13 décembre 2007
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Des heures durant soixante millions de pélerins vivent l'oreille collée au portable pour blablater des heures entières avec un autre "accro" au grand dam de leur portefeuille ou pire de celui de leurs parents! Mais à part un éventuel risque de cancer du cerveau à la quarantaine ce sont de vrais innocents à côté des vidéomaniaques.
Quand on apprend, par les gazettes, que le patron de Vivendi devient un héros national parce que sa boîte est devnue le numéro un mondial des jeux vidéo, c'est un peu comme si on déclarait que le plus grand trafiquant de drogues dures français devenait, lui aussi, un héros gràce à la quantité d'héroïne de cocaine et autres saloperies qu'il avait réusi à fourguer aux drogués de France. L'un comme l'autre sont justiciables des tribunaux et des cachots, à cause du mal qu'ils font, mais seuls l'un d'entre eux les connaîtra, et encore !!
Les jeux vidéo, certes, rapportent des fortunes à leurs fabricants et à leurs revendeurs, mais ils sont l'une des drogues les plus dangereuses de toutes parce qu'insidieuses et autorisées. Alors que la grande majorité d'entre eux sont basés sur une violence extrême et toujours de plus en plus extrême, et que c'est précisément cette violence qui constitue une drogue suffisamment puissante pour faire qu'un adolescent de quinze ans grand consommateur de ce poison se jette par la fenêtre à la suite d'un jeu manqué.
Pour ceux qui ne se tuent pas, on les voit, adolescents comme adultes, oubliant leur travail scolaire pour les uns et leurs devoirs conjugaux pour les autres, passer des nuits entières accrochés à leurs consoles maudites, comme des naufragés à leur bouée. Pour en sortir à l'aube, épuisés, les yeus cernés de mauve et le système nerveux devenu pelote d'épingles !
Quand on voit, dans les reportages, les visages et les gestes hystériques des joueurs, adolescents en majorité mais adultes également en grand nombre, entrain d'appuyer sur leurs maudits petits boutons pour tuer, tuer, tuer encore fictivement des milliers d'ennemis virtuels on est horrifié de les voir véritablement jouir, et"prendre leur pied" comme en un véritable orgasme .
La puissance de détruire les grise. Ils en hoquètent de bonheur.Et on se prend à imaginer la gueule qu'ils feraient s'ils se trouvaient écrasés dans la réalité, sous les bombes qui on détruit entièrement la ville de Dresde ou celle de Caen en 1945 ! Ou cloués sur place par les tirs de mitrailleuses 12, 7 tirant à balles réelles dans la jungle indochinoise.pour éclater les cranes et déchiqueter les ventres !
Certains pensent peut-être que la simulation de la violence tue la violence réelle, ce sont des ânes bâtés. C'est une dramatique illusion! La simulation ne supprime pas la violence elle la banalise et la rend familière, normale, et évidente et jouissive ! ! ! ! ! Et c'est elle la responsable des coups de couteau, de plus en plus fréquents, dans les cours de récréation !
Maintenant pour ceux qui abandonnent leurs consoles video, il reste les boites de nuit comme celles vues hier soir à la télé. Ils peuvent toujours aller à Saint-Tropez, à Ibiza ou ailleurs où ils trouveront l'alcool et les drogues qui les défonceront encore mieux, mais pour plus cher !!!
Terrible époque, terrible civilisation ou l'on peut détruire l'humanité entière dans le virtuel et en jouir à longueur de nuits, mais sans risquer d'attraper le sida ! ! ! !
Quand on apprend, par les gazettes, que le patron de Vivendi devient un héros national parce que sa boîte est devnue le numéro un mondial des jeux vidéo, c'est un peu comme si on déclarait que le plus grand trafiquant de drogues dures français devenait, lui aussi, un héros gràce à la quantité d'héroïne de cocaine et autres saloperies qu'il avait réusi à fourguer aux drogués de France. L'un comme l'autre sont justiciables des tribunaux et des cachots, à cause du mal qu'ils font, mais seuls l'un d'entre eux les connaîtra, et encore !!
Les jeux vidéo, certes, rapportent des fortunes à leurs fabricants et à leurs revendeurs, mais ils sont l'une des drogues les plus dangereuses de toutes parce qu'insidieuses et autorisées. Alors que la grande majorité d'entre eux sont basés sur une violence extrême et toujours de plus en plus extrême, et que c'est précisément cette violence qui constitue une drogue suffisamment puissante pour faire qu'un adolescent de quinze ans grand consommateur de ce poison se jette par la fenêtre à la suite d'un jeu manqué.
Pour ceux qui ne se tuent pas, on les voit, adolescents comme adultes, oubliant leur travail scolaire pour les uns et leurs devoirs conjugaux pour les autres, passer des nuits entières accrochés à leurs consoles maudites, comme des naufragés à leur bouée. Pour en sortir à l'aube, épuisés, les yeus cernés de mauve et le système nerveux devenu pelote d'épingles !
Quand on voit, dans les reportages, les visages et les gestes hystériques des joueurs, adolescents en majorité mais adultes également en grand nombre, entrain d'appuyer sur leurs maudits petits boutons pour tuer, tuer, tuer encore fictivement des milliers d'ennemis virtuels on est horrifié de les voir véritablement jouir, et"prendre leur pied" comme en un véritable orgasme .
La puissance de détruire les grise. Ils en hoquètent de bonheur.Et on se prend à imaginer la gueule qu'ils feraient s'ils se trouvaient écrasés dans la réalité, sous les bombes qui on détruit entièrement la ville de Dresde ou celle de Caen en 1945 ! Ou cloués sur place par les tirs de mitrailleuses 12, 7 tirant à balles réelles dans la jungle indochinoise.pour éclater les cranes et déchiqueter les ventres !
Certains pensent peut-être que la simulation de la violence tue la violence réelle, ce sont des ânes bâtés. C'est une dramatique illusion! La simulation ne supprime pas la violence elle la banalise et la rend familière, normale, et évidente et jouissive ! ! ! ! ! Et c'est elle la responsable des coups de couteau, de plus en plus fréquents, dans les cours de récréation !
Maintenant pour ceux qui abandonnent leurs consoles video, il reste les boites de nuit comme celles vues hier soir à la télé. Ils peuvent toujours aller à Saint-Tropez, à Ibiza ou ailleurs où ils trouveront l'alcool et les drogues qui les défonceront encore mieux, mais pour plus cher !!!
Terrible époque, terrible civilisation ou l'on peut détruire l'humanité entière dans le virtuel et en jouir à longueur de nuits, mais sans risquer d'attraper le sida ! ! ! !
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