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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 14:22
On croirait que pendant les périodes de crise grave comme celle que nous traversons, la bêtise humaine en profite pour se répandre encore un peu plus comme une coulée de lave baveuse et puante! Du Brésil au Mexique, jusque dans les couloirs de nos Assemblées en passant par le Vatican, elle courre elle courre, mais hélàs pas "comme une maladie d'amour!"
Commençons par le Brésil ! A Recife,une petite fille de neuf ans (neuf ans!!!!!) est violée par son beau-père qui la féconde et la met enceinte de jumeaux! Sa mère décide de la faire avorter ! Et que fait le cardinal archevêque de Recife? Il excommunie la mère de la fillette et toute l'équipe médicale qui a pratiqué l'avortement ! Et comble de l'énormité, le Vatican par un autre cardinal interposé, soutient la décision du confrère brésilien ! CONFRERE OU FRERE CON?
Mais où, le sous pape qui gouverne l' église catholique va-t-il chercher ces "princes de l'Eglise" pour les voir et entendre proférér de telles monstruosités? Et il voudrait que" l'Eglise croisse et se multiplie!" Mais il doit avoir les neurones empêtrés dans les recoins de sa tiare ce pauvre Souverain Pontife et le sexe coincé dans les replis de sa soutane !

Deuxième cas d'espèce au Mexique où une jeune Française Florence Sarrez vient d'êtrecondamnée à 97 ans de prison (peine ramenée à 70 ansen appel) comme complice de son amant Mexicain, maffieux de haute volée dont elle ignorait probablement tout de ses activités illicites. Certes elle aurait mieux fait de vérifier un peu mieux par quel truand elle se faisait tringler, chaque soir! Mais de là à la condamner à soixante dix ans de prison, on s'aperçoit qu'il n'y a pas qu'en France que la Justice marche sur la tête et s'empêtre, elle aussi dans les replis de sa toge et l'étroitesse de son étole de vison! Espérons que le Président en voyage au Mexique dès demain la ramènera dans son avion !

Chaque jour on s'aperçoit davantage que dans la plupart des pays, les hommes sont gouvernés et régis par des zozos, des malades mentaux et des obsédés de l'aiguillette nouée. Vous voulez un exemple: Commençons par dire qu'aucun lien d'aucune espèce ne nous rattache à Madame Rachida Dati, Mais si seulement un quart de ceux qui nous gouvernent avaient le quart de l'intelligence et du courage de cette Ministre de la Justice,Garde des Sceaux , nous serions bien gouvernés !
!
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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 10:20
Le fait de n'être plus seule dans son appartement, au moins pour un temps, la rassurait, puisque Mickaël, amoureux mais très indépendant, ne vivait pas avec elle et que lorsqu'ils voulaient se retrouver intimement, c'était plutôt elle qui se rendait chez lui. Ne plus être seule en ces moments de trouble était d'un grand réconfort pour elle, d'autant plus que la cohabitation avec Râni à New-Delhi s'était bien passée et même, en raison de la dernière nuit passée avec elle dans sa geôle, avait laissé des traces inavouées mais réelles dans la sensibilité de Clémentine.En fin d'après-midi, Emmanuel la convoqua dans son bureau pour lui annoncer que les "on-dit" au sujet de sa brève allocution lui étaient, dans leur ensemble, favorables, et qu'il s'en réjouissait. Alors, sans la moindre intention maligne, elle sortit de sa poche le petit cercueil et l'enveloppe portant le voeu qui l'accompagnait.
Il se montra consterné, tout en esayant de dissimuler l'inquiétude que lui inspirait un tel message et il eut la surprise d'entendre Clémentine lui dire en montrant le message:-"Ce n'est pas lui qui aura ma peau, mais moi qui aurait la sienne!"
Au moment de quitter son bureau pour rentrer chez elle, Clémentine, en ouvrant la porte mitoyenne avec celui de Râni, en souriant lui fit signe que la journée était terminée. Ensemble, elles dezcendirent jusqu'au parking en sous sol de l'immeuble.En riant, Clémentine, d'un geste proposa à Râni de prendre le volant. La jeune femme effrayée, mit une main devant sa bouche et avoua:-"Je ne sais pas conduire!"
Une fois les deux femmes sanglées, Clementine engagea son véhicule dans la rampe d'accès à la sortie qui désservait plusieurs niveaux et, arrivée au dernier virage avant la sortie, elle sentit sa direction devenir molle et perdit le contrôle de sa voiture qui alla cogner contre le mur, du côté passager. Le choc ne fut pas trop brutal, mais suffisant, cependant pour déclancher les air-bags avec un petit bruit d'explosion et une odeur de brûlé.
Un peu choquée, Clémentine se demanda ce qui arrivait, d'autant plus qu'une autre voiture arrivant derrière, dut freiner à mort pour ne pas taper dands le coffre.
Râni, recroquevillée sur son siège, sans un cri, avait cru sa dernière heure venue et s'étonnait d'être encor vivante.Il fallut faire appel au service de dépannage-maison, pour dégager le véhicule, mais en attendant, Clémentine examina avec attention les roues de sa voiture et s'aperçut que l'un des pneus était crevé et que la roue opposée avait pris un angle bizarre, sans rapport avec l'importance du choc.
Instinctivement, elle soupçonna un sabotage et les dépanneurs étant arrivés, elle leur demanda de faire , discrètement un rapport pour le lendemain,sur l'état de son train avant. Puis, l'affaire règlée, elle commanda un taxi pour rentrer chez elle avec Râni.
Une fois arrivées à bon port, elle qui ne buvait jamais d'alcool proposa un verre de rhum à la jeune femme qui le refusa. Elle, par contre s'en servit un, avant d'indiquer la salle de bains et de proposer à Râni de prendre une douche. Elle sirotait son verre, à demi allongée sur le divan du séjour en songeant à leur aventure, lorsqu'elle vit arriver l'Hindoue, totalement nue, ne sachant dans quelle pièce se rhabiller. Râni, toute nue était une splendeur de femme, menue certes mais aux proportions de mannequin, à la poitrine de rêve et visiblemenet sans aucune gêne de se montrer ainsi devant Clémentine, quelque peu troublée !
Clémentine se souvint des allusions qu'elle avait faites à New-Dlhi, le dernier soir, à propos d'un cercle de ses amies qui aimaient se retrouver intimement entre elles et se demanda si ce n'était pas là une invite discrète. Alors,quoique troublée, elle fit l'indifférente, tout en ayant l'air de trouver ce comportement tout à fait naturel et de n'y attacher aucune importance.

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 08:13
Le lendemain matin, lorsqu'elle arriva au bureau, car on ne lui avait donné aucun congé spécial, elle s'attendait à être reçue avec amitié, peut-être même avec effusions. Il n'en fut rien, au contraire. Les sourires étaient contraints, les silences pesants.Son équipée indienne, avait été accueillie diversement, à cause de son issue difficile. La direction se tenait sur la réserve à cause du reproche de manque de protection accordée à leur ambassadrice, et les collègues de Clémentine, sachant depuis longtemps les sentiments d'Emmanuel pour elle, avaient attribué cette mission à une escapade destinée à la faire tomber dans son lit.
L'arrivée de Râni,installée d'office dans le cadre de la Société, et le fait qu'il lui soit attribué un bureau et qu'elle aille vivre, provisoirement, chez Clémentine n'avait rien arrangé mais tout embrouillé ! Râni d'ailleurs avait été assez gênée de devoir partager le dîner des amoureux avec Clémentine et Mickaël, à nouveau réunis. Elle avait dormi sur le canapé du séjour, en se sentant de trop.
Et le lendemain un vide abyssal s'était fait à la table de direction ou sa plave avait été retenue avec Râni pour voisine.Tout celà angoissait les deux jeunes femmes et Clémentine trouvait qu'on ne faisait rien pour lui faciliter sa prise de poste nouvellement attribué.
Un matin, peu après son intronisation à ce poste de directrice du service des recherches, étant encore dans ses petits souliers, et de méchante humeur, sachant que sa récente nomination n'avait pas été appréciée par tout le monde elle avit eu un choc: Dans son courrier une enveloppe blanche, non cachetée et contenant un petit cercueil en carton, avec sur l'envers du rabat de l'enveloppe un bref commentaire:-" C'est tout le mal qu'on souhaite à l'usurpatrice!
Le message provoqua en elle un noeud à l'estomac et une boule dans la gorge; Elle chercha et soupçonna tout de suite d'où pouvait émaner cet élégant cadeau. L'un de ses collègues, entre autres, ayant brigué depuis longtemps le poste qui lui passait sous le nez.et sachant que c'était Emmanuel à qui elle le devait !
Sans la présence d'Emmanuel ni de Mickaël, elle se sentait seule pour rédiger le petit discours qu'elle devait faire à midi devant la quarantaine de collaborateurs qui devaient travailler avec elle. Petit discours émettant les voeux d'une bonne marche de l'équipe et d'avancées spectaculaires dans leur recherches. Elle termina par un môt concernant Râni, présente dans la salle:-"La jeune femme qui est à mes côtés s'appelle Râni. Elle a été, à la fois ma gardienne et ma protectrice pendant ma captivité à New-Delhi. Elle est revenue avec moi parcequ'à cause de mon enlèvement elle était en danger dans son Pays. En ayant  toutes les capacités, elle fera partie de notre équipe; Et je lui souhaite la bienvenue.Fin de discours accueilli dans un silence prudent suivi de quelques applaudissements timides. Et les sourires étaient figés lors du pot qui suivit la réunion.
Une fois le déjeûner terminé revenue dans son bureau avec Râni, elle contemplait la jeune hindoue qu'elle trouvait ravissante avec son beau visage basané et ses yeux d'aigle noir.Et se souvenait, avec trouble, de la dernière nuit passée auprès d'elle en captivité. Puis elle sortit le petit cercueil de son enveloppe et le tendit à Râni en lui expliquant comment il lui était parvenu. La jeune femme eut un recul dû à sa superstition face à la mort.
-"Comme vous êtes étrangère à la Société et que vous n'y connaissez personne, je pense qu'on se méfiera moins de vous, alors je compte sur vous pour laisser trainer vos oreilles et tenter de savoir qu me veut tellement du bien!. Maintenant installez vous dans le petit bureau mitoyen du mien, je vais vous donner quelques dossiers à étudier et, ce soir, comme Mickaêl ne dort pas chez moi, je vous ramènerai  pour y vivre jusqu'à ce que vous ayez votre pro^re logis. Vous y serez ma compagne et amie ! Râni eut un geste curieux: Elle se leva, s'approcha de Cléméntine, s'inclina et lui embrassa la main avec ferveur!
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6 mars 2009 5 06 /03 /mars /2009 07:23
Cà tangue à la Martinique, çà roule à la Guadeloupe, çà gronde à la Réunion, çà saute et çà pétarade en Corse! Ce qui veut dire qu'une bonne partie des habitants de ces iles souhaitent devenir indépendants. Situation plutôt hasardeuse au moment où le plongeon économique mondial met tout le monde en situation frileuse pour ne pas dire craintive; Mais après tout, ces îles étant des gouffres financiers pour le trésor public Français. Qui les approvisionne en tout puisqu'elles n'ont pas été capables de se construire une économie locale autonome "Travailler çà fatigue, et voler c'est pas beau!", lPourquoi le Gouvernement Français ne dit-il pas;"Chiche"à tous ces indépendantistes beaucoup plus prétentieux que réfléchis? La barque financière Française s'en trouverait sensiblement allégée, alors qu'elle est sur le point de sombrer! Mais de leur côté tous ces fanfarons qui roulent des mécaniques dans les rues, banderoles au vent, se rendront compte que livrés à eux-même ils se trouveront le nez dans la........ ! Comme c'est déjà le cas pour les îles qui se sont larguées d'elles-même dans la mer Caraïbe, et qui sont devenues des asiles pour les trafiquants de tous poils, ce qui a assassiné le tourisme !.
Aux Antilles, le LPK  nous jettent au visage leur situation d'anciens esclaves et veulent réparation dans leur honneur et dans leurs porte-monnaie ,Mais depuis 1848 date de l'abolition, cela fait cent soixante et un ans au cours desquelq ils auraient pu songer à se réunir et construire une autonomie commerciale et industrielle qui leur aurait permis de ne pas tout faire venir de la Métropole, jusqu'au moindre cure-dents! Avec ou sans le concours des anciens colons qui ne sont tout de même pas les seuls vivants sur les îles ! Mais ils ont préféré envoyer en Métropole un bon nombre d'entre eux pour qu'ils y deviennent fonctionnaires et envoient des mandats à leurs familles! Puisque vous voulez l'indépendance, prenez là au lieu de faire la grève qui ruine votre Pays et nous, les Métropolitains nous ne nous en porterons que mieux. Et vogue la galère !
Dans un autre domaine mais pas si éloigné finalement,  le Gouvernement en Métropole étudie la possibilité de réduire l'infrastructure administrative de notre Pays. Une évidente nécéssité de l'avis de la plupart. Et celà en réduisant le nombre de régions, en supprimant les cantons et autres mesures allégeantes pour les caisses de l'Etat. Alors les loups se mettent à hurler: -"On assassine notre Picardie!" On veut tuer notre Auvergne!" <Comme si la réduction des paperasses administratives et des doubles fonctions de certains postes devaient empêcher les Picards de rester Picards et les Auvergnats Auvergnats. Evidemment celà entrainerait la supprssion d'un certain nombre de postes, de titres, d'émoluments et ce sont les détenteurs de cette manne qui hurlent les plus forts comme bien se doit. Tout le monde sait que le nombrilisme et l'égocentrisme sont les deux plus belles qualités du Français moyen ! Et que le:-"Par ici la bonne soupe!"a toujours été la règle de vie de ces mêmes individus peu reluisants qui ajoutent:-"Et après moi, le déluge !"
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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 07:37
C'est un lieu commun que d'écrire que chaque activité professionnelle à son degré de pénibilité. Autrefois on désignait les mineurs de fond comme les galériens de la société et le fait est que leur métier les mettait au plus près de l'enfer.Bien sûr cette pénibilité est subjective puisque chez les humains il existe les courageux et résistants à la peine et les "chochotes" qui s'effondrent en larmes à la moindre égratignure ohysique ou morale.Comme deplus en plus souvent aujourd'hui!

Les métiers pénibles il y en a: Par exemple quand on voit les bouchers des Halles, au travail depuis 3 heures du matin à charrier et à équarrir des quartiers de boeufs entiers, on se rend compte que ce ne doit pas "être de la tarte!" Et il en est comme celà beaucoup d'autres! Tous ces métiers là devraient être rémunérés à un juste salaire, ce qui est loin d'être le cas pour tous, et devraient l'être au même niveau dans tous les Pays!
On peut citer, au hasard, les infirmières, les éboueurs, les routiers,les ouvriers du bâtiment, et bien d'autres encore.

Par contre,on peut considérer comme privilégiés tout ceux qui cherchent et qui créent dans quelque domaine que ce soit parce qu'il agissent par passion et avec amour ! Il est vrai que parmi eux certains atteignent à une gloire qui engendre  maintenant,des fortunes, alors qu'autrefois elles venaient, plutôt à titre  posthume!
Mais, dans la période de chaos dans laquelle nous entrons, c'est surtout dans le secteur tertiaire que les dérapages sont les plus fréquents et les plus choquants ! Et d'autant plus choquants qu'ils se situent dans les couches supérieures de ces secteurs tertiaires! Et aussi chez des sportifs comme les footeux et certaines vedettes du show biz en particulier, en passsant par les journalistes et animateurs télé qui sont couverts d d'or pour"jacter dans le poste, souvent comme des minables aux ricanements de bidets fêlés !

Les cadres dirigeants, dans une même affaire touchant unsalaire des primes exceptionnelles ou pas qui leur donent une rentrée d'argent souvent cinq cents fois et plus, celle du salarié de base de l'entreprise. C'est bien là où est le scandale et là ou on devrait établir un plafond impossible à dépasser par quiconque comme le prévoit Obama aux USA!
Et si pour une raison ou une autre de réussite exceptionnelle, un écrivain par exemple ou un producteur de film touche le pactole toutes les sommes dépassant le plafond devraient être reversées à une caisse spéciale de répartition aux plus défavorisés! Ce qui pourrait se faire par le biais d'un "super impôt" sur le revenu. En précisant qu'il s'agit là de salaires et non pas de patrimoine !Il faut de toute urgence faire "dégorger la bête" sinon viendra la révolution !
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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 07:08
Elle avait la main un peu tremblante en tenant le message de Mickaël: -"Clémentine, mon amour, c'est ta Société qui a trouvé mes coordonnées dans ton bureau et qui m'a prévenu de ce qu'il t'arrivait. Ils m'ont permis de t'envoyer ce message et je sais que tu te trouves avec le directeur qui t'avait emmenée avec lui pour discuter technique avec les Ihindous. Mais je suis atterré de constater les risques qu'ils t'ont fait prendre et le manque de protection dont tu as subi les conséquences. Et là, de Paris, je me ronge les sangs de ne pouvoir rien faire pour toi, sinon te dire à quel point je t'aime et combien je brûle de te retrouver et de te serrer dans mes bras ! J'imagine le cauchemar que tu as dû vivre et l'angoisse qui a dû être la tienne. Mais quel bonheur que cette horrible aventure se termine bien et que tu soies saine et sauve: Si tu en es d'acoord, dès ton retour, nour entamerons les formalités nécéssaires pour notre mariage et nous ferons tout pour être heureux en essayant de te faire oublier cette affreuse histoire! Courage, ma chérie pour les heures qui nous séparent, encore, et garde au fond de toi l'océan de tendresse que j'ai pour toi. Je t'aime Clémentine et à reès bientôt!"
En lisant cette lettre, elle eut beaucoup de mal à contenir ses larmes.en songeant qu'elle venait de courir le risque de ne revoir jamais Mickaël  Voyant son émotion, Emmanuel s'approcha avec un flûte de champagne qu'il venait de faire monter pour fêter sa libération presque miraculeuse. Elle qui ne buvait jamais d'alcool, hésita à la prendre, mais l'accepta, cependant, en se disant qu'il lui faudrait bientôt un fauteuil pour s'asseoir et le plus vite possible ensuite, un lit pour dormir ! Pour Emmanuel, c'était le champagne le plus amer qu'il ait jamais bu de toute sa vie ! Déjà noyée dans les brumes de l'alcool Clémentine s'aperçut que Râni avait disparu, mais embrumée elle se dit qu'elle demanderait le lendemain où se trouvait cette étrange geolière-amante, qui lui avait fait découvrir quelques instants des sensations qui laisssaient en elle un trouble diffus et une chaleur intime inhabituelle.
Dès son réveil, légèrement pâteux, elle  se rappela de Râni, et la soubrette qui lui apportait son petit déjeûner lui apprit qu'elle dormait dans la chambre voisine. Rassurée, rassasiée, douchée, habillée, elle descendit dans le hall d'entrée et y trouva Emmanuel, les traits tirés et la mine sombre qui lui annonça que, dans deux heures, ils seraient en route pour la France .Sa première réaction fut un cri: -"Et Râni ?" Emmanuel expliqua:-"Elle vient avec nous, car l'ambassadeur craint pour sa vie si elle reste ici après tout ce qui vient de ses passer!" Clémentine se retint pour ne pas sauter de joie, mais resta calme, heureuse que la jeune femme fasse partie du voyage de retour. Alors que, justement, la jeune hindoue descendait l'escalier, Drapée dans on sari, elle avait l'air d'une princesse ! Elles s'embrassèrent avec un élan qui ressemblait à de la tendresse, Malgré l'émotion de Râni de devoir quitter son Pays. Assises côte à côte, dans l'avion elle s'assoupirent mais pas avant quq Râni n'ait effleuré du bout de ses doigts le dos de la main de Clémentine !
A l'arrivée le léger choc du train d'atterrissage les sortit de leur torpeur et Clémentine réalisa que dans quelques minutes elle serait dans les brasde Mickaël suivi du regard par un Emmanuel livide et un Râni impassiblement souriante.
Chez lui, Mickaël avait préparé une petite fête pleine de fleurs de musique et de plats délicieux. La  soirée fut tendre, la nuit chaude, jamais ils n'avaient vécu leur amour avec une telle intensité! Corps enlacés, soudés, ondulants, délirants. L'aube les trouva enfin endormis.
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 08:24



Une fois encore, il faut s'insurger contre l'indécente stupidité des médias, qui sous prétexte de" faire du sensantionnel, du croustillant ou de l'abominable, montent en épingle des individus ou des comportements ou les deux qui ne méritent pas qu'on s'arrête, fut-ce une seconde sur eux, et sur leur stupidité crasse ;
Il en est ainsi de Monseigneur Williamson, haut prélat de l'église catholique que le Pape voulait sortir de l'excommunication malgré des propos négationistes encore beaucoup plus absurdes que révoltants, selon lesquels la Shoah n'aurait pas existé. Faire autant de bruit autour d'un abruti, parvenu,on ne sait comment jusqu'à la pourpre cardinalice, c'est une fois de plus oublier que parfois, un haussement d'épaule suffit !

Les photos de Madame Royal et de son compagnon rejoignent celles de Mitterand et Mazarine, de Cécilia et Rivhard Attias, et bien d'autres encore, dans le panthéon de la charognasserie dont certaines publications et leurs mercenaires photographes se sont fait une spécialité qui les classe tout de suite au niveau du bourbier médiatique hors duquel ils ne sauraient pas vivre ! Comme disait Coluche: -"Le coq est le seul animal qui aime chanter les pattes dans la merdre!"
 Mais au delà de ces détesatbles déviations perverses, il ne faut pas oublier tous ces Cassandre qui prédisent à longueur d'année d'épouvantables catastrophes qui vont s' abattre sur l'humanité à plus ou moins long terme, sans savoir si elles sont inéluctables, ou possibles ou probables. Quand ce ne serait que pour ce qui concerne le réchauffement climatique, en oubliant que déjà dans son histoire la terre a connu des périodes glaciaires, d'autres sahariennes, d'autres encore qui ont permis la disparition d'espèces entière d'animaux comme les diplodocus. Sans que l'homme y ait été pour rien.

Sans oublier cependant que le comportement de l'homme d'aujourd'hui avec ses déforestations massives ses extractions minières géanteset ses émissions de CO2 dantesques ne contribue certainement pas à la bonne santé de la planète!
Mais il en est d'autres, sans doute illuminés, qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur transit intestinal et qui hurlent au scandale à propos des cultures transgéniques, en souhaitant que l'humanité entière ne se nourrisse que de denrées "BIO",En oubliant, ces moustachus radotant,que des milliards d'individus meurent déjà de faim partout dans le monde et que dans quelques décennies nous ne serons plus six, mais neuf milliards d'être humains à vouloir se nourrir
Et que les céréales transgéniques seraient peut-être un moyen de rassasier tout le monde, et probablement moins nocifs que les antennes géantes perchées sur les toits et qui permettent aux minots de notre civilisation de communiquer des heures durant en s'estropiant, sans doute le cerveau ! "Homo homini lupus!" disaient les anciens:-"L'homme est un loup pour l'homme!" mais au fil de l'évolution des civilisations ils changent de méthode pour se dévorer entre eux !
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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 08:46
En se retrouvant face à face sur le seuil de la maison, Clémentine et Emmanuel avaient le coeur aussi battant l'un que l'autre, car l'abandon qui avait été le sien dans les bras de Râni, si  elle l'avait trouvé avec surprise, très agréable, avait pour raison principale d'essayer de trouver un moyen de s'échapper. Alors là, le problème était résolu et Râni ne chercha nullement à entraver leurs retrouvailles et se défila comme une souris regagnant son trou.
Dans le taxi qui les ramenait vers l'hôtel Emmanuel, après avoir écouté le récit de la capturede Clémentine, raconta son angoisse:-"Vous n'imaginez pas combien j'ai eu peur pour vous, et à quel point je suis heureux de vous revoir si rapidement saine et sauve! Mais je voudrais vous faire une demande personnelle!" Là Clémentine se sentit sur le qui-vive. Et il enchaîna:-"Clémentine accepteriez-vous de m'épouser?"
La question fit l'effet d'un coup de tonnerre dans la tête de la jeune femme, figée sur place par la stupeur.. Emmanuel poursuivit:-"Il y a longtemps que je vous aime, Clémentine, mais je ne pouvais pas vous en parler avant que mon divorce soit prononcé, ce qui est le cas depuis, maintenant trois mois. Vous voyez j'ai même laissé le temps passer pour ne pas avoir l'air d'un ruffian excité! Je sais, je suis plus âgé que vous, mais encore bon, je crois, pour faire un compagnon présentable! Et puis,en plus de l'amour que je vous porte, je vous offre la sécurité et la possibilité de poursuivre vos travaux de recherches en toute sérénité, avec un poste plus important de directrice de recherches et, bien sûr, un salaire approprié !"
Clémentine était médusée, tétanisée sur place, et ne savait comment se sortir de cette situation difficile, sans risquer de blesser Emmanuel, dans ses sentiments pour elle, mais aussi, dans son amou-propre de mâle. En réfléchissant vite, elle trouva plus simple de dire la vérité, en trichant un peu ou plutôt en anticipant sur les délais, plutôt que de s'embarquer dans des explications alambiquées.
-"Ce que vous venez de me proposer, Emmanuel, (elle l'appelait ainsi pour la première fois) me touche beaucoup, mais vous m'avez dit, récemment, que vous ne saviez rien de ma vie privée, ce qui est vrai. Et pourtant j'en ai une, précise et bien établie: Je suis très amoureuse d'un garçon avec lequel je vis depuis presque un an. Si nous ne sommes pas encore mariés, c'est que nous voulions, lui et moi, attendre de disposer de moyens financiers un peu plus larges pour nous "établir" Mais nous avions décidé que, de toutes manières, nous n'attendrions pas plus de six mois, encore, avant de nous épouser. Alors vous voyez, Emmanuel, je dois vous répondre que je ne suis plus une femme libre, mais que je suis infiniment touchée par votre demande, en espérant que, malgré tout, nous resterons en bons termes, aussi bien dans la vie que dans notre travail commun!"
Pendant cette déclaration, Clémentine avait vu le visage d'Emmanuel changer. ses traits s'étaient tirés et on le sentait au bord des larmes, tout en essayant, avec beaucoup de difficulté, de garder bonne contenance. Clémentine elle, ne savait plus très bien quelle contenance adopter, face à cet homme qui, visiblement souffrait à cause d'elle, sans qu'elle y soit pour rien. Et déjà, inconsciemment, s'interrogeait sur le genre de relations qui pourraient exister entre eux, lorsqu'ils se retrouveraient dans le cadre et l'ambiance de leur travail !
Ils arrivaient à l'hôtel et à la réception, avec une courbette, le concierge tendit une enveloppe blanche à Clémentine dont elle devina que le message devait provenir de Mickaël et la montrant à Emmanuel elle lui confia: -"C'est lui!" en décachetant l'enveloppe fébrilement. Elle déplia le mail écrit par Mickaël au moment où il avait appris son enlèvement et sa probable séquestration. Emmanuel, lui s'était retiré à l'écart, les jambes un peu molles et les épaules basses.
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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 07:40
Jusqu'au milieu du siècle dernier, lorsqu'un homme et une femme se plaisaient, puis s'aimaient au point de vivre ensemble, ils passaient par la tradition du mariage et le faisait avec la ferme intention :"De s'aimer toute la vie pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce que la mort les sépare!"
Ils étaient sincères et bénis par l'Eglise et reconnus dans la société par le passage obligé devant le Maire. Et jusqu'aux années 1960-70 les divorces étaient rares, les divorcés difficilement reçus dans la "bonne société" et bannis de l'Eglise catholique.
Lentement mais progressivement la situation a évolué d'abord avec la désaffection de la religion et des églises et la progression de l'adultère devenant un comportement normal, facilité par la banalisation de la contraception et de l'avortement. Les femmes libérees par la pillule de la peur d'une grossesse non dédirée et les hommes par l'usage quasi automatique du préservatif, usage monté en flèche à partir de 1980 avec l'arrivée du sida!
Mais en même temps que cette libéralisation des moeurs et la banalisation de l'homosexualité masculine ou féminine, la mentalité des hommes et des femmes lorsqu'ils se rencontraient et se plaisaient a évolué vers le:-"On se plaît, allez on baise et on verra bien après!"
Au delà de ces coucheries plaisantes et faciles certains ont éprouvé le besoin de"se mettre ensemble"et de vivre en couple, mais sans plus passer ni par l'Eglise, ni par la Mairie. Vivre en concubinage supposait au départ de trouver un logis pour être libres et échapper à la tutelle des parents. Avec l'idée que si"çà ne marchait plus on se séparerait!"
La plupart du temps chacun des concubins avait un travail et de ce fait deux revenus qui mis ensemble leur procurait une certaine aisance et un confort matériel croisssant. De fil en aiguille (si l'on peut dire!) vivant en bonne harmonie   Ils envisageaien la venue d'un premier enfant et pourquoi pas d'un second. Les années passant la flamme mutuelle s'amenuisait et les occasions de regarder ailleurs, dans le cadre du travail ou en d'autres lieux rendait tentant d'aller voir si baiser ailleurs était mieux que de le faire à domicile! Et lorsque c'était le cas alors survenait l'idée de la séparation et c'est là que survenait, et survient de plus en plus: Le drame! Car cette séparation suppose deux logis séparés une situation financière divisée par deux, le problème de la pension alimentaire et de la situation des enfants: Traumatisés par la déchirure, et ballotés d'un foyer à l'autre pour les week-ends et les vavances! A celà s'ajoutait le drame de la raréfaction de l'argent et, double drame pour les femmes, la presque inévitable garde des enfants, alors que très souvent les hommes deviennent amnésiques lorsqu'il s'agit de payer la pension alimentaire! D'où la panique et la précarité pour la femme! Alors que les statistiques prouvent que dans une majorité des cas c'est la femme qui décide de se séparer de son conjoint. Parfois pour des raisons compréhensibles que sont l'alcoolisme et la violence. Mais très souvent pour des "histoires de cul" pour l'un comme pour l'autre!
Petit salaire, charges accrues, les femmes se sont enlisées elles-même dans le bourbier de la vie solitaire des couples monoparentaux. A moins qu'elles n'aient eu la chance de recomposer un autre couple avec un homme qui, souvent a déjà lui même des enfants!  En moyenne c'est une pitoyable galère, hélàs de plus en plus fréquente et qui devient aujourd'hui un véritable fléau social ! C'est la rançon de l'égoïsme des adultes, mais une fois de plus, ce sont les parents qui décident et les enfants qui trinquent !
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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 07:13
Lorsque nos ancêtres vivaient sur leur petit lopin de terre derrière leur charrue tirée par un cheval ou un boeuf, ils rentraient le soir harassé et affamé avec l'espoir, s'ils étaient un peu fortunés d'une bonne soupe au choux avec du lard dedans! Après la soupe c'était parfois les récits de contes sentimentaux ou terrifiants racontés et écoutés au coin du feu et puis c'était le lit fermé comme en Bretagne ou la paillasse, à même le sol de terre battue.Mais de toute manière, la fatigue aidant, les caresses à Dulcinée étaient rares, ce qui évitait d'avoir une couvée de dix mômes braillards et perpétuellement affamés! Bien sûr en allant à la foire vendre les produits de leur sol, de leur poulailler ou de leur étable, il y avait toujours le risque de "bandits de grands et de petits chemins" prêts à les dépouiller du résultat sonnant et trébuchants de leur vente, Mais ce n'était qu'enfantillages à coté de ce qui se passe de nos jours à tous les instants de la vie!
Les formidables bonds de la technologie ont apporté, dans chaque foyer, la radio, puis la télévision avec tous ses trucages et ses effets spéciaux, Et maintenant Internet, qui est devenu le plus formidable nid à arnaques que l'on puisse imaginer ! Par ce moyen de communication tout peut-être truqué, faussé,détourné et celà dana tous les domaines! La règle de base étant pour les arnaqueurs de tirer un maximum d'argent à des crédules et des naïfs en leur offrant des produits bidons ou truqués ou même volés. Les faux mages, les faux voyants, les faux coachs et les faux dons Juan ou les fausses amoureuses éperdues prêtes à partager la vie et à faire le bonheur d'un solitaire à condition bien sûr de verser d'abord des sommes souvent astronomiques avant de se rencontrer et de filer la parfaite désillusion ! Ceux là sont presque les pires parce qu'ils ne jouent plus seulement sur l'argent à gagner c'est à dire à perdre, mais sur les palpitations de coeurs éperdus!
Des arnaques il y en a aussi partout. Chez certains garagistes, ou chez certains dentistes qui mettent en bouche des prothèses payées des fortunes alors qu'ils se les ont procurées en Chine ou ailleurs pour trosi francs six sous ! Sans parler des faux kinés, des faux guérisseurs, des faux peintres qui vendent des toiles sous leur nom, de paysages typiques d'un pays ou d'une région, alors qu'elles ont été peintes à la chaîne dans des ateliers chinois! Il faut noter que les chinois sont passés maîtres dans l'art de fabriquer des produits de la plus basse qualité et souvent dangereux, qu'ils revendent à des arnaqueurs vivant partout dans le monde avec pignons et gondoles sur rue et promotions mirobolantes pour appâter le chaland !
Et d'un autre côté la télévision a tellement magnifié le culte de la personne et du vedettariat que des escadrons de gens sont prêts à payer des fortunes pour "passer à la télé" et y être reconnu par leur voisin! Source inépuisable d'arnaques de toutes sortes et dans tous les domaines. A tel point que certain sont prêts comme dans l'émission "confessions intimes" à passer pour d'ignobles individus pour le seul plaisir de jouer les vedettes quelques instants. Comme ce gros porc vu récemment entrain de traiter sa femme bien plus mal qu'un chien et s'en vanter, sans doute avec la complicité de celle-ci car comment imaginer autrement qu'une f'emme puisse accepter d'être ainsi traitée devant des millions de téléspectateurs. D'autre part tout le monde sait maintenant que presque toutes les émissions de télé-réalités sont truquées pour faire pâlir et pleurer davantage encore dans les chaumières! Non, aujourd'hui on ne peut plus compter sur rien ni sur personne mon bon Monsieur. C'est çà le progrès !
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