sous la douche, les traces de leurs élans communs. sans pouvoir faire disparaître  les grands cernes mauves qui soulignaient son regard.
Mais aussi remettre de l'ordre dans ses pensées, puisque Jérôme lui avait ouvert les portes d'une vie commune qui, pour elle, serait un havre de sécurité, de tendresse et, peut-être d'une vie sexuelle épanouie !
Alors que rejoindre Ludovic l'exposait à retourner dans une galère qui, même en tenant compte de la joie et de ce qu'on pouvait appeler un certain bonheur partagé, la remettait en zone d'insécurité pour une durée indéterminée.
Jamais elle ne s'était sentie pkus maîtresse de son destin, mais loin de lui procurer du bonheur, cette situation faisait monter en elle une irrepressible panique. Elle appréhendait la soirée qui,si elle restait chez Jérôme, et ne s'enfuyait pas dans son studio avant son retour, risquait d'être un moment difficile à assumer. pourtant elle décida de rester. L'après-midi fut long à vivre, mais elle était déjà plus sereine lorsqu'elle entendit la clé tourner dans la serrure.
Pas assez, pourtant, pour que Jérôme ne s'aperçoive pas du trouble qui se lisait de manière évidente sur son visage. Il imagina que Ludovic devait, probablement, en être la cause et il sentit un pincement de jalousie lui empoigner le coeur.. Du coup, sortant de son devoir de réserve, il devint inquisiteur et même discourtois
-"Je vais sans doute vous paraître indiscret, mais ce soir, je vous trouve la mine défaite et les yeux cernés. comme si vous aviez passé une nuit de délire qui se serait terminée par une brouille !
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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 13:05
Il fallait s'en douter. Déjà à Florence au Moyen-Age, les banquiers étaient considérés comme des fumiers et l'envie ne manquait pas à l'instar de Savonarole de les brûler sur la place publique! Non contents d'avoir joué aux  c.... avec leurs traders avant que la crise n'explose, lorsqu'elle s'est déclarée ils ont fait comme la cigale: Ils ont "crié famine!" en disant que si l'Etat Providence ne leur venait pas en aide ils allaient mourir exangues et ruinés !
L'Etat Providence a eu pitié d'eux et au lieu de les laisser crever le nez dans leur pourriture, il a débloqué des milliards d'euros et encore des milliards pour leur sauver la mise à condition qu'ils ne cessent pas d'approvisionner en crédit les emprunteurs dans l'urgence pour sauver leurs PME et les dépenses faites par les particuliers pour payer leurs remboursements immobiliers ou autres !
Et les voilà maintenant renfloués assis derrière leurs bureaux directoriaux avec leurs crânes chauves, leurs bedaines replètes et leur haleine de poneys au petit jour, qui font la fine bouche pour accorder  les crédits demandés, à ceux qui en ont un urgent besoin ! Vous connaissez vraiment la signification de l'expression "faux-culs!' couplée avec celle de "salauds" Et bien voilà, vous y êtes et si vous devez avoir affaire à ces gens là dans l'urgence, vous avez toutes les chance de crever la bouche ouverte et les doigts de pieds en évantail dans l'eau pheniquée !
On le savait à l'avance, mais on se disait,: -"Cette fois c'est si grave qu'ils n'oseront pas!" Et bien si, ils osent et font bombance le cul vissé sur leur coffres à nouveau remplis d'or ! ! ! ! Vous pouvez bien gerber, il n'en ont que faire et se marrent d'avoir "baisé la gueule" aux cochons de clients payants !
Et vous allez voir que les parachutes dorés vont refleurir comme champignons en forêt à l'automne, si ce n'est déjà fait !
Et maintenant, il y a encore bien plus grave que ces plaies d'argent pourtant souvent mortelles pour ceux qui en sont les victimes : Il y a ce qui se passe au Congo ou le spectre du génocide comme celui qui a eu lieu au Rwanda se profile à l'horizon, Avec à peu près les mêmes protagonistes. Mais les uns armés de machettes pour se défendre en courant les routes de l'exode avec femme et enfants sous le bras, et les autres d'engins blindés offerts par les Etats dits civilisés pour, éradiquer des centaines de milliers de femmes d'enfants et d'hommes aussi !
Et tout celà pourquoi ? Vous n'avez pas encore deviné ? Alors c'est que vous n'avez jamais entendu prononcer le mot "pétrole!". Pourtant, il coule à profusion dans les cylindres de votre voiture et ne coûte plus trop cher, en ce moment, grâce à la chute des cours de l'or noir ! Mais ce n'est que partie remise, vous verrez !
Les prédateurs qui pourchassent ces malheureux fuyards se sentent frustrés de voir passer sous leur nez les milliards que l'on tire du sous-sol de leur région sans qu'un fifrelin n'en retombe dans la calebasse de la mama du cru qui pille son millet, et ils n'ont pas tord !
Mais ces milliards là au lieu de retomber éternellement dans les poches de financiers bedonnants et d''hommes politiques du coin déjà riches à milliards, devraient être répartis équitablement au niveau mondial, tout comme l'or noir qui dort sous les babouches des émirs arabes sous prétexte que cet or noir se trouve sous les fondations de leurs palais ou de datchas de potentats russes. Et les diamants et l'or sous les cases
d' Africains des Etats détenteurs de ces trésors !
Et si nous ne réalisons pas cet état de fait et ne réagissons pas, très vite, contre lui nous n'aurons pas besoin de creuser nos tombes avec nos dents. Elles seront déjà ouvertes et prêtes à nous accueillir in vitam aeternam !
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31 octobre 2008 5 31 /10 /octobre /2008 10:21
Jamais la vie n' avait donné, à Valentine, l'occasion de vivre une telle situation: Nue auprès de l'homme qui l'attirait, nu également et l'un et l'autre au bord des caresses intimes dont elle avait tant rêvé ! Elle sut les aborder presque d'instinct lorsque la bouche de Ludovic se mit à butiner  ses lèvres, puis ses seins, Faisant dresser leurs pointes,alors que ses doigts descendaient vers sa toison crépue et y naviguaient doucement avant d'aller un peu plus bas pour effleurer le capuchon de son bourgeon, et plus bas encore jusque dans la vallée  dont elle ouvrit  l'intimité en écartant ses nymphes qui se décollèrent  en chuintant, la faisant frémir !
Elle allongea la main pour atteindre cette colonne de chair, tendue, qui avouait son désir dans sa raideur vibrante et se tendait vers ses lèvres comme en un appel. Quel émoi en les ouvrant, en hésitant,  pour l'accueillir entre elles !
Alors Ludovic ondula pour se retrouver tête-bêche avec sa partenaire avec juste son visage face à la vallée maintenant offerte et brillante de liqueur nacrée !
Ils avaient l'un et l'autre, tant rêvé de cet instant, que leurs caresses les menèrent, très vite, au sommet de la montée de leurs désirs. Valentine sentit sa chair envahie et secouée par les spasmes violents d'une jouissance tellement plus puissante que lorsqu'elle se la procurait en solitaire ! Elle cria en s'envolant tendue en arc de cercle, alors que, presque en même temps, Ludovic lui inondait les lèvres et le visage d'une semence dont elle recueillit les saccades, l'une après l'autre !
Ayant plongé ensemble dans le trou noir semé d'étoiles du nirvana, ils restèrent quelques instants immobiles, avant de se retrouver face à face et de recueillir sur leurs lèvres l'élixir merveilleux de leurs plaisirs mêlés !
Ils ne parlaient pas, leurs mains, seulement s'étaient rejointes et leurs doigts poisseux, s'étaient entrecroisés. Leurs cerveaux reprenaient peu à peu leur liberté de penser. Ils étaient heureux de ce qu'ils venaient de vivre, et, sans se concerter, déjà pressés de se retrouver et de se caresser à nouveau.
Leurs corps réagissaient, à l'unisson, et réclamaient, déjà, le droit de se retrouver, de faire crisser leurs toisons l'une contre l'autre et enfin de se blottir l'un dans l'autre!
Et Valentine vibra, pour la première fois, du désir de sentir venir en elle la chair vibrante de Ludovic. Lorsque d'une seule poussée rendue glissante par la mêlée de leurs liqueurs, le sexe franchit le seuil de l'hymen, elle ne put retenir un gémissement de bonheur !
Un moment immobile au coeur de la grotte vibrante, dont les parois lisses et glissantes l'ensserrait de tous ses muscles, comme pour mieux le retenir prisonnier, il se laissait emprisonner. Il contemplait le visage de Valentine qui, les yeux clos, et se mordant les lèvres, se concentrait toute entière, sur cette fusion intime qui la préparait à une nouvelle montée d 'un plaisir qu'elle découvrait pour la première fois. Doucement, il ondula en elle pour mieux la visiter jusqu'aux confins de son berceau moite et conquis.
En elle tout n'était que fusion, fluidité et béance, toutes les fibres de son antre ruissellante appelaient au contact toujours plus intime, avec le dôme qui la taraudait de plus en plus fort et loin. Avant que ne fuse, à nouveau, les jaillissements qui fouettèrent les parois assoiffées de leurs liqueurs amoureuses et mêlées !
Pour mieux le sentir et le garder elle lui ceintura la taille de ses jambes, cuisses mollets et pieds croisés, accompagnant d'un mouvement du bassin les allers et venues de la colonne vibrante en elle dont le désir exsudé empoissait leurs toisons collées l'une à l'autre !

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30 octobre 2008 4 30 /10 /octobre /2008 07:02
A cinq jours de l'élection Présidentielle aux USA, même si les sondages sont indubitablement favorables à Barek Obama, on peut encore s'interroger sur l'issue du vote. Dans un Pays qui, non seulement a été capable d'élire W; Bush à la Maison Blanche, malgré sa totale incompétence et son niveau intellectuel proche de celui des vaches gardées dans les corrals du Texas, mais encore ils en ont rajouté non pas une louche mais des wagons, en le REELISANT pour un second mandat ! Ce qui prouve que les habitants de l'un des pays les plus puissants du monde (mais plus pour longtemps) ne sont pas allergiques à l'idée d'être dirigé par un âne bâté et  conseillé par des salauds,  qui les a plongé dans les horreurs de la guerre en Irak, en leur mentant sur les soi-disant implantations militaires irakiennes dangerosissimes pour la paix du monde,de Saddam Hussein, Alors qu'il ne voulait que mettre la main sur le pétrole et une fois encore ont mené cette guerre en s'attaquant aux civils d'abord pour protéger leurs chers petits  G.Is !
Même si Mac Cain n'a pas tout à fait le même niveau intellectuel que le Président sortant, le seul fait qu'il se soit drapé dans les plis de sa position d'héroïque soldat dans la guerre du Vietnam n'est pas très encourageant. Puisque, si nous avons un peu de mémoire nous devons nous souvenir que cette guerre, malgré le comportement déjà courant des Américains à faire la guerre (comme en Corée!) en tuant, d'abord les civils à coups de bombe au napalm ou d'engins défolliants pour détruire la végétation et provoquer la famine, s'est terminée par une râclée magistrale, Juste après la déculottée que nous avions prise avant eux et qui s'est terminée, comme on le sait, par le désastre de Dien Bien Phu !

Alors pour en revenir à aujourd'hui  racistes comme ils le sont jusqu'au fond de leurs tripes, surtout dans les Etats du Sud, les Américains qui disent vouloir voter pour Obama, seuls devant leur machine à voter le feront-ils vraiment ? Ce n'est pas certain du tout ! Encore quelques jours avant de le savoir !
Et de toute manière quel que soit l'élu on lui souhaire bonne chance car il va dès le premier jour devoir affronter l'horrible conjoncture financière et économique mondiale, au sortir de laquelle, si on en sort, il devra
 faire prendre conscience à ses concitoyens que les USA ont perdu leur place au premier rang des puissances mondiales et que de ce fait ils n'ont plus aucune raison de vouloir, à tout prix , jouer les gendarmes du monde, qui dès lors, auront, sans doute les yeux bridés mais ne seront sans doute pas plus efficaces que leurs prédécesseurs ! Ou alors, carrément pires ! N'est ce pas Mao !

Et vlan, voilà que tout recommence en Afrique et en l'occurence au Congo ou les rebelles soutenus par le Rwanda envahissent le territoire pour s'attaquer au gouvernement en place. Ce sont, paraît-il, des Utus ! Alors qu'on se souvienne du bain de sang provoqué il y a quelques années par l'affrontement entre les Utus et les Tutsis. Les Africains sont encore tellement inféodés à leur conception tribale de la vie qu'ils ne peuvent pas s'empêcher de s'aggresser les uns les autres jusqu'à en arriver à s'entr'égorger à coups de machettes, et celà dans à peu près tous les Etats Africains. Alors que sur leur immense continent à peu près tous crèvent de faim et que dans les nombreuses tribus de singes qui peuplent leurs territoires, il ne viendrait jamais à l'idée, à une tribu de chimpanzés de partir à l'attaque d'une tribu de ouistitis ou de babouins pour la détruire ! Et on prétend que les hommes sont civilisés ! Ah oui ! Vous avez vu çà où ? Du côté de chez Hitler, de Staline ou de Mao ?
 
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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 07:36
Le corps de Valentine était collé contre celui de Ludovic et, ainsi incrustés elle sentit, avec trouble ce qu'elle devinait être la virilité épanouie du garçon, collée et dure contre sa cuisse ! Son trouble augmenta, alors que Ludovic, soudain envahi par la timidité s'écartait d'elle pour dire: -"Tu es venue, enfin, quel bonheur ! Tu vois ma tanière est modeste, mais si heureuse de t'accueillir !  Prenons le verre des retrouvailles, nous l'avons bien mérité !
En entendant ces mots, Valentine eut peur qu'il n'ait conservé son habitude de boire trop, mais il avait l'air tout à fait normal. Alors elle verrait bien par la suite ! Même noyé de glaçons, le whisky de médiocre qualité lui coula dans la gorge , comme de l'eau de feu, car elle n'en avait pas l'habitude. Mais, très vite, elle sentit aussi son effet au coeur de son intimité soudain réveillée et palpitante ! Ludovic expliquait:
:
-"Quand nous nous sommes quittés, j'ai décidé, pour atténuer ma peine, de me mettre à travailler vraiment. Je suis allé voir une maison de disques pour leur proposer mes chansons dont ils n'ont pas voulu, mais par contre, ils m'ont proposé un poste dans leur service commercial, pour accueillir les nouveaux talents. C'était cruel, mais celà m'a permis de m'installer  ici. Côté sentiment, personne que toi, comme dans un rêve impossible !
"-"Et bien moi, après t'avoir quitté, j'étais si triste que j'ai fait des bêtises et en sortant de l'hôpital ma tante m'a chassée de chez elle et du magasin. J'ai été recueillie par des religieuses qui m'ont appris la couture. j'en avais fait mon métier et j'étais passionnée, mais la patronne de l'atelier était tombée amoureuse de moi et voulait que je vive avec elle. J'ai refusé et elle m'a chassée. J'avais une bonne cliente qui a su mon problème. Son amant de l'époque cherchait une intendante et elle lui a suggéré de me proposer la place. J'y suis encore, mais sa maîtresse a disparu depuis longtemps.Je ne suis pas devenue sa compagne pour autant, mais nous nous entendons bien !
Leur verre vide à la main, ils se trouvaient assis, côte à côte, sur le canapé-lit. Le whisky avait continué à faire son effet, diffusant de l'audace dans les veines de Valentine !
Ce fut elle, qui la première, eut un geste de caresse de la main. Il se pencha pour l'embrasser et leurs lèvres s'unirent, enfin,chaudes, soyeuses puis humides ! Elle tenta de commencer à le déshabiller, mais son embarras fit sourire Ludovic, qui se leva, et la mit debout, elle aussi, pour pouvoir ouvrir le canapé-lit et les draps. Puis d'un geste décidé, il commença à se dévêtir. Très vite il se retouva nu, face à elle, qui baissant les yeux, par pudeur, se trouva confronté, au contraire avec la vision de son sexe dressé et tendu vers elle, comme pour une demande !
Pour ne pas rester sottement immobile, elle commença à se déshabiller, elle aussi, sans oser se mettre complètement nue. Encore en sous-vêtements elle s'avança vers lui. Ils s'enlaçèrent, avant que Ludovic ne l'entraîne sur le lit ouvert, où il acheva, les doigts tremblants de la mettre nue !
La première fois où ils s'étaient trouvés allongés ainsi, ils n'étaient pas nus. Cette fois, après en avoir tant rêvé, Valentine sentait la peau de Ludovic contre la sienne et, pressée contre sa cuisse, la colonne dure et chaude qu'elle osa effleurer de la main !
Ce premier contact les tétanisa, et ils eurent envie d'autre chose. Alors Ludovic  se mit  tête-bêche avec elle, pour pouvoir, enfin, accomplir les caresses intimes de leurs doigts et de leurs lèvres dont ils avaient tant rêvé, mais dont Valentine ignorait tout !
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28 octobre 2008 2 28 /10 /octobre /2008 10:08
Lorsqu'on entre dans les arcanes du pouvoir et que l'on prend conscience de ce que représente la somme de qualités de sang froid et de nerfs solides nécéssaires et indispensables pour être Premier Ministe en France,, quel que soit le bord politique auquel on appartient, on ne peut que tirer son chapeau et rendre hommage à tous ces hommes et à cette femme qui ont exercé ce pouvoir, dont la tâche est tellement harrassante, que l'un d'eux reconnait qu'on ne peut tenir ce poste plus de trois ans sans risquer d''y laisser sa santé et par voie de conséquence au bout du compte, sa vie !
D'autant plus que même si la plupart d'entre eux ont suivi un cheminement politique et ministériel qui les préparait un peu à cet aboutissement, la réalité et l'ampleur de la tâche est telle que du jour où ils ont exercé ce pouvoir pendant quelques semaines, ils doivent être effrayés eux -mêmes de constater le guêpier dans lesuel ils se sont fourrés !
Car en fait, même s'ils savent s'entourer de collaborateurs fidèles, ils vont se trouver également cernés par une meute de chacals et des hordes de guêpes et moustiques de tous poils et de toutes ailes, jaloux de ne pas faire partie de l'équipe ou adversaire annoncés de l'équipe en place.Qui vont  tout essayer pour les faire trébucher er ironiser sur ses erreurs éventuels ! Mais il y a pire encore pour eux : Ce sont les faux culs qui font précisément partie de l'équipe dirigeante mais qui par hargne de ne pas y avoir obtenu le poste qu'ils convoitaient vont tout faire pour freiner et même contrecarrer les tentatives  de marche en avant. Combien de lois, duement  votées, par les deux Assemblées, ne verront jamais le jour parce que les décrets de lois nécéssaires pour que la lois entre en vigueur ne seront jamais signés ou avec un tel retard que la loi en deviendra obsolète !
Dans  ce rôle là, les principaux artisans se trouvent à Bercy, grenouillère et bassine de rancunes distillées par une race particulièrement dangereuse et nocive: celles des Enarques de deuxième zone qui ont décroché leur diplôme par miracle ou par copinage et qui se croient  des génies méconnus mais pourtant sortis de la cuisse de Jupiter. Ce sont les plus dangereux les plus perfides et les plus nuisibles! Et ils sont nombreux !
Mais pour le reste, ces Messieurs les Premiers Ministres se troubvent confrontés à des tâches gigantesques et très souvent urgentes, avec des directives de la Présidence et des conseillers nombreux mais qui se trouvent en fin de compte seuls pour décider et trancher en sachant que s'ils se trompent, ils seront entourés d'une horde de chacals ricanants, de hyènes avides et puantes et de frelons dangereusemnt piquants.
Non, à dire vrai, pour importante et prestigieuse qu'elle soit la place de Premier Ministre n'est pas une place enviable, loin de là.D'autant que, nommé par le  Président, s'ils échouent dans une entreprise, il seront désavoués par le dit Président, et placés sur un siège éjectable ! Et ayons une pensée toute particulière pour Madame Edith Cresson qui s'est assise dans ce fauteuil avec la difficulté supplémentaire d'être une femme et donc la proie de tous ces sales bestioles machistes qui pullulent dans les allées du pouvoir ! Il faut des reins et des nerfs d'acier trempé pour oser s'aventurer sur une telle galère !
Pour Obama, s'il est élu à la Maison Blanche en dépit d'un système électoral ubuesque il aura, lui aussi la tâche rude. Car il faudra, au delà de LA CRISE à résoudre, faire comprendre à ses électeurs que désormais les USA ont perdu d'ores et déjà leur leadership, du monde, qui sera alors dominé à n'en pas douter, par la Chine et probablement aussi par l'Inde. Dure pillule à avaler pour ces cow-boys du Texas qui à l'image de leur Président finissant et champion de la stupidité qu'ils avaient élu et même réelu ( pauvres débiles !) se prennent encore pour le centre de l'Univers !
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27 octobre 2008 1 27 /10 /octobre /2008 15:08
Ludovic avait un papier tout préparé dans sa poche qu'il lui tendit. Elle le prit en le lui arrachant des mains, comme si elle avait peur de se brûler à son contact, alors que ses jambes se dérobait sous elle et que son intimité était envahie par des papillons multicolores et des lézards indiscrets !. Lui, avait tourné les talons pour dévaler l'escalier, comme s'il avait le diable à ses trousses, alors qu'il mourait d'envie de la prendre dans ses bras et de la sentir collée contre lui !
En arrivant chez Jérôme, elle était très pâle,et son intimité battait la chamade, mai s il n'était pas là ! Elle avait, donc jusqu'au soir pour se remettre les idées en place. Quelle farce lui jouait le destin en la mettant, à nouveau, en face de Ludovic en chair et en os. Lui qui hantait ses nuits et la transformait en marécage dès que ses doigts étaient partis en voyage, en s'imaginant sur une plage de sable blond allongée contre lui à la limite des vagues friselottantes qui leur l^chaient les pieds !
Et celà, juste au moment où Jérôme lui déclarait sa flamme ! Et comment se comporter, aussi bien avec l'un qu'avec l'autre ? Elle se sentait complètement désemparée!
D'un côté, elle avait l'homme dont elle était amoureuse, depuis longtemps, mais qui lui convenait mal comme compagnon, à cause de son côté inconsistant et rêveur et de son hygiène douteuse; et de l'autre un homme séduisant, possédant les qualités que n'avait pas son rival, qui voulait faire d'elle sa compagne et qui était, sans doute un excellent amant, mais qu'elle estimait sans éprouver d'amour pour lui.
Comme elle ne pouvait pas réunir les deux en un seul et qu'elle ne voulait pas être la maîtresse de l'un et la compagne de l'autre, elle risquait de se retrouver assise entre deux chaises et de mourir de faim et de soif comme l'âne de Buridan !

Dans le calme de l'appartement de Jérôme, qu'elle astiquait tant et plus, elle décida de déserter son poste et d'aller chez Ludovic pour voir qui il était devenu réellement et comment il vivait. En arrivant chez lui, elle se sentait à la fois toute molle et le coeur battant. Sa culotte tirebouchonnait entre ses cuisses.
En la voyant, ainsi, pâle et defaite comme il l'avait été le matin même, il sourit et lui tendit les bras. elle s'y laissa tomber, et, la tête sur son épaule, elle retrouva, en plus atténuée, l'odeur qui était la sienne et dont elle avait fait l'un des troubles de ses fantasmes.
il la tenait dans ses bras, sans chercher à la serrer de trop près et pourtant elle sentait la barre de son sexe durci plaqué contre sa cuisse ! Sa  barbe lui grattait la joue, et elle retouva ce contact rêche avec émotion Et ce fut elle qui éprouva le besoin d'un contact plus proche en se collant à lui !
Elle éprouvait, dans ses bras, ce fourmillement si souvent ressenti lorsque seule, dans l'intimité et la tiédeur de ses draps, elle pensait à lui ! Tout son corps se tendait vers cette virilité qu'elle sentai palpiter contre son pubis et écartait les cuisses pour le sentir s'intégrer un peu, entre elles !
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