16 février 2009
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L allusion que lui avait faite Râni d'une sorte de club de lesbiennes dans lequel il lui serait possible de rentrer,provoqua d'abord en elle un sentiment de révolte et de colère: Son visage se ferma et très sèchement, elle répliqua en disant: -"Pourquoi aller chercher avec des femmes qui trichent, ce que les hommes nous offrent plus richement et plus totalement?!"- "Mais non, ne croyez pas celà, ces femmes ne trichent pas, elles préfèrent seulment vivre leurs amours entre elles lorsqu'elles ont un penchant naturel certain pour ce genre de partage, plutôt que de le faire avec des hommes qui puent la sueur et le tabac et qui les battent le soir lorsqu'ils rentrent saouls comme des cochons. Et qui les violent, plutôt qu'ilsne leur font l'amour, quand ils ont encore le virulence physique pour le faire !" Clémentine répliqua:-" Si vous aimez çà ne comptez pas sur moi pour vous suivre sur ce chemin!-"Je vous propose seulement ce soir de venir visiter ce club pour vous rendre compte de ce qu'il en est pour que vous sachiez de quoi je parle. De toute manière moi je suis lesbienne et je m'en porte très bien, mais je ne chercherai en rien à vous forcer à quoi que ces soit." Pensant intérieurement que celà aurait été un moyen efficcace pour pouvoir la contrôler de plus près ! Alors que soudain Clémentine réalisait qu'elle avait peut-être là un moyen plus facile pour tenter de s'évader !
Le soir elle accompagna donc Râni à ce club qui ressemblait à une sorte d'hôtel hammam comprenant des salons, des saunas,une grande piscine,des pièces de repos et de vraies chambres pour s'y isoler et y dormir seule ou accompagnée !
Dans le salon où elle prenait le thé avec Râni, on pouvait déguster boissons et pâtisseries servies par de très jeunes filles toutes très belles et pratiquement complètement nues, et portant autour du cou un petit collier avec une petite carte que l'on pouvait détacher si l'on voulait s'attacher ses services de manière plus intimes plus intenses mais aussi plus dixcrètes.
Assise sur un grand canapé, avec Râni, très fière de l'avoir conduite jusqu'ici, elle avait autour d'elle de nombreuses femmes. Certaines fort belles, d'autres plus enveloppées qui toutes étaient intriguées par la présence de cette très belle étrangère, grande et sportive à la peau blanche qui contrastait avec leurs peaux cuivrées et parfois même noires. Toutes étaient fort légèrement vêtues de voiles et de sari, parfois somptueux, mais qui ne laissaient presque rien ignorer de leurs charmes intimes. Certaines s'enlaçant même sur de grands sofas prévus à cet effet. Plusieurs d'entre elles vinreny se joindre à Râni qu'elles connaissaient pour se faire présenter à Clémentine qui, visiblement les séduisaient beaucoup .Elle ne comprenait pas leur langue,mais certaines se mirent à s'exprimer en une sorte de sabir qui ressemblait à de l'anglais.
L'une d'elle en particulier la dévorait de ses immenses yeux d'un noir noir de jais aux cils immenses aux lèvres d'une beauté pulpeuse qui donnait envie d'y mordre dont les seins en marbre étaient nus, pointes dressées, et qui avait ouvert son sari pour dénuder totalement son pubis bombé et rasé! La pénombre velue et luisante, aperçue entre les cuisses à demi ouvertes était troublante, même pour Clémentine qui n'en avait jamais vu autant, mais bien plus encore pour Râni qui aurait tant voulu conquérir celle qui était sa prisonnière pour vivre avec elle en toute intimité, des élans partagés et intenses !
Clémentine pensait que peut-être cette femme à qui elle plaisait visiblement beaucoup était celle qui lui permettrait de s'évader d'autant plus qu'elle était entrain de lui proposer de s'isoler dans une chambre après en avoir demandé la permission d'un regard à Râni qu'elle croyait sa compagne et qui curieusement accepta d'un signe de tête !
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