De grands papillons bleus virevoltant au dessus d'une caravane de dromadaires traversant  le désert à pas lents! C'est la vision que j'ai eue ce matin en sortant du sommeil ! Mais en plus avec d'amicales pensées, je vous envoie ce graphisme qui s'il a déjà quinze ans depuissa création, n'en est pas moins d'une brûlante actualité!

Elle sent mauvais!, A croire qu'elle ne se lave qu'avec la pourriture,se roule dans le mensonge, la calomnie et le sous entendu. Elle ne veut pas informer avec des IMAGES comme il se devrait, mais noyer ceux qui le regardent et les écoutent avec d'interminables parlotes,des mots plleins de vent. Assis en rond autour d'une table, perchés sur des tabourets comme des hérons, avec de grands gestes des bras comme des moulins à vent, des yeux qui roulent et des calvities précoces ponctuées de "voilà"
Tous ces experts qui piapiatent à longueur d'antenne pour ne rien dire ou se contredire ou s'insulter. Tout ce qui les interêsse c'est de gagner du fric en vomissant des horreurs qui font tressaillir et même exploser l'Audimat ! Leur Dieu à tous parcequ'il a les mains pleines de fric tout tâché du sang de leurs victimes ! ! Ah fric que ne diraient-ils pas en ton nom.
Et justement le fric, ils crèvent de peur quon  le leur enlève. Finies les bedaines replètes sur les coussins de grosses limousines chauffeurisées ! Si le nouveau dirigeant de la barque, nommé par l'Elysée pouvait nettoyer les écuries d'Augias à grands coups de pieds au cul, quelle salubrité enfin revenue!
En claironnant hier soir, la bouche en cul de poule que 273 personnes étaient mortes cette année dans la rue, pour cause de froid et d'inanition, dont un bon nombre sont morts pour n'avoir pas voulu se mettre à l'abri, même insalubre mais protecteur cependant ! Pendant ce temps là combien de citoyens et de citoyennes de mêmes âges et de même condition sociale, (combien dix , cent , mille) sont mortes, elles aussi, dans des hopitaux, des "asiles" des "refuges" et dont personne n'a voulu parler parce que çà ne fait pas pleurer dans les chaumières derrière le petit écran !

Cette télé charognarde donne envie de gerber et de voir changer les choses à grands coups de pieds dans les ventres mous et gras gonflés du fric dles émoluments indus de tous ces prétentieux qui diffusent de la merde à longueur de temps ! Et quand on voit défiler à longueur de minute, les génériques pléthoriques d'insignifiants et brefs reportages on a envie d'envoyer tous ces gens là à la soupe populaire goûter si le frichti est bon !  (Que me pardonnent, ici les quelques réalisateurs et techniciens de tous poils qui font correctement leur boulot et qui sont nécéssaires mais suffisants pour faire le travail sans la présence de ceux qui comme des sangsues pompent le fric de la production aveugle ou indulgente ou négligente ! Voilà où doit passer la balai, le tprchon et le jet d'eau/ Et bonne année avec çà !                          

Revenue de l'arrière de l'appareil, où elle avait effacé les traces de son émoi provoqué par le souvenir de sa récente nuit avec Mickaêl  Clémentine eut la surprise, au passage de l'hôtesse et de son charriot de boissons, de constater qu'Emmanuel, commandait un whisky à une heure aussi matinale, alors qu'elle se contentait d'un jus d'orange. Celà en disait long sur les intentions, mais aussi les doutes d'Emmanuel sur son comportement de mâle  dans toutes les circonstances de la vie!  L'orientation de vol de l'appareil lui mit le soleil dans l'oeil, et elle préfèra fermer les yeux pour ne pas se laisser éblouir par.... la beauté du ciel:
Emmanuel faisait partie de ces hommes que le succès dans les grands concours et dans la vie professionnelle, rendent très sûrs d'eux-mêmes, parfois  et même souvent, avec une certaine relativité due à leur intelligence par rapport à leur potentiel dans la vie intime de tous les jours lorsqu'ils sont face à face avec une femme nue, dans leur lit !
On trouve ce genre de spécimens, tout particulièrement en France,parmi les Enarques, mais ausi chez les Polytechniciens et chez certains anciens d'HEC. Mais ils sont doués pour la réussite dans la vie, tout en ayant un défaut de taille à leur cuirasse, qui est leur particulière cuistrerie vis à vis des femmes. A laquelle vient s'ajouter un infantilisme presque parfait dans leur comportement vis à vis d' elles, encore augmenté par une fréquente gêne, frôlant l'impuissance, lorsqu'ils se trouvent dans le secret d'une alcôve. Comme si la modestie de leurs performances sexuelles pouvaient êre compensée par la relative hypertrophie de leur cerveau :
Défaut que les femmes leur pardonne assez souvent, à cause du train de vie et du milieu social agréable qu'elles
trouvent en vivant auprès d'eux, et peut-être aussi, à la relative facilité qu'elles y ont pour trouver des"mobiles compensatoires" qui grenouillent dans leur environnement, dotés eux, de virilités ambitieuses et flagellantes à souhait!
Emmanuel, lui, était relativement discret sur le plan de la cuistrerie, se savait agréable à regarder: Grand blond au visage avenant quoi qu'étroit d'épaules pour un homme de sa taille,et qui lui donnait l'air un peu rachitique, et dans l'intimité ne pouvant dévoiler qu'un long macaroni peu verticalisable et surtout pour un bref insatnt seulement!
Mais doté, en revanche d'une certaine dose d'humour qui ne pouvait pas laisser insensible une jeune femme comme Clémentine. Elle qui avait plutôt tendance à apprécier les hommes, plutôt beaux gosses dans leurs boxers bien remplis et très sensible à un comportement sexuel capable d'assouvir une sensualité aussi développée qu'exubérante !
De son côté, le fait de s'envoler vers l'Inde au côté d'Emmanuel avait tendance à la combler de béatitude, avec en prime, une petite pensée pour Mickaël, mais en revanche avec l'idée de tester discrètement, comme le font si souvent les femmes, son pouvoir de séduction sur celui qui lui procurait le plaisir d'un voyage depuis si longtemps désiré. Mais celà, sans idée de vraie conquête, même si elle croyait Emmanuel, libre de tous liens conjugaux.!
De son côté, Emmanuel, qui avait remarqué Clémentine, à plusieurs reprises, lors des réunions d'Etat-Major où elle avait été convoquée, ne se cachait pas ,en lui-même, d'une certaine attirance pour pour son charme ajouté à ses compétences profssionnelles. mais, comme d'habitude dans ce cas là, il éprouvait une certaine incertitude sur son pouvoir de séduction, ce qui expliquait le whisky matinal, commandé dans l'avion, pour se donner un coup de fouet mental et, accessoirement, tester ses réactions intimes face à la séduction de la jeune femme .
C'était, en quelque sorte un jeu du chat et de la souris, mais dans lequel chacun aurait été, en même temps été le chat et la souriis !

La proposition d'Emmanuel de l'emmener avec lui en Inde prenait Clémentine au dépourvu, et elle eut un court instant d'hésitation avant de répondre en souriant:-"Je serais heureuse de faire ce voyage avec vous,car j'ai envie depuis longtemps de découvrir l'Inde, mais il faudrait que vous me laissiez un bref répit pour boucler un dossier important."
-"Quarante huit heures seraient-elles suffisantes pour vous?" -"En faisant vite ce doit être possible, mais combien de temps durerait cette tournée indienne,"-"Environ quinze jours, si tout se passe bien, et j'ai déjà l'accord de votre patron direct pour que vous puissiez m'accompagner, si vous n'avez pas d'empêchements personnels !
C'était justement son problème, car elle redoutait un peu la réaction de Mickaël qui allait trouver suspect ce départ pour deux semaines avec l'un des grands patrons de la Société! Et ce soir là, Mickaël qui rentrait de trèsmauvaise humeur après une dure journée se rendit compte tout de suite que l'accueil de Clémentine n'était pas comme d'habitude.-"Toi, tu me caches quelque chose!"
Elle s'approcha de lui sans lui faire un collier de ses bras comme chaque soir:-" Et bien figures-toi que le bras droit du grand patron m'a demandé de l'accompagner pour un voyage de quinze jours en Inde parce qu'il avait besoin de mes compétences techniques et comme tu le sais, je meurs d'envie d'aller en Inde, alors j'ai dit oui !"
Le visage de Mickaël se ferma encore davantage et avec un regard plein d'éclairs, il demenda:-"Il t'emmène pour le travail ou pour la drague?" Prise au dépourvu par un telle suspicion, Clémentine eut un blocage qui laissa supposer à Mickaël que la seconde hypothèse était la bonne. Puis vive comme l'éclair elle contre attaqua:-"La drague, ce n'est vraiment pas le genre de la maison ! Mais dis moi es tu jaloux ou n'as tu plus confiance en moi?"-" Comment veux-tu qu'un homme ne soit pas jaloux quand il a la chance de t'avoir auprès de lui ?"

C'était le moment pour Clémentine de se rapprocher de Mickaël et de lui faire un collier de ses deux bras. L'épisode suivant se passa sous la douche et de tendre il devint passionné. Mickaël avait une manière bien à lui de jouer de ses doigts et de ses lèvres pour faire vibrer le corps de sa compagne come si c'était un instrument de musique, ce qui la rendait folle de désir et la soirée fut chaude et même brûlante avant et après le dîner qu'elle avait commandé chez son traiteur habituel ! Mais elle devait se lever à l'aube si elle ne voulait pas rater l'avion.
Le jour était levé lorsqu'elle se retrouva confortablement installée dans son fauteuil de classe affaire, mais inquiète qu'Emmanuel ne remarque les traces qu'avait laissée la nuit sur son visage et entre autres les immenses cernes mauves qui plombaient ses paupières ! En plus, l'évocation de ce qu'elle avait partagé avec Mickaël lui faisait monter le rouge au joue et des pétillements dans le creux de ses reins.Qui ne tardèrent pas à se transformer en béance inondée au coeur de son intimité ! Alors en espérant qu'Emmanuel n'avait rien remarqué, elle se plongea dans le spectacle du ciel transformé en champs de moutons éclairés par la soleil, sous le ventre de l'appareil ! Mais son trouble était si forrt qu'elle dut quitter sa place pour gagner les toilettes, afin d'éteindre le feu qui la brûlait et surtout faire disparaître les effluves qui montaient de sa féminité aux abois !

 

A seize ans c'était Nadège son entraîneuse de basket au Lycée et dont le penchant pour les filles était connu de tous, qui avait ouvert le bal de l'explosion de sa sensualité d'adolescente exacerbée déjà depuis longtemps par une puberté à fleur de peau et de doigts voyageurs le soir au creux de son lit ! Aussi grande que belle et athlétique,Nadège était la coqueluche de toutes ses élèves qu'elle faisait fantasmer, surtout lorsqu'en fin de match elles se retrouvaient sous la douche et qu'elles avaient, tout en restant discrètes la possibilité de s''effleurer et même de se savonner mutuellement en allant jusqu'aux frontières des caresses intimes mais encore superficielles. En se donnant rendez-vous, si elles en avaient envie toutes les deux, dans l'une des cabines fermées des toilettes pour y vivre des moment plus intenses avec des gestes beaucoup plus précis qui les menaient la plupart du temps jusqu'au plaisir partagé: C'était troublant de pouvoir humer les effluves de leurs épanchements lorsqu'elles sortaient de ces lieux clos et exigus !
Mais Nadège après avoir jeté son dévolu sur Colombe et l'avoir entourée de ses attentions discrètes dans les douches lui avait donné rendez-vous dans sa chambre de fonction, sous les combles de l'une des ailes du Lycée. Colombe fascinée depuis des semaines par la beauté de Nadège et pleine du désir de la connaître mieux et de plus près avait senti ses jambes se dérober à l'annonce d'une telle invitation. Se retrouver, le soir même nue et enlacée avec celle dont elle avait tant rêvée  dans la solitude de ses débuts de nuits avait été un moment inoubliable, Car Nadège qui avait vingt ans alors que Colombe en avait seize, avait déployé toute sa sensualité exacerbée pour lui offrir un feu d'artifice de caresses données avec passion et  très vite partagées. Elles s'étaient humées, butinées,avant de se dévorer puis de se boire ! Quoi de plus grisant que la liqueur d'une femme éprise ?
Colombe était venue souvent retrouver Nadège dans son refuge sous les toits et y avait passé des heures et mêmes des nuits d'où elle sortait haletante, poisseuse, les jambes molles et d'immenses cernes mauves sous les paupières!
En fin d'année, ses parents n'ayant pas la possibilité de l'envoyer en vacances elle avait été invitée par Nadège dont les parents avaient une charmante villa en bordure d'une plage océane. au sable blond et à l'eau tiède ! Un matin,sur la plage, elle avait vu s'approcher deux garçons aussi beaux l'un que l'autre, se tenant par la main sans la moindre gêne et dont le plus jeune, avait pour son compagnon, des regards qui en disaient tout aussi long sur leur intimité que les volumineuses excroissances qu'emprisonnait le tissu elastique de leurs boxers.Maxime devait avoir dix sept ans et Romain quinze mais l'aîné était une force de la nature qui dominait son compagnon de le tête et des épaules.
Colombe avait été très impressionnée par ce jeune couple mais n'avait d'yeux que pour Maxime qu'elle trouvait si séduisant qu'elle en oubliait, presque, tout ce qu'elle avait vécu jusqu'alors avec Nadège. Et ce qui la troublait encore davantage, c'était que Maxime semblait très troublé, lui aussi, par sa silhouette de fille mince et un peu androgyne, aux allures de pâtre grec, avec des rondeurs menues sur le devant et haurtes et fermes au creux des reins ! Le garçon trouvait tous les pretextes pour quitter la plage et remonter vers elle et poser sa serviette  près de la sienne pour  engager la conversation. Et deux jours plus tard, il avait laissé un papier sur son sac de plage près des doigts de Colombe où l'on pouvait lire: -"Si tu veux, viens me rejoindre ce soir vers onze heures à notre cabine sur la plage que Colombe avait repérée depuis longtemps !