11 août 2007
6
11
/08
/août
/2007
09:14
L'homme, dépité et obstiné avait demandé à un détective de faire une enquête sur son compte, ce qui lui avait permis, rapidement, de connaître une vérité qu'il était à mille lieues d'imaginer et qui provoqua, en lui,un violent dépit!
Alors, sans en être autrement étonnée, et même plutôt soulagée, au bout de quelques semaines, Mounia reçut sa lettre de licenciement pour faute professionnele grave! Ce qui est le propre de l'élégance et du courage d'une bonne partie de la gent masculine!
Pour les quatre filles, la situation devenait grave, et même angoissante, et leurs sentiments réciproques n'étaient pas de trop pour les empêcher de sombrer dans la dépression!
Même si elle avait tout fait pour que ses parents ne soient pas au courant de ses démêlés avec Michèle, la gardienne, puis avec la Justice, les parents de Blandine avaient eu vent de l'histoire,et, furieux autant que terrorisés par le"qu'en-dira-t-on",ils avaient fait savoir à leur fille, sans même vouloir la recevoir, qu'ils ne voulaient plus la voir et que, de surcroît, ils supprimaient la petite pension versée chaque mois. Elle se trouvait ainsi sans resssources, si ce n'était son petit salaire de vendeuse chez les"cousines", alors que Mounia venait d'être licenciée et que, de ce fait, la promesse d'embauche de Myriam tombait à l'eau. Elle devrait donc continuer à faire des ménages dans les bureaux de l'Administration, tandis que Juliette, heureusement, conservait son poste. Mais il allait falloir remplacer le champagne des soirs heureux par de la limonade!
Ce qui n'empêchait pas leurs sentiments réciproques de rester très vifs et actifs. Et, un peu par la force des choses, mais surtout en raison de leurs attirances particulières, Blandine et Juliette filaient le parfait amour dans l'une des deux chambres de l'appartement, inondant avec bonheur le tigelle immense de l'une avec les cataractes de l'autre!
Alors que Mounia,plus amoureuse que jamais de Myriam, se perdait, avec délice, chaque nuit au creux ce son lit, dans la broussaille odorante et crépue des aisselles en jachère de sa partenaire, avant de plonger au coeur de la petite forêt dominant sa vallée, aux profondeurs corail et aux nymphes presque noires et luisantes. Elle adorait, au petit matin,voir Myriam sortir du lit avec sa nuistte retroussée.
Alors, sans en être autrement étonnée, et même plutôt soulagée, au bout de quelques semaines, Mounia reçut sa lettre de licenciement pour faute professionnele grave! Ce qui est le propre de l'élégance et du courage d'une bonne partie de la gent masculine!
Pour les quatre filles, la situation devenait grave, et même angoissante, et leurs sentiments réciproques n'étaient pas de trop pour les empêcher de sombrer dans la dépression!
Même si elle avait tout fait pour que ses parents ne soient pas au courant de ses démêlés avec Michèle, la gardienne, puis avec la Justice, les parents de Blandine avaient eu vent de l'histoire,et, furieux autant que terrorisés par le"qu'en-dira-t-on",ils avaient fait savoir à leur fille, sans même vouloir la recevoir, qu'ils ne voulaient plus la voir et que, de surcroît, ils supprimaient la petite pension versée chaque mois. Elle se trouvait ainsi sans resssources, si ce n'était son petit salaire de vendeuse chez les"cousines", alors que Mounia venait d'être licenciée et que, de ce fait, la promesse d'embauche de Myriam tombait à l'eau. Elle devrait donc continuer à faire des ménages dans les bureaux de l'Administration, tandis que Juliette, heureusement, conservait son poste. Mais il allait falloir remplacer le champagne des soirs heureux par de la limonade!
Ce qui n'empêchait pas leurs sentiments réciproques de rester très vifs et actifs. Et, un peu par la force des choses, mais surtout en raison de leurs attirances particulières, Blandine et Juliette filaient le parfait amour dans l'une des deux chambres de l'appartement, inondant avec bonheur le tigelle immense de l'une avec les cataractes de l'autre!
Alors que Mounia,plus amoureuse que jamais de Myriam, se perdait, avec délice, chaque nuit au creux ce son lit, dans la broussaille odorante et crépue des aisselles en jachère de sa partenaire, avant de plonger au coeur de la petite forêt dominant sa vallée, aux profondeurs corail et aux nymphes presque noires et luisantes. Elle adorait, au petit matin,voir Myriam sortir du lit avec sa nuistte retroussée.
Partager cet article
