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3 juin 2007 7 03 /06 /juin /2007 06:35
Elles eurent lieu au bord de cette immense salle, au cenre de laquelle se trouvait la grande nappe d'eau émeraude et fraîche qui leur servait d'océan en plein désert, mais aussi dans le secret des alcôves d'où s'échappaient les murmures, halètements et même cris du plaisir! Leur phalanstère dirigé par Antinéa et vivant sous le signe de la tendresse et de la sexualité partagée, mais aussi de l'entraînement intensif aux missions les plus dangereuses en avait fait l'instrument le plus puissant et le plus efficace au monde, pour intervenir contre la gangrène de l'humanité. Mais rentrée au bercail Nadia redevenait Djemilla et vivait dans l'amour de sa reine, de ses compagnes et de Biri, son chevreau blamc!

Quelques jours plus tard,vêtue d'un jean élimé et même troué aux genoux, de baskets grisâtres et percées et d'un tee-shirt sur lequel on lisait:"J'aime qui je veux!" Nadia remontait une ruelle étroite et sombre au sol glissant de la ville de Manille! Ses cheveux encore plus courts que de coutume et ses seins invisibles parce que cachés sous une bande de tissu élastique, elle avait l'air d'un garçon d'une vingtaine d'années.
Arrivée devant une porte peinte en noir et écaillée, elle frappa et attendit un peu avant de voir apparaître, derrière le vantail entrebaillé, le visage ridé d'un Asiatique édenté aux gencives rougies par le bétel.-"Bonhour, je viens de la part du portier de l'hôtel du Dragon Vert!"L'homme lui fit traverser une cour nauséabonde, puis entra dans un petit bâtiment où on lui indiqua un siège en forme de fauteuil effondré. Dans la pièce, plusieurs adolescents étaient assis le long du mur. Nadia s'adressa au vieux, ridé comme une pomme:-" Je suis maghrébin et je viens parce que j'aime bien les jeunes garçons et le portier m'a dit que vous pourriez m'en envoyer deux ou trois, ce soir, dans ma chambre, mais que je devais venir ici les choisir.
Les adolescent présents ne comprenaient pas l'anglais, mais devinaient pourquoi ce jeune homme était là! Aussi, prenaient-ils des poses,certains se caresant même de façon plus que visible et provacante! L'asiatique frappa dans se mains et, aussitôt apparurent plusieurs autres adolescents de dix à quinze ans, tous assez souriants, avenants et propres malgré leur vêtments en guenilles. Sur l'ordre du taulier, certains se mirent à se caresser, seuls ou entre eux, exhibant, avec fierté, par la jambe de leur short, leurs sexes de dimensuins diverses avec le désir visible d'être choisis!
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2 juin 2007 6 02 /06 /juin /2007 07:16
Ensuite, elle demanda au copilote de l'avion d'Alfonso s'il pouvait la ramener jusqu'à Medellin, Rio étant trop loin. La conversation entre eux fut brève car ils se comprenaient mal. Arrivée à bon port, elle remercia et se fit communiquer un annuaire des hôtels de Rio. Elle retint deux chambres et prit un billet pour le premier vol en partance pour le Brésil, s'éloignant de la ville avant que la mort d'Alfonso ne s'ébruite!
Le rendez-vous avec Nadia était fixé à Rio et elle lui avait laissé un message à leur hôtel de Medellin pour qu'elle sache où la retrouver. Elle avait réservé dans un hôtel situé en bordure de la plage de Copacabana et s'y fit conduire en taxi. Ce qui lui donna l'occasion de constater la beauté légendaires des Brésiliennes et de leurs fesses, mais ausi que les cariocas conduisaient comme des kamikases, avec une mention particulière pour les chauffeurs de taxis!

Arrivée dans sa chambre, elle se rua sur son balcon pour admirer l'un des plus célèbres payasages au monde. Les vagues explosant en gros rouleaux sur le sabe de l'immense plage connue de tous, avec, là-bas, à droite, le Corcovado et son immense Christ blanc aux bras grands ouverts sur le cruauté la pourriture et l'horreur d'un mond de misère de torture et de sexe monnayé, juste à ses pieds, dans les favelas! Enfin elle retrouva Nadia alors qu'elle terminait une énorme glace aux fruits de la passion.
Les retrouvailles se firent dans la joie et avec le récit de leurs exploits. Cesr tard dans la soirée qu'elles franchirent en corsages et mini jupes le seuil d'une boîte de nuit pour s'y défouler. Elles furent sidérées de voir danser les femmes cariocas à demi-nues, et de l'impudence avec laquelle des hommes,aussi jeunes que beaux, intrigués par leur présence, venaient offrir leurs bons offices rétribués, alors que d'autres leur proposaient de l'argent pour une nuit de plaisir, sous le regard complice de leurs compagnes, pratiquement nues et prêtes à pariciper à des élans divers, tous sexes confondus. Elles préférèrent rester en duo. Et en retrouvant leur chambre, elles se redécouvrirent avec bonheur, au milieu des careeses sous la douche. Le mélange de leurs sexes odorants avant drêtre inondés les grisait toujours autant!
Le retour auprès d'Antinéa, dans cet immense cirque aux parois de terre et de rochers ocre-rouge brûlées par le soleil, fit l'objet de réjouissance et de libations avaec toutes leurs compagnes
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2 juin 2007 6 02 /06 /juin /2007 06:23
Il prit Sarah par la main, pas rassurée et les jambes un peu molles. Le Colombien voulait montrer son courage, cherchant à déceler le léger grondement qui, tout à coup, se fit entendre. A l'orée d'une sorte de clairière, le spectacle pétrifia Sarah: A une petite distance, sur un front d'une trentaine de mètres, et formant une sorte de muret en grouillement, les fourmis avançaient, inexorabelement, droit devant elles! Spectacle terrifiant! Après quelques secondes de stupeur, Sarah réalisa l'opportunité qui s'offrait à elle, et en une fraction de seconde, sa décision fut prise. Le bord de la colonne était à une cinquantaine de mètres, avançant, environ à trois à l'heure.

Elle se tourna vers Alfonso, et par son seul regard lui exprima toute sa haine et son mépris, complétant par un seul mot:"Assassin"! Il devina, mais n'eut pas le temps d'esquiver le tranchant de la main qui, en un éclair, s'écrasa, sèchement,sur sa gorge,faisant éclater sa glande thyroïde, Sarah parachevant son oeuvre par une manchette encore plus violente à la base du nez, au moment où les jambes d'Alfonso fléchissaient avant de s'écrouler au sol!
Agissant vite, elle repéra une grosse piere, à deux mètres à l'intérieur du front des fourmis. Prenant le corps par les bras, elle le tira jusqu'à la hauteur de la pierre de manière à ce que le corps soit allongé en travers du front des guerrières. Elle le lâcha et se retira vivement pour se mettre à l'abri des fourmis qui s'avançaient vers le corps d'Alfonso, probablement déjà mort. La marée arriva lentement et submergea le corps qui tressauta sous les milliers de morsures des mandibules déjà en action. Sarah attendit que tout soit irrémédaible, puis se mit à courir en direction de la voiture en criant. le garde alerté arrivait. Elle tendit le bras en direction de la mase noire en marche et du monticule fomé par le corps d'Alfonso, déjà presque disparu. Le garde l'interrogeait du regard, elle expliqua:

-"Il a voulu s'approcher le plus près possible pour mr montrer son courage et en se retournant vers moi, il a trébuché sur une grosse pierre et il est tombé en arrière dans les fourmis! Le garde était blême, il tremblait et des larmes coulaient sur ses joues. Il n'y avait plus rien à faire que demi-tour! En arrivant à l'aéroport, Sarah fit le récit du drame au directeur du lieu.
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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 08:54
Un instant plus tard, Casimira était là, disant qu'elle devait l'aider à se coucher, puisque don Alfonso l'avait quittée à l'entrée de sa chambre. Sarah qui avait l'habitude des tendresses entre femmes chez Antinéa, n'était pas mécontente d'avoir auprès d'elle cette splendide gazelle noire et nue prête à partager avec elle tous les plaisirs à vivre entre femmes. Allongées l'une contre l'autre, Casimira devint une compagne habile et chaude, qui sentait la vanille et embaumait la cyprine!

Au petit déjeuner, elle avait rejoint Alfonso qui écoutait les nouvelles au cours desquelles on parla de la recrudescence des marabuntas en cette saison. Elle leva un sourcil intrigué et Alfonso lui expliqua ce qu'était une marabunta.
-"Il s'agit d'une migration massive de fourmis géantes et carnivores qui se déplacent par millions. Elles avancent en colonne plus ou moins larges et longues, formant une sorte de mur mobile en émettant une sorte de grondement sourd et dévorant tout sur son passage!
-"Est-il possible de voir une marabunta?' En réponse, Alfonso appela le ministère de l'Agriculture Brésilien, pour demander des précisions, sur leur importance et leurs localisations.
-"Vous allez connaître un morceau du Nord du Brésil!" Mais en entendant la nouvelle, le visage du garde du corps devint vert! La marabunta, il connaissait, son frère en était mort!
Au dessus de la région survolée, on ne voyait que l'immense moutonnement de la forêt, jusqu'à une trouée dans les arbres avec une piste d'atterrissage,et un petit aéroport. Don Alfonso fut accueilli par le directeur de l'aéroport qui le conduisit kusqu'à la voiture tout terrain retenue pour lui.
Ils roulèrent assez longtemps sur une piste en terre rouge, avant d'arriver à un petit village où Alfonso demanda des précisions sur la marabunta à un paysan qui, avec effroi, indiqua une direction et une distance approximative. Le garde du corps était blême. Au bout de quelques kilomètres Alfonso arrêta la voiture, le garde claquait des desnts!-"Reste auprès de la voiture avec ta radio, je t'appellerai si nécéssaire! Il ne courait pas grand risaus d'être attaqué ici!
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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 08:23
Pour Sarah, la situation état à la fois identique et différente, dans la mesure où Alfonso était beaucoup plus riche qu'Alberto et, de ce fait, son train de vie très supérieur à celui de son ami. Ses terres étaient beaucoup plus étendues, son avion plus grand et doté d'un copilote, d'une hôtesse et d'un garde du corps embarqué. L'hacienda était un somptueux château, entretenu par une flopée de domestiques tous en uniforme. Déjà, dans l'avion, puis dès l'atterrissga, Sarah avait pu constater que tout le personnel masculin ou féminin, avait dû être recruté pour leurs compétences certes, mais aussi pour leur aspect physique!

Elle avait été conduite à sa chambre par Casimira, une femme de chambre noire plus que ravissante, qui l'avait aidée à s'installer, mais aussi, sans qu'elle ne demande rien, à prendre sa douche, avec une sensualité et une habilleté troublante des doigts et des lèvres. Elle avait appris, au milieu des caresses tendres et efficaces sous la douche, que l'hospitalité de don Alfonso comportait la mise à disposition de ses invités, de tout son personnel, hommes et femmes, jour et nuit, pour tous genres de "services"dont ils pourraient avoir besoin. Ainsi elle était à la disposition de Sarah pour venir la rejoindre après la soirée pour la déshabiller et rester près d'elle pour toute la nuit si elle le désirait, à moins qu'elle ne préfère un homme ou même un trio, auquel cas elle pourrait faire venir son compagnon,pour partager leurs élans de femmes! Sarah était d'autant plus stupéfaite qu'au sortir de la douche, Casimira l'avait conduite devant une grand armoire pleine de robes et de vêtements dans lesquels elle pouvait choisir une tenue pour la soirée!
Elle rejoignit Alfonso pour l'apéritif, au cours duquel, il lui fit visionner une casette, le montrant en compagnie d'un bombre important de personnages mondialemnt connus. Puis ils passèrent dans une somptueuse salla à manger et le dîner et les vins servis furent dignes d'une table à trois étoiles, mais fidèle à ses principes, Sarah ne toucha pas aux vins!
Pendant le dîner, Alfonso, au cours de la conversation lui fit comprendre à quel point elle le séduisait et combien il aurait aimé la conquérir et partager de longs moments intimes avec elle! Qui resta sur une prudente réserve, disant que, musulmane, elle se gardait pour celui qui, un jour, serait son mari! Elle crut voir du dépit dans le regard d'Alfonso qui, pourtant,en fin de soirée la raccompagna jusqu'à sa chambre, en espérant un lendemain meilleur!

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31 mai 2007 4 31 /05 /mai /2007 09:12
Nadia ne se souvenait de rien, mais constatait que les draps du lit et son corps bronzé portaient les traces poisseuses et odorantes d'abondants épanchements viriles!
Après un somptueux petit-déjeuner pris sur la terrasse, Alberto, qui faisait comme s'il ne s'était rien passé la veille, mais restait très entreprenant, proposa une visire de ses terres. Ils marchèrent un long moment, suivi de loin par un garde du corps, le long de plantations dont elle ignorait s'il s'agissait de coca.mais ce qui lui fut confirmé par Alberto dont elle tentait d'éviter les frôlements de ses mains baladeuse!
Plus loin, il la fit frissonner en lui racontant que la rivère qu'ils longeaient était infestée de piranhas! La promenade se poursuivit sur le chemin traversé par de grosses racines des arbres poussant sur la berge et qu'il fallait enjamber.
A un moment, n'y tenant plus, Alberto tenta de prendre Nadia dans ses bras et tout en se débattant pour se dégager, elle fit exprès de se prendre les pieds dans les racines et de basculer, en arrière, dans la rivière. Mais en s'écartant assez de la berge pour qu'Alberto ne puisse pas la rattraper en lui tendant la main. et qu'il soit obligé de sauter à l'eau pour sauver la pauvre victime qui faisait semblant de se débattre!
Pendant qu'il approchait, elle avait sorti de sa poche l'arme qui ne la quittait jamais et qu'elle avait déja utilisée contre ce porc de Michel, et en avait ouvert la lame du scalpel. Lorsqu'il fut tout près, elle s'agrippa à lui, comme une presque noyée, et lui sabra le dos de deux coups de son arme! Puis s'échappant de ses bras, elle nagea vers la rive de toutes ses forces en criant. Désemparé et souffrant de ses blessures, Alberto savait qu'il était condamné et se mit aussi à hurler! Déjà il sentait les morsures de premiers piranhas qui furent, presque aussitôt des centaines à bouillonner autour de lui comme dans un marmite à l'eau rougie par le sang! Alberto hurlait, appelant son garde du corps au secours, mais il se savait perdu.Les piranhas mettenr vingt minutes pour dévorer un boeuf! Nadia simulait un évanouisement, allongée sur la berge, les cheveux et les vêtements trempés et gluants, collés au corps. Le garde accourait mais voynt le spectacle, sut qu'il ne pouvait plus rien faire pour son patron. Nadia haletante racontait qu'elle était tombée et qu'il avait voulu la sauver! On la crut, le scalpel était au fond de la rivière et personne n'aimait cet homme cruel et brutal avec ses paysans; Qui se demandèrent seulement qui allait  le remplacer?
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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 21:03

Depuis le temps que ces cons de journalistes nous cassent les oreilles avec "LA DETTE PUBLIQUE"lequel a eu le courage et l' honnêteté de vous dire de quoi elle était faite? Et bien voila la vérité que personne n'ose évoquer!!!!
La dette publique, c'est le salaire du Président de la République et son train de vie payé par l'ETAT, c'est celui des ministres et de leur train de vie et leurs avantages sociaux, celui des députés des sénateurs et de leur train de vie ( dont un tiers ne met jamais les pieds au Sénat.)
Et derrière eux le salaire et les avantages sociaux et fiscaux de TOUS LES FONCTIONNAIRES, les utiles et les totalement inutiles, inactifs et improductifs de quoi que ce soit. Mais aussi tous les règlements d'allocations diverses et multiples déversées sur ceux qui en ont besoin, mais aussi sur ceux qui en abusent et qui fraudent. Ce sont toutes les subventions payées à des organismes bidons, à des associations obsolètes,à des membres du conseil d'Etat qui touchent encore aujourd'hui des "PRIMES D'EGOUTS"par ordonnance de la royauté et mille prébendes de ce genre qui n'ont été ni révisées ni supprimées! Pourquoi? Parce que ceux qui nous informent ou nous dirigent font partie de ces privilégiés et qu'il se gardent bien de soulever le voile de ces escoqueries stupides prélévées sur ceux qui travaillent sans aucune aide et paient des taxes et impôts divers en suvisant les grèves de la SNCF!
Au fil des années, comme l'ETAT ne pouvait plus assumer ces chages énormes,que les prélèvements fiscaus ne pouvaient plus assumer, pour ne pas perturber la paix sociale il a emprunté aux banques, et a du assumer le paiement des intérêts de ces emprunts!!!
Résultat des courses, à force d'emprunter, les prélèvements fiscaux et sociaux ne peuvent même plus assumer le remboursement des INTERETS de ces emprunts, qui pourtant ne cessent de croître!!!!!!
Alors c'est la raison pour laquelle aujourd'hui journalistes et hommes politisues se gargarisent de cette DETTE PUBLIQUE alors qu'ils en sont directement responsables et en vivent grassement! Avoir la tête dans le mur ce n'est pas pour demain, nous y sommes! A qui la faute? Aux gouvernants de tous bords et aux citoyens français laxistes et volontiers fraudeurs chaque fois qu'ils le peuvent! Alors ne venez pas vous plaindre d'avoir le nez dans la merde, vous l'avez fabriquée!













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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 08:00
Le dîner à peine terminé, Alberto entraîna son invitée dans une grande salle de gymnastique avec appareils chromés, table de massage et jacusi attenants. trrès vite allongé sur la table, vêtu seulement, d'un mini-slip suggestif, il exhibait une anatomie musclée à la toison simiesque. Experte en massage, grâce aux entraînements auprès d'Antinéa, Nadia commença son action en mettant son patient sur le ventre pour traiter ses vertèbres, mais lorsqu'il se mit sur le dos, elle put voir que son travail n'était pas seulement efficace sur les vertèbres, mais que le mini slip laissait déborder une anatomie virile de belle venue! Elle fit comme si elle n'avait rien vu, mais Alberto lui prit la main pour la poser à l'endroit crucial!

Elle n'aima pas ce contact avec un sexe d'homme vibrant tiède et noueux dont elle avaitr fait la découverte avec celui, rabougri,de Michel, là-bas, en Europe centrale. celui-là était beaucoup plus volumineux, avec sa grosse tête luisante en forme de champignon suintant, qui attendait tout de la caresse de ses  doigts. Elle s'écarta du membre turgescent pour dire avec un sourire:
-"Alberto, soyez gentleman, je ne fais pas partie des femmes sui se jettent sur le sexe , puis dans le lit d'un homme que je ne connais que depuis quelques heures. Faites ma conquête, au lieu de vouloir me traiter comme une trainée!"
Espérant des lendemains meilleurs, Alberto se calma, mais en fin de soirée, passée devant un  écran géant de télévision, il s'arrangea pour droguer discrètement le verre de jus de fruits de Nadia, qui, au bout de quelques temps se sentit envhaie par un langoureux bien-être, en même temps que par une sorte de maelstrom  inondant sa vallée intime et profonde. Comme dans un rêve elle se laissa conduire dans une immense chambre luxueusement meublée, mais avec un goût détesatble! Elle se sentait flotter à mi-chemin entre le rêve et le réel Mais toujours avec ce feu lui brûlant le sexe et durcissant la pointe de ses seins. L'instant d'après elle était nue sur l'immense lit aux draps de soie, écartelée par le désir et offerte à tous les désirs d'Alberto et de son membre viril qui avait pris des dimensions impressionnantes, avant de devenir taraudant, fouaillant et explosant à plusieurs reprises.
Au matin, lorsqu'elle se réveilla, seule, elle ne se souvenait de rien.
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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 06:36
Il fut convenu que Nadia embarquerait à bord du Beech-craft d'Alberto, pour un vol d'une heure environ, qui la mènerait jusque chez lui, et Sarah irait dans celui d'Alfonso, pour un vol un peu plus long, car ses terres etaient plus vastes et plus éloignées!
Remontée dans sa chambre pour prendre son bagage, Nadia se trouva face à face avec une petite femme noiraude, moustachue et portée par de gros mollets. C'était la femme de chambre qui"préparait la couverture" et qui voyant entrer Nadia la regarda avec admiration en disant:
-"La signora a bien de la chance d'avoir rencontré le sénor Alberto!' Nadia restant perplexe, laColombienne ajouta:
-"Les deux senores Alberto et Alfonso sont deux des plus grands propriétaires terriens du pays. Ils ont de milliers d'hectares et de paysans pauvres qui travailent pour eus et cultivent la coca. Mais leurs patrons sont milliardaires! Et elle se tut, effrayée d'en avoir trop dit! Voyant son vidsage défait, Nadia la rassura:-"N'ayez pas peur, je ne dirai rein à personne!"

Une heure plus tard, après avoir indiqué à Sarah qui étaient leurs chevaliers servants, elle survolait la Colombie à basse altitude, piloté par un Alberto fier d'annoncer que, déjà, ils survolaient ses terres et qu'il en serait ainsi jusqu'à l'atterrissage! Expliquant, sans la moindre gêne qu'il était producteur de coca et trafiqaunt de drogue, tout comme son ami Alfredo qui était encore plus riche que leui!
Bientôt, les balises lumineuses de la piste furent visibles, droit devant l'appareil qui se posa en douceur. Une petite voiture électrique les mena jusqu'à l'immense terrasse dallée de marbre, meublée de chaises-longues et de parasols bleus et blancs qui s'étendait devant la somptueuse hacienda consrtuites en pierres blanches.
Installés côte à côte, alors que la nuit était tombée, en buvant un cocktail de jus de fruits exotiques et lui de grandes lampées de whisky, Nadia fit savoir qu'elle était kinésithérapeute en vacances, provoquant l'enthousiasme d'Alberto qui, justement, avait des vertèbres douloureuses ayant grand besoin de massages, si Nadia voulait bien lui servir de soignante après le dîner. Qui fut servi par deux hommes basanés et moustachus, vêtus de vestes et gants blancs et pantalons noirs, cachant, à peines des baskets éculées!Mais la langouste servie était succulente!
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29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 09:38
Après son équipée sauvage avec Sarah, Djemilla aurait souhaité un peu de solitude. Mais d'un autre côté, elle redoutait de se séparer,ne fut ce que pour quelques jours de celle qui, encore plus qu'un clône était devenue sa jumelle de coeur!

C'est pourquoi, retombée sur leurs pieds, un peu plus tard, elles embarquèrent ensemble pour la Colombie. Ne connaissant pas l'Amérique du sud, mais envisageant de se séparer à leur arrivée. Un grand hôtel de Medellin les accueillit, bronzées et souriantes comme deux touristes en vacances!Leur première envie, après le long vol,fut de descendre à la piscine. Après un bain, elles s'allongèrent côte à côte et commandèrent de grands verres de cocktails de fruitd exotiques, bus en regradant autour d'elles.Elles savaient que cet hôtel, entre autres, était un lieu de rencontre bien connu de tous ds trafiquants de drogue.

Leur beauté avait attiré les regards peu aimables d'autres beautés hispaniques très différentes, mais aussi l'attention soutenue de deux hommes d'une trentaine d'années que, visiblement, derrière le tissu de leurs maillots, leurs silhouettes mettaient en émoi! Malgré leur peu d'attirance pour les hommes; ces deux là étaient plutôt agréables à regarder, dans le genre bel hidalgo prétentieux et, sans doute, riches! Silhouettes musclées et bronzées et pour l'un d'eux, de longs cils noirs devant des prunelles de jais qui lui donnait une allure un peu efféminée!
Sans se consulter, elles se laissèrent glisser dans la piscine, excellente méthode pour attirer les crocodiles avides de chair fraîche. Deux minutes plus tard, ils étaient là ets e présentaient en barbotant:
-"Je suis Alfonso, dit le grand mince!" -" Et moi Alberto, enchaîna le plus râblé aux yeux de biche. J'imagine que vous êtes étrangères et que vous venez d'Europe?"
-"Non d'Egypte répondit Nadia en coupant la parole à Sarah, et mon amie et moi aimerions visiter le pays en louant un petit avion avec pilote.
-"Dans un pays comme le nôtre, les propriétaires terriens, comme nous, ont chacun leur avion et savent le piloter. Alors, si vous voulez, Alberto et moi nous vous invitons chacun sur nos terres, pour vous faire visiter nos deux propriétés. Choisissez chacune votre chevalier servant!
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