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5 décembre 2007 3 05 /12 /décembre /2007 12:38
-"Penses-tu que tes parents accepteraient de te laisser partir, pour que je t'emmêne, avec moi, dans notre propriété, en France, non loin de Béziers et que mon père t'engage pour travailler dans sa ferme?"
Rodrigo crut avoir mal entendu, puis réalisant, soudain, il saiuta au cou de Nicolas.
-"Je ferais tout pour rester auprès de toi, et si mes parents n'acceptaient pas, je m'enfuirais !"
Alors en partant d'ici, tu me conduiras chez toi, pour qu'ils me connaissent. S'ils veulent bien , nous resterons  un jour, et puis je t'emmenerai et nous gagnerons Béziers ensemble. Tu retourneras voir tes parents quand tu voudras.
-" Si tu veux rester une journée à la maison, tu vas les gêner. Tu sais, nous dormons tous dans la même pièce, mes parents, mon frère, ma soeur et moi !
-" Alors on ne s'attardera pas et nous irons, directement en France, en louant une voiture, avec l'argent que je demanderai  à Don Felipe, qui est un ami de mon père.

En entendant ce projet, Rodrigo sentait son coeur cogner comme un fou, et ses yeux de remplirents de larmes. Il se colla contre Nicolas, faisant renaître, une fois encore, leurs pulsions intimes et communes qui s'épousaient derrière les tissus imbriqués, avant de jaillir à l'air libre!  Doigts et lèvres se firent voyageurs et même vagabonds!

Ils passèrent les jours restant à vivre à la ganaderia, en coulant les matinées, nus sur le sable et dans l'eau, les corps ruisselants de perles salées devenant poudre blanche sur leurs peaux dorées, lorsqu'ils s'allongeaient pour partager de nouveaux élans  et de nouveaux jaillissements oferts à leur nudité offerte au soleil implacable de l'été andalou.
Après que Nicolas eut donné des leçons de natation à Rodrigo, qui étaient l'occasion, pour eux, de vivre, à fleur de peau et de vagues de longues caresses glissantes sous le ventre de l'adolescent, ou retourné ventre en l'air comme les dauphins  avides de caresses, et plus souvent agrippé aux cuisses et à la taille du maître nageur, vite dépouillé de son maillor  par le soin de mains fébrilement amoureuses!

Parfois, Nicolas restait un moment immobile, fasciné  en contemplant la beauté de Rodrigo. celle de son visage, de l'intensité de son regard de braise. Mais aussi de son corps bronzé, taillé à la fois dans la puissance, avec ses muscles nés du travail des champs; mais aussi d'une certaine maigreur, fille de pauvreté! Le tout dominé par sa longue tige veinée de bleu et protégée par un long prépuce frippé et souvent humide de désir!
Alors qu'entre ses cuisses, reposait mollement, une virilité adolescente émouvante de jeunesse, mais déjà imposante, et prompte à se réveiller et à se dresser vers le ciel, sous sa touffe noire et fournie!
Exhibant son museau luisant, encore caché par un fourreau de peau mate, à la douceur de soie, aux veines saillantes. Contemplation fervente et réciproque, car Rodrigo, lui non plus, ne perdait pas une occasion de détailler, avec émotion le corps de Nicolas et la silhouette massive de sa virilité érigée!
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