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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 07:40
Jusqu'au milieu du siècle dernier, lorsqu'un homme et une femme se plaisaient, puis s'aimaient au point de vivre ensemble, ils passaient par la tradition du mariage et le faisait avec la ferme intention :"De s'aimer toute la vie pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce que la mort les sépare!"
Ils étaient sincères et bénis par l'Eglise et reconnus dans la société par le passage obligé devant le Maire. Et jusqu'aux années 1960-70 les divorces étaient rares, les divorcés difficilement reçus dans la "bonne société" et bannis de l'Eglise catholique.
Lentement mais progressivement la situation a évolué d'abord avec la désaffection de la religion et des églises et la progression de l'adultère devenant un comportement normal, facilité par la banalisation de la contraception et de l'avortement. Les femmes libérees par la pillule de la peur d'une grossesse non dédirée et les hommes par l'usage quasi automatique du préservatif, usage monté en flèche à partir de 1980 avec l'arrivée du sida!
Mais en même temps que cette libéralisation des moeurs et la banalisation de l'homosexualité masculine ou féminine, la mentalité des hommes et des femmes lorsqu'ils se rencontraient et se plaisaient a évolué vers le:-"On se plaît, allez on baise et on verra bien après!"
Au delà de ces coucheries plaisantes et faciles certains ont éprouvé le besoin de"se mettre ensemble"et de vivre en couple, mais sans plus passer ni par l'Eglise, ni par la Mairie. Vivre en concubinage supposait au départ de trouver un logis pour être libres et échapper à la tutelle des parents. Avec l'idée que si"çà ne marchait plus on se séparerait!"
La plupart du temps chacun des concubins avait un travail et de ce fait deux revenus qui mis ensemble leur procurait une certaine aisance et un confort matériel croisssant. De fil en aiguille (si l'on peut dire!) vivant en bonne harmonie   Ils envisageaien la venue d'un premier enfant et pourquoi pas d'un second. Les années passant la flamme mutuelle s'amenuisait et les occasions de regarder ailleurs, dans le cadre du travail ou en d'autres lieux rendait tentant d'aller voir si baiser ailleurs était mieux que de le faire à domicile! Et lorsque c'était le cas alors survenait l'idée de la séparation et c'est là que survenait, et survient de plus en plus: Le drame! Car cette séparation suppose deux logis séparés une situation financière divisée par deux, le problème de la pension alimentaire et de la situation des enfants: Traumatisés par la déchirure, et ballotés d'un foyer à l'autre pour les week-ends et les vavances! A celà s'ajoutait le drame de la raréfaction de l'argent et, double drame pour les femmes, la presque inévitable garde des enfants, alors que très souvent les hommes deviennent amnésiques lorsqu'il s'agit de payer la pension alimentaire! D'où la panique et la précarité pour la femme! Alors que les statistiques prouvent que dans une majorité des cas c'est la femme qui décide de se séparer de son conjoint. Parfois pour des raisons compréhensibles que sont l'alcoolisme et la violence. Mais très souvent pour des "histoires de cul" pour l'un comme pour l'autre!
Petit salaire, charges accrues, les femmes se sont enlisées elles-même dans le bourbier de la vie solitaire des couples monoparentaux. A moins qu'elles n'aient eu la chance de recomposer un autre couple avec un homme qui, souvent a déjà lui même des enfants!  En moyenne c'est une pitoyable galère, hélàs de plus en plus fréquente et qui devient aujourd'hui un véritable fléau social ! C'est la rançon de l'égoïsme des adultes, mais une fois de plus, ce sont les parents qui décident et les enfants qui trinquent !
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