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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 07:36
Le corps de Valentine était collé contre celui de Ludovic et, ainsi incrustés elle sentit, avec trouble ce qu'elle devinait être la virilité épanouie du garçon, collée et dure contre sa cuisse ! Son trouble augmenta, alors que Ludovic, soudain envahi par la timidité s'écartait d'elle pour dire: -"Tu es venue, enfin, quel bonheur ! Tu vois ma tanière est modeste, mais si heureuse de t'accueillir !  Prenons le verre des retrouvailles, nous l'avons bien mérité !
En entendant ces mots, Valentine eut peur qu'il n'ait conservé son habitude de boire trop, mais il avait l'air tout à fait normal. Alors elle verrait bien par la suite ! Même noyé de glaçons, le whisky de médiocre qualité lui coula dans la gorge , comme de l'eau de feu, car elle n'en avait pas l'habitude. Mais, très vite, elle sentit aussi son effet au coeur de son intimité soudain réveillée et palpitante ! Ludovic expliquait:
:
-"Quand nous nous sommes quittés, j'ai décidé, pour atténuer ma peine, de me mettre à travailler vraiment. Je suis allé voir une maison de disques pour leur proposer mes chansons dont ils n'ont pas voulu, mais par contre, ils m'ont proposé un poste dans leur service commercial, pour accueillir les nouveaux talents. C'était cruel, mais celà m'a permis de m'installer  ici. Côté sentiment, personne que toi, comme dans un rêve impossible !
"-"Et bien moi, après t'avoir quitté, j'étais si triste que j'ai fait des bêtises et en sortant de l'hôpital ma tante m'a chassée de chez elle et du magasin. J'ai été recueillie par des religieuses qui m'ont appris la couture. j'en avais fait mon métier et j'étais passionnée, mais la patronne de l'atelier était tombée amoureuse de moi et voulait que je vive avec elle. J'ai refusé et elle m'a chassée. J'avais une bonne cliente qui a su mon problème. Son amant de l'époque cherchait une intendante et elle lui a suggéré de me proposer la place. J'y suis encore, mais sa maîtresse a disparu depuis longtemps.Je ne suis pas devenue sa compagne pour autant, mais nous nous entendons bien !
Leur verre vide à la main, ils se trouvaient assis, côte à côte, sur le canapé-lit. Le whisky avait continué à faire son effet, diffusant de l'audace dans les veines de Valentine !
Ce fut elle, qui la première, eut un geste de caresse de la main. Il se pencha pour l'embrasser et leurs lèvres s'unirent, enfin,chaudes, soyeuses puis humides ! Elle tenta de commencer à le déshabiller, mais son embarras fit sourire Ludovic, qui se leva, et la mit debout, elle aussi, pour pouvoir ouvrir le canapé-lit et les draps. Puis d'un geste décidé, il commença à se dévêtir. Très vite il se retouva nu, face à elle, qui baissant les yeux, par pudeur, se trouva confronté, au contraire avec la vision de son sexe dressé et tendu vers elle, comme pour une demande !
Pour ne pas rester sottement immobile, elle commença à se déshabiller, elle aussi, sans oser se mettre complètement nue. Encore en sous-vêtements elle s'avança vers lui. Ils s'enlaçèrent, avant que Ludovic ne l'entraîne sur le lit ouvert, où il acheva, les doigts tremblants de la mettre nue !
La première fois où ils s'étaient trouvés allongés ainsi, ils n'étaient pas nus. Cette fois, après en avoir tant rêvé, Valentine sentait la peau de Ludovic contre la sienne et, pressée contre sa cuisse, la colonne dure et chaude qu'elle osa effleurer de la main !
Ce premier contact les tétanisa, et ils eurent envie d'autre chose. Alors Ludovic  se mit  tête-bêche avec elle, pour pouvoir, enfin, accomplir les caresses intimes de leurs doigts et de leurs lèvres dont ils avaient tant rêvé, mais dont Valentine ignorait tout !
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