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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 07:32
Peut-être l'avez-vous remarqué, mais les journalistes, les présentateurs et animateurs de diverses émissions de la télévision en sont restés au rythme et à la mentalité du CM2.

Prenez un calendrier et regardez  quelles sont les dates de l'année ou les élèves de cette classe sont en vacances c'est à dire un bon quart de l'année, et vous constaterez que ces messieurs et dames disparaissent du petit écran exactement à ces mêmes périodes! Sans doute pour aller garder leurs chères petites têtes blondes

Bien sûr ils sont fatigués les pauvres chéris ! C'est sans doute le poids extravaguant de leur cachets, salaires et primes diverses qui leur fatigue tant le cerveau et les reins ! Moyennant quoi pendant tout l'été, à la Tousaint, à Noël, à Pâques, et à la Trinité, nous les téléspectateurs et cochons de payants nous sommes abreuvés de
re- re- re redifusions insipides et aussi de ce qu'ils appellent des "best of", comme s'il ne pouvaient pas"causer français" et qui, en fait de meilleurs moments, ne sont que des plats réchauffés !

On aurait pu imaginer que les différentes chaînes, usant de courage et de créativité, mettent au point des grilles de programmes comprenant de nouvelles émissions avec de nouveaux présentateus et animateurs, qui pourraient ainsi faire leurs premières armes et devenir,à leur tour, des vedettes du petit écran et pousseraient dehors les "institutionnels" dont certains sont devenus rasoirs à force de rabâcher les mêmes plaisanteries et les mêmes ricanements stupides ou"heins" à répétitions.

Et c'est bien là ce que redoutent le plus ces vieux chevaux de retour. Alors pour les rassurer et que leurs places restent chaudes et douillettes on nous balance du réchauffé à longueur d'antennes ! Qu'on nous repasse de temps en temps de très bons films qui sont devenus des classiques, pourquoi pas? Celà donne l'occasion aux jeunes générations de les découvrir, mais certains" nanars" repassent chaque année avec une régularité de métronome !.
Qu'on en arrive à ce point de fonctionarisation du service public relève de l'insulte aux téléspectateurs et que l'absentéisme soit devenu la règle de vie de ces messieurs et dames une incongruité ! Et vivent les trente cilq heures et les TNT !

Celà dit certaines émissions régulières monstrueuses de stupidité, ou de voyerisme,ou d'immoralité devraient être rayées des programmes par un CSA digne de ce nom. Mais il se trouve que ce sont, pour la plupart, celles qui  "marchent" le mieux et font le plus d'audience. Alors vous pensez, réjouissons-nous et: par ici la bonne sousoupe à sa mémère ! Il y en a qui concoctent de la bouillie pour les chats d'autres des ordures  pour les porcs, mais hélàs les porcs sont nombreux à s''en régaler !.
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23 décembre 2007 7 23 /12 /décembre /2007 07:25
Les vacances se poursuivaient agréablement avec un Maurice qui sétait découvert un comportement de Don  Juan depuis cette nuit mémorable où il l'avait tirée des griffes de Fatou. Que d'ailleurs elle continuait à surveiller du coin de l'oeil en évitant de passer à la portée de son agressivité.
Et elle n'avait pas tord d'etre vigilante ! Car un matin, à l'heure de la douche, alors qu'elle était entrée dans une cabine, le grand Mahmoud se faufila derrière elle.et y pénétra à son tour.Vêtu seulement d'une serviette, il se dénuda et enlaçà Agnès, à la fois émue et apeurée.
Il la couvrait de baiser  un peu partout avec ses grosses lèvres qui faisaient des merveilles et commençaient à la mettre dans tous ses états.
Mais quand il s'éloigna un peu d'elle pour descendre vers sa toison embroussaillée,et toute empoissée des ébats de la nuit, elle vit le gigantesque bengala qui se dressait contre son nombril  et le dôme énorme et luisant qui le surmontait. Malgré la tentation de tendre la main vers ce membre impressionnant ce fut la peur qui la domina: Peur de voir ce monstre tenter d' entrer en action  pour la posséder, mais peur également de Fatou qui allait peut-être se manifester ! Terrifiée, elle tenta de jouer la persuasion.
-"Non ! S'il te plait Mahmoud, ne me touches pas ! Tu es trop grand, trop fort, j'ai peur !"

Le noir fut surpris de cette réaction, car il n'avait aucune idéee agressive,mais pensait aller dans le sens des désirs d'Agnès, comme avec Fatou qui engloutissait son linguam le plus facilement du monde !
Mais il ne fit rien pour la retenir. Comme la cabine était exigüe, elle dut le bousculer pou sortir et s'échapper  comme si elle avait le diable à ses trousses !

Et dehors, elle tomba sur Rama, qui visiblement l'attendait :-"J'ai tout entendu !  Je sais que tu as eu peur, viens dans mon mobil-home nous serons bien toutes les deux, J'ai tellement envie de toi depuis notre rencontre à la piscine !"
Elle prit Agnès par la main qui se laissa conduire comme une somnambule et se retrouva nue sur la couchette un peu  étroite de Rama ,toute imprègnée d'une grisante odeur de terre d'Afrique. Déjà,la noire s'était insinuée entre ses cuisses pour commencer à butiner sa vallée ! -"Tu sens le mâle !" murmura-t-elle entre deux coups de langue, alors que très vite les sens d'Agnès prenaient feu,
La poussant à s'écarteler davantage pour faciliter l'accès à sa vallée qui fut très vite noyée de désir. Rama buvait sa liqueur en fermant les yeux de plaisir et en glissant un puis deux doigts au coeur d'une intimité qui entrait en béance alors que son pouce tournait lentement sur une tigelle maintenant épanouie et avide de caresses.
Puis au bout d'un moment, voulant, aussi être caressée, elle se bascula tête-bêche et chevaucha le torse d'Agnès en plongeant sa tête dans son yoni, Mettant, ainsi son intimité aux grosses lèvres noires et fripées au contact avec le visage de sa partenaire qui se mit à la dévorer avec frénésie ! Elles sentaient l'une et l'autre monter par vagues les spasmes du plaisir. Et, soudain, le visage d'Agnès fut submergé et noyé par une cataracte tiède et translucide comme en font jaillir les femmes-fontaines lorsqu'elle jouissent !.
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22 décembre 2007 6 22 /12 /décembre /2007 08:38
Agnès était donc un point de mire pour la plupart des garçons. Ce qui provoqua immanquablement et comme prévu,la jalousie des copines noires ou basanées. Pourtant elle ne cherchait nullement à leur nuire, encore moins à leur faire concurrence. Mais le fait était là ! D'autant plus que Mahmoud, un géant Ivoirien, fort séduisant, avait jeté son dévolu sur elle, et faisait tout pour attirer son attention en espérant ses faveurs. A la grande fureur de Fatou, une Ivoirienne très séduisante, elle aussi, mais qui semblait être la compagne officielle de Mahmoud, du moins pendant les vacances.
Alors que, déçue par les médiocres prestations de Maurice dans l'exercice de ses fonctions de mâle, et fort troublée par l'épisode vécue dans les toilettes avec cette grande et belle noire qui se prénommait  Rama, elle hésitait à se tourner vers les garçons ou vers les filles pour  assouvir ses pulsions pendant ces vacances. Et pourquoi pas vers les deux à condition d'être discrète !

Comme la plupart des gens de race noire, Mahmoud avait le rythme dans le sang et Agnès était subjuguée de le voir évoluer, le soir, sur la piste de danse. En rêvant qu'il l'inviterait, même si la danse n'était pas son activité favorite.  Et il le fit, avec l'intention de la séduire en dépit de la présence de Fatou. Agnès en avait les jambes molles tellement elle était intimidée. Mais même si elle ne dansait que médiocrement, son partenaire avait un tel rythme qu'elle se laissait emporter et parvenait à harmoniser ses déhanchements avec les siens.
En même temps l'adrénaline montant dans ses veines, provoquait en elle, à la fois une sorte de griserie et un fourmillement envahissant ses reins  et inondant les méandres de sa vallée. Elle aurait voulu se coller à son cavalier et s'incruster en lui, mais ce genre de danse ne le permettait pas.

Maurice, assis à une table, devant un Coca , faisait grise mine, et au bout d'un moment, il se leva, vint prendre Agnès par la main et l'entraina hor de la piste, sous le regard narquois de Mahmoud et celui furibond de Fatou.
En sueur, Agnès voulut prendre une douche avant de dormir, mais Fatou l'avait suivie et lorsque'elle pénétra dans la cabine  la noire se rua sur elle avec l'intention de la rosser! Les cris de colère et de peur attirèrent Maurice qui se précipita pour séparer les combattantes.Il fut lacéré de coups de griffes par la panthère noire en furie !
Le calme revenu, mais le corps en feu, Agnès put prendre sa douche.Ses sens, pourtant, n'étaient pas apaisés et, revenue sous la tente elle y trouva un Maurice conquérant et fier de son acte de bravoure. Elle se jeta sur lui, sans attendre et n'eut pas assez de doigts ni de lèvres pour faire se dresser sa virilité devenue flamboyante.  Qu'elle aspira et engloutit jusqu'aux tréfonds d'elle-même en le chevauchant comme une cavale déchaînée. Ce qui provoqua en elle une série d'orgasmes successifs, tous plus violents les uns que les autres et dont elle ne se serait jamais crue capable !  Elle haletait, gémissait la tête rejetée en arrière et les yeux révulsés alors qu'elle sentait jaillir et fuser en elle  une fois, puis une autre encore la semence de Maurice devenu étalon. Les cris d'Agnès durent émouvoir ou déranger les voisins proches de leur petite tente !
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22 décembre 2007 6 22 /12 /décembre /2007 07:32
Elles ne sont pas encore bien vieilles, mais elles ont pris presque toute la place et ont obligé les petits commerçants à fermer boutique pour un grand nombre d'entre eux. Il s'agit, bien sûr des "grandes surfaces" 
Il est vrai qu'il est plus pratique pour la ménagère courante de trouver dans le même magasin à peu près tout ce dont elle peut avoir besoin, dans l'immédiat ou dans un avenir proche,mais ces grandes coquettes situées souvent à la périphérie des villes en profitent pour faire fortune en jouant sur les deux tableaux des prix !
D'un côté, la grande distriburion attire le chaland en pratiquant des prix attractifs, mais en offrant des  produits médiocres, ou carrément mauvais, pour des prix presque coûtant, qu'ils appellent pompeusement des"promotions", en se rattrapant sur celui des grandes marques nettement plus élevés.
Et de l'autre, elle tond à ras les producteurs en exigeant  d'eux des  prix de vente qui sont pratiquement "à perte"sous prétexte qu'ils achètent les produits en grande quantité et qu'ils pourront bénéficier de présentation avantageuses de ces produits en"tetes de gondoles"

En inaugurant le principe des grandes surfaces établies, à l'origine, dans des hangards, en plein champ, et vendant  avec une marge bénéficiaire très réduite, Edouard Leclerc, ce catholique pratiquant et breton, il y a environ soixante ans, faisait office de bienfaiteur de l'humanité ! Il a fait école sur le principe mais pas sur celui du bienfait pour l'humanité !
Et en cette période de Noël les dirigeants de la grande distribution doivent se frotter les mains en entendant tinter le bruit des tiroirs caisses, car c'est un véritable rush des consommateurs dans toutes ces grandes surfaces. Ils achètent à tire-larigo et éblouis par l'abondance et le luxe de certains produits oublient qu'il vaut mieux boire un bon vin de terroir qu'un Champagne médiocre ou carrément mauvais !

En ces temps de fêtes et de luxe déployé il est  fascinant de voir les réactions de ceux à qui la Fortune tombe sur la tête par un coup de chance qui peut s'appeler le Loto, par exemple. Les réactions sont d'ailleurs assez diverses, une fois  passé le véritable coup de massue morale que représente le passage de la roue de la fortune dans un foyer !
Il y a ceux qui, petites fourmis industrieuses enfouissent leur magot dans le secret d'un coffre de banque en songeant à demain et à leurs descendants, Et ceux qui, au contraire se lachent complètement et achètent des voitures de luxes à la pelle, des maisons de campagne avec piscine, font des voyages au bout du monde, ou autre extravagances qui font la jalousie de leurs voisins dès qu'ils sont au courant.
Mais le plus attendrissant est  de voir le comportement des gens d'un milieu modeste lorsqu'ils se trouvent invités dans des endroits ou le luxe et l'argent coulent à flots comme les palaces: Ils y sont d'abord éblouis et très vite ils s'y sentent gênés et" pas à leur place et ont plutôt envie de s'enfuir que de s'y prélasser ! Comme quoi la morale de La Fontaine reste vraie aujourd'hui: " Pour vivre heureux, vivons cachés!"
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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 07:49
Après des décennies d'un mode de gouvernement qui avait pour règles de prendre les Français pour des gamins irresponsables, de leur tapoter dans les mimines et d'en faire des éternels assistés,nos compatriotes sont devenues, pour beaucoup d'entre eux, des"chochotes"
Pour le voir il n'est que de se rendre dans un servive d'urgences des hopitaux pour constater qu'une foule s'y presse pour se faire soigner un ongle incarné, ou une égratignure ou une simple entorse. Embouteillant, ainsi des services déjà submergés et devant faire face à des malades ou des blessés ayant réellement  besoin  de soins pratiqués en urgence.

Cette manie de l'assistanat s'est ancrée dans le réflexe des citoyens dans tous les domaines, et chaque année ils réclament des aides chaque fois plus sophistiquées et nombreuses et qui coûtent de plus en plus cher à la communauté. A force de "prendre les gens pour des cons" et des irresponsables, beaucoup d'entre eux le sont devenus.!
Il n'est que de voir, aussi la ministre de l'Education Nationale concocter une nouvelle loi destinée à"entourer", guider les pauvres petits étudiants éperdus, pour leur expliquer quel genre de filière et de métier ils doivent choisir ! Comme si des garçons et des filles de plus de vingt ans n'étaient pas capables de penser par eux mêmes et de savoir quelles activités professionnelles ils veulent exercer ! A moins qu'ils ne choisissent les Facs pour continuer à ne rien faire, comme avant, étant logés, nourris, chauffés et argentés par des parents confits en tendresse et en dévouement pour leurs chérubins, mais leur rendant le plus mauvais service qu'on puise imaginer en en faisant des irresponsables et des chiffes molles!

Il est pourtant vrai que,nombre d'entre eux n'ayant pas su apprendre à lire, à écrire et à compter au moment de leur passage en sixième, à cause d'instituteurs débordés par des élèves dont les parents ne lisent ni n'écrivent le français, ont fait des études secondaires ou dominait l'absentéisme et le laisser aller.
Puis ils ont passé un bac qui est devenu une véritable foutaise de facilité, avec plus de soixante dix pour cent de reçus !  Celà pour leur donner l'impression qu'ils sont beaux, intelligents et  cultivés, alors qu'un grand nombre ne sont que des ânes bâtés, faisant dix fautes d'orthographe dans un texte de trois lignes et rédigés dans un charabia que ne renierait pas un zoulou égaré dansune fac !

Mais pour passer des nuits entières sur leurs consoles vidéo ou naviguer sur Internet, ils sont plus doués,.Encore que beaucoup de sites ne soient, une fois encore , que des"pièges à cons" faits pour arnaquer les internautes et leur piquer un maximum de fric ! Mais à propos de fric, que pensez vous de la réaction des avocats au moment où l'on veut éviter au gens en cours de divorce de passer par les tribunaux et de n'avoir besoin que d'un notaire pour se séparer ????
Drôle de monde où nous sommes, où les glaces fondent aux pôles, où les informaticiens sont devenus les maîtres du monde mais où tant de gens prennent encore les vessies pour des lanternes !
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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 06:34
Dans le groupe,Maurice avait beau faire le fanfaron et jouer les tombeurs, en réalité, s'il avait quelque expérience au beach-volley, il en avait beaucoup moins concernant le comportement sexuel des filles, les méandres de leur anatomie et leurs attentes en matière de caresses intimes.
Si Agnès n'était plus vierge, ce n'était pas à cause des garçons, mais en raison d'une sensualité devenue très intense au moment de sa puberté, qu'elle avait appris très tôt à calmer toute seule en y prenant un plaisir grandissant et renouvelé. Puis vint sa voisine de pupitre au collège, qui l'avait initiée aux joies lesbiennes, en insinuant, d'abord une main aux ongles rongés dans sa culotte tachée, puis en l'entrainant dans les toilettes pour des caresses partagées. Avant de l'inviter chez elle, pendant un week-end où ses parents étaient absents et où elles avaient passé une nuit entière, nues et enlacées dans le même lit !

A la piscine du camping, elle avait repéré une grande et belle noire aux seins triomphantset au pubis provoquant et lorsque leurs regards s'étaient croisés, elle avait deviné, chez elle, un trouble qui ressemblait beaucoup au sien.! La voyant se diriger vers les toilettes, après lui avoir fait un léger signe de tête, elle l'avait suivie et rejointe dans l'une des cabines où elle venait d'entrer en laissant la porte entrouverte. Elles s'étaient enlacées sans un mot, puis dénudées. Accroupie, Agnès avait plongé son visage dans la  forêt touffue de la noire, y débusquant une tigelle déjà  sortie de son abri, qu'elle avait butiné et pincé des lèvres jusqu'à ce que les doigts de sa partenaire griffant son crâne et un gémissement accompagant un tressautement du ventre lui indique qu'elle avait joui ! Relevée elles s'étaient embrassées avec voracité, puis elle avait senti les lèvres épaisses de la noire dévorer, à son tour, sa vallée devenue béante et inondée. Elle avait joui très fort avant de se séparer en se promettant de se revoir.

Mais elle ne voulait pas pour autant négliger Maurice et le soir venu encore toute épanouie par son aventure  africaine, elle avait dansé tendrement avec lui et après avoir bu quelques bières pour augmenter son émoi elle l'avait entrainé dans leur tente. Allongée sur son duvet, nue et offerte, elle l'avait attiré à elle après lui avoir  retiré son maillot. Contente de voir que leurs danses collées-derrées avaient fait leur effet et la virilité de Maurice lui avait sauté au visage avant qu'elle ne la guide vers sa vallée inondée !
Mais l'étreinte fut brève, car Maurice était sans expérience, et une fois logé dans le fourreau glissant,  presque tout de suite il avait  jailli en elle, avant qu'elle n'ait eu le temps de s'échauffer vraiment. Déçue elle s'était tournée sur le côté pour se faire monter elle-même jusqu'au nirvana, Tandis que Maurice contemplait, tout penaud, sa petite chose luisante redevenue molle et  pendouillante.

Dans le groupe de noirs et de maghrébins, il n'y avait, en dehors d'elle, qu"une seule fille à la peau blanche, Toutes les autres étant fortement teintées. Or les peaux très claires et les cheveux blonds sont toujours hautement appréciées au sein des ethnies africaines. Elle allait donc avoir de nombreux courtisans et sans doute susciter des jalousies!
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20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 09:01
Chômeur de longue durée et plutôt content de l'être, le gros Momo, vivait toujours en jogging taché et en charentaises. Très peu lavé, et rasé seulement le  dimanche pour aller jouer au tiercé avec l'argent qu'elle gagne, heure aorès heure.Et dont il pique de force une partie dans son porte-monnaie de plastic en la menaçant de coups. Disant qu'il va faire fortune et les emmener en vacances au Club à Tahiti !

                                                                                      ***
Au début, tout était beau. Il était jeune et n'avait pas sa répugnante moustache en forme de balais de cabinet nazi, mais de gros muscles et une"bonne situation" d'électricien. Ils habitait la même rue. Elle chez ses parents dans un pavillon en meulière. Lui dans un petit meublé,pour célibataire.
Ils avaient fait connaissance chez le boulanger. Il l'avait draguée, en lui parlant de vacances en mobil-home dans un camping de Saint Aygulf et elle s'était crue entraînée dans les méandres d'une série télévisée.
Partis en stop, en fait le mobil-home  était une petite tente, trop exigüe pour deux, mais qui,faciliterait les tendres rapprochements après l'animation et le bal du soir, arrosée de bière vite tiède sous ces latitudes.

La mer aussi était tiède. Les flonflons romantiques et Maurice était entreprenant et tendre, avec le sourire ravageur du séducteur de roman-photo.: -"Avec une nana comme çà, je vais me faire un bel été!" avait-il pensé.
Agnès n'avait pas la beauté d'une miss France,mais était pourtant aguichante pour une apprentie coiffeuse qu'elle avait été. Et rêvait, le soir, devant la télévision aux destins fabuleux des vendeuses devenues princesses ou milliardaires !
Physiquement elle était plutôt boulotte.Sur la plage ses rondeurs ne passaient pas inaperçues dans son deux pièces à fleurs. Blonde aux racines noires, cheveux frisottés, visage poupin, nez épaté et, surtout lèvres sensuellemnt ourlées ce qui avait beaucoup séduit Maurice plein d'arrière-pensées bien précises sur leur possible comportement ! Il se réjouisait, aussi, de couler trois semaines de vacances avec une compagne qui pourrait se présenter, avec quelques chances de succès au concours des tee-shirts mouillés.

Le premier soir, sous la tente, elle avait étalé son duvet aussi loin que possible de celui de Maurice et, au moment de dormir, avait gardé sa culotte de coton et son soutien-gorge de nylon:
-"Tu comprends, je ne suis pas habituée à dormir avec un garçon, çà m'intimide !"
-"On pourrait, quand même, faire un petit ccâlin !'
-"Non, pas ce soir, je suis indisposée et j'ai mal à la tête!'"
En réalité, elle avait un peu peur d'une si grande promiscuité avec un garçon, même si elle avait été élevée avec une soeur et deux frères dont la pudeur n'était pas le souci principal et qui se faisaient un malin plaisir de l'attirer dans le cabinet de toilette pour lui montre comment était constitué un garçon en plein épanouisemnt de sa virilité!
Sur la plage,ils avaient fait connaissance d'une bande de jeunes dont la dominante était noire et maghrébine, cin q garçons et cinq filles qui semblaient ne pas avoir peur des relation sexuelles de tous ordres..
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20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 08:02
Surtout en cette époque de fêtes et de Père Noël qui apporte des cadeaux,autrefois  il était question de Père Fouettard, de verges et autres grand méchant loup pour punir les enfants fautifs ou insupportables ! Les temps ont bien changé, ma bonne dame.
A force de démissionner de leurs prérogatives d'autorité sur les enfants et d'avoir banni les"pan pan cucu", mais aussi peut-être par culpabilité de ne pas s'occuper assez de leur progéniture pour cause d'éxcès de travail, les parents se sont laissés dominer par des hordes de moufflets braillards insolents capricieux et souvent inntenables!

Il n'est que de voir  dans les super-marchés, certains d'entre eux se rouler par  terre en hurlant comme si on les égorgeait parce que leur mère leur a refusé un Carembar ou une peluche. Et la mère de faire celle qui ne voit et n'entend rien, laissant son abominable rejeton ameuter le magasin entier, sans intervenir et prenant la mouche si quelqu'un le fait à sa place !,.
D'autres se comportent à la messe du dimanche (par exemple) comme s'ils étaient maître du terrain, remuant comme des diables dans leur boîte et faisant des réflexions tout haut sur leur voisins quand ils  n'en arrivent pas à se battre entre eux comme sur un champ de foire. Et là encore les parents n'intervenant pas et trouvant même drôles les gesticulations de leurs sales gamins !

A l'heure actuelle il existe chez les ados un mode de comportement qui consiste à éxiger: -" Je veux çà et tout de suite!", sinon je fais un malheur, ou un scandale ! Qu'il s'agisse d'une confiserie, d'un nounours d'un train électrique, d'une mobylette, de fringues, d'un portable, ou d'une console vidéo ! Et si les parents n'obeissent pas assez vite, certains de ces odieux moujingues vont jusqu'à frapper leur mère et bientôt aussi leur père pour les plus grands !

Moyennant quoi les malheureux parents se ruinent pour satisfaire les exigences de leurs chiards et dépensent beaucoup plus d'argent qu'ils n'en ont les moyens. Alors  on se serre la ceinture dès le quinze du mois pour acheter l'indispensable ou on fait appel à la banque alimentaire ou aux associations caritatives pour payer l'élecricité ou le loyer ou les dettes qui s'accumoncellent sur les comptes en banque .
Uniquement pour faire plaisir à leurs mômes ou simplement par peur de leur comportement en public ou en privé beaucoup d'ente eux vivent, ainsi, très au dessus de leurs moyens et dans la terreur des huissiers.

Souvent, ces odieux mouflets profitent de ce que leurs parents sont séparés pour faire du chantage sur l'un ou l'autre ou sur les deux pôur obtenir les objets de leur convoitise ! Et maintenat, on voit pire encore: Des adolescents qui trainent leurs parents devant les tribunaux pour obtenir une sorte de"pension alimentaire" parce qu'ils ont besoin de toujours plus de fric  pour payer le montant de leurs achats ou pire pour acheter de la drogue.
Avoir des enfants c'esr devenu l'horreur absolue pour certains parents qui ont oublié qu'au départ l'autorité est indispensable sur un enfant  dès le plus bas âge et qu'une bonne paire de claques ou un coup de pied au cul n'ont jamais fait de mal à un jeune ado récalcitrant !  Bravo les psy et à bons entendeurs salut !
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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 13:31
La journée n'en finissait pas de s'éterniser. Un à un les composants électroniques défilaient devant elle, à intrevalles réguliers, sur le tapis roulant automatique.
En blouse et Marie-Louise jaunes, finement gantée de blanc, elle insérait des puces électroniques dans leurs logements respectifs, et les verrouillait avant de fermer le couvercle.
Toujours les mêmes gestes, mécaniquement accomplis, dans le silence, rompu seulement par le ronronnement d'un moteur électrique. et la sourdine, intermittente, d'une musique de supermarché, soit-disant pour détendre les nerfs et diminuer le stress des intervenants.

D'un geste de l'avant bras, Agnès remonta une mêche rebelle qui lui retomberait dans les yeux dix secondes plus tard. Elle avait envie de fumer et pensait aux courses:
-"Il ne faut pas que j'oublie les courgettes pour le gratin, les croquettes pour Dick et le coton hydrophile."
Ces courses qu'elle devrait faire, après avoir couru jusqu'au métro, dès la fin du temps de travail, stridulée par la sonnerie de la libération.

Au moment de la halte du déjeûner, à la caféteria, elle avait écouté sans trop l'entendre dans le brouhaha, mais avec un certain trouble, sa copine Liliane. Qui lui rabâchait les mérites de sa dernière "copine" Lulu, rencontrée au bal du samedi. Avec qui elle avait dansé toute la nuit, avant de la ramener chez elle, pour une tendre partie de caresses intimes et réciproques. Avec passage obligé par les orteils moites dont elles étaient particulièrement friandes, toutes les deux !

Pendant ce récit, elle avait tout de même mangé, sans beaucoup d'appétit: Une salade composée, deux tranches de rosbif, pommes dauphines, et une orange, suivie d'un café et d'une cigarette dans la pièce-fumoir. le tout avec l'oeil rivé sur sa montre.
Depuis ce repas, pris à la sauvette, elle avait accompli des centaines de fois, les mêmes gestes, inlassablement, jusqu'à l'écoeurement , presque l'étourdissement. Comme hier et comme demain, jusqu'au prochain week-end, au prochain  pont, aux prochaines vacances et jusqu'à la retraite !

Mais en repensant au récit de Liliane, qui l'avait troublée plus qu'elle ne l'aurait crû. Et qui l'avait obligée, au moment de la pause, à  foncer aux toilettes pour se libérer de la tension qui pétillait dans ses reins, et au coeur de son intimité en béance. Avant de reprendre son travail, avec les jambes un peu molles!

Car il fallait bien vivre: Nourrir et habiller Joël et Marion, payer le loyer et les factures. sans compter sur Maurice, le gros tas de paresse moustachu qui lui servait de mari depuis dix ans.
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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 07:47
On en finit pas de s'indigner contre les errements des médias, sans que rien ne change dans ce domaine, parce que les pouvoirs publics ont PEUR d'être attaqués par lessyndicats et l'opinion publique pour atteinte à la sacro sainte liberté de la presse, Mais cette atteinte ce sont les médias eux-même qui la pratiquent ! En  n'informant  "le bon peuple" seulement de ce qu'ils veulent bien dire! Et, encore une fois, avec une seule et unique intention mercantile: Vendre du papier et des heures d'écoute. Autrement dit de l'Audimat, sur laquelle les annonceurs se ruent comme la pauvreté sur le monde ou la vérole sur le bas clergé breton pour savoir où et à quelle heure acheter ,à prix non plus d'or mais de diamants, les meilleurs moments pour diffuser leurs messages et leurs spots.
Le plus souvent insipides ou stupides mais là encore "matraqués" avec une telle insistance qu'il en devient presque impossible d'écouter sans piquer une crise de rage des stations radio comme Europe 1 ou RTL; C'est à devenir fou, à casser son poste, surtout lorsqu'ils sont encadrés par les ricanement de bidet fêlé d'un foutriquet à face de lune ou les " hein!" à répétitions d'un autre.
D'autant que les messages sont si nombreux et diffusés à une telle cadence que je défie l'auditeur moyen d'en retenir autre chose que des bribes. Et il en va de même pour les spots  télévisés dont on regarde les images distraitement, quand on les regarde, sans avoir la moindre souvenir, à terme, du produit à vendre et de sa marque!
Et entre nous soit dit,  la télé étant censée diffuser des images on se demande aussi pourquoi tant d'émissions ne nous donnent à voir que des gugusses assis autour d'une table à pérorer, alors que ce serait aussi bien sur  les ondes de la radio!

Pour en revenir à l'info, comme le dit Anne Roumanoff chaque Dimanche chez Drucker "ON NE NOUS DIT PÔ TOUT !" Et il s'est constitué une mafia de "branle-muzards", de pezzouilles, de scogneugneus, de rasent bitume, et de va-de-la-gueule, qui se sont arrogés le pouvoir d'informer en s'attribuant des salaires de nababs, non plutôt de princes règnants, et qui font la pluie et le beau temps sur ce qu'il convient de diffuser Malgré les ravages que celà peut faire en divulguant des informations, sur des évènements et des faits qui sont en cours d'élaboration ou de tractations. Et de ce qu'il convient de passer sous silence pour rendre service au petit copain qui l'aura souhaité!, Avec, bien entendu, la règle sacro sainte: "Toujours plus de sang, de misère et de sperme"!  Et tout celà en s'attribuant la notoriété des faits divulgués en se les attribuants comme s'ils en étaient les auteurs !

Ces gens là s'apparentent davantage à la race des vautours, des chacals, des hyènes en un mot descharognards qu'à des êtres humains dotés d'une déontologie, et d'un minimum de respect des autres alors que s'ils se trouvent pris, eux mêmes sous le feu des projecteurs, ils hurlent comme des putois à l'atteinte aux droits de l'homme et du citoyen, qu'ils ont, eux-mêmes piétinés quelques instants plus tôt dans leurs chroniques, leurs aricles et leurs élucubrations!  Il y a vraiment là de quoi piquer des coups de sang chaque jour en tournant un bouton, mais me direz vous, le tourner dans l'autre sens ou zapper est le privilège de celui qui écoute ou qui regarde sans faire comme celui des trois petits singes qui se bouche les yeux alors que ses deux frères se bouchent les oreilles ou les lèvres.!
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