4 août 2007
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Mais elle ne desespérait oas de pouvoir la conquérir en retournant chez Blandine. Ce qui lui permettrait, en même temps, de voir comment ses deux amies prendraient une éventuelle séparation en deux couples amis dans la tendresse, mais aussi dans la sensualité!,
Myriam avait mal dormi, et même pas dormi du tout. Tournant et retournant dans sa tête, ce que lui avait dit Mounia, puis s'attendrissant sur la soirée si intense qu'elles avaient partagées. Et soudain, revenant sur cette idée qu'elle serait l'objet du mépris et de l'ironis, ou des deux,ches les amies de Mounia qui s'en trouverait gênée, sans oser le lui dire!
Un instant plus tard, au contraire, elle mesurait combien il serait bon de se retrouver, chaque soir, seule dans les bras de Mounia, comme elle y était en ce moment, et ses doigts plongeaient, d'instinct jusqu'au coeur de son intimité, en évoquant les moments qu'elle venait de vivre avec sa partenaire!
Mais son amour-propre fut le plus fort et, lorsque l'aube fut là, doucement, elle se leva, ramassa ses affaires éparses dans la pièce, pour aller s'habiller dans la cuisine, et sans même prendre le temps de se faire un café, après avoir griffonné son billet en tirant la langue, elle quitta l'appartement par la"porte de service."
Dehors, tout était encore silencieux et désert. les cafés pas encore ouverts. elle se mit à marcher dans les rues en attendant qu'il soit une heure décente pour retourner chez Blandine, comme il avait été normalement prévu. Elle mettait toute sa volonté à ne pas pleurer pour qu'il n'y ait pas de traces de son désarroi sur son visage au moment de "rentrer dans un chez elle, qui n'était même pas le sien!"
Alors elle évoqua ce qui aurait pu se passer si Blandine n'avait pas été là à l'attendre, sur le seuil, au moment de sa sortie de prison! Et là, elle ne put retenir ses larmes. Son desespoir était si fort, ses hoquets tellement irrepressibles,qu'elle dut s'asseoir sur un banc pour,ne pas tomber, et qu'un employé de la voirie s'approcha pour lui demander si elle se sentait bien ou si elle voulait qu'il appelle les pompiers?
Entre deux sanglots, elle lui fit comprendre que ce n'était pas nécéssaire, mais l'employé assis à côté d'elle hésitait et tentait de la réconforter!,
Myriam avait mal dormi, et même pas dormi du tout. Tournant et retournant dans sa tête, ce que lui avait dit Mounia, puis s'attendrissant sur la soirée si intense qu'elles avaient partagées. Et soudain, revenant sur cette idée qu'elle serait l'objet du mépris et de l'ironis, ou des deux,ches les amies de Mounia qui s'en trouverait gênée, sans oser le lui dire!
Un instant plus tard, au contraire, elle mesurait combien il serait bon de se retrouver, chaque soir, seule dans les bras de Mounia, comme elle y était en ce moment, et ses doigts plongeaient, d'instinct jusqu'au coeur de son intimité, en évoquant les moments qu'elle venait de vivre avec sa partenaire!
Mais son amour-propre fut le plus fort et, lorsque l'aube fut là, doucement, elle se leva, ramassa ses affaires éparses dans la pièce, pour aller s'habiller dans la cuisine, et sans même prendre le temps de se faire un café, après avoir griffonné son billet en tirant la langue, elle quitta l'appartement par la"porte de service."
Dehors, tout était encore silencieux et désert. les cafés pas encore ouverts. elle se mit à marcher dans les rues en attendant qu'il soit une heure décente pour retourner chez Blandine, comme il avait été normalement prévu. Elle mettait toute sa volonté à ne pas pleurer pour qu'il n'y ait pas de traces de son désarroi sur son visage au moment de "rentrer dans un chez elle, qui n'était même pas le sien!"
Alors elle évoqua ce qui aurait pu se passer si Blandine n'avait pas été là à l'attendre, sur le seuil, au moment de sa sortie de prison! Et là, elle ne put retenir ses larmes. Son desespoir était si fort, ses hoquets tellement irrepressibles,qu'elle dut s'asseoir sur un banc pour,ne pas tomber, et qu'un employé de la voirie s'approcha pour lui demander si elle se sentait bien ou si elle voulait qu'il appelle les pompiers?
Entre deux sanglots, elle lui fit comprendre que ce n'était pas nécéssaire, mais l'employé assis à côté d'elle hésitait et tentait de la réconforter!,
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