S'indigner sur Internet de certains faits ou de certaines décisions prises, laisse les citoyens de marbre ou pétrifiés par l'indifférence! Mais qu'importe! Quand on apprend, par exemple que les Raminagrobis de prétoire, en la personnse d'une juge, viennent de prouver, une fois de plus, leur humeur inquisitrice exacerbée et souvent stupide en mettant Martine Aubry en examen pour une affaire d'amiante qui date d'il y a trente ans! Epoque où elle exerçait une responsabilité gouvernementale et où elle avait à gérer des décisions à propos des mises en garde sur les dangerosités de ce matériau! Alors qu'à l'époque, rien ni personne ne savait ou ne se souciait des ravages causés par l'amiante ! Même si quelques précurseurs s'en inquiétait déjà! Que de temps et d'argent perdus au Ministère de la Justice si les fonctionnaires se mettent à instruire des procédures au sujet de faits qui datent de si longtemps!!! Et les juges prononcer leurs verdicts quinze ans après qu'un crime ait été commis!
Et que d'argent perdu, également au sein de la Sécurité Sociale si les fonctionnaires (encore eux!) s'avèrent incapables de déceler et de réprimer les innombrables fraudes aux remboursements indus qui coûtent chaque année, quatre milliards d'euros au budget de l'Etat.
Même constattion si on aborde le sujet de ce qu'on peut appeler la"mendicité charitable" qui se caractérise par l'envoi aux particuliers d'un tsunami d'appels de fonds pour aider telle ou telle association charitable censée venir en aide à des laissés pour compte de la Sociétés! Ces appels de fonds, surtout en cette période, d'approche de Noël représentent jusqu'à quatre courriers PAR JOUR, de différentes origines, pour récolter de l'argent! Prend-on les citoyens moyens pour des héritiers de Crésus? Surtout que ces courriers, émanant d'une même association se suivent parfois à quelques jours de distance !
Encore un constat navrant que celui du déséquilibre entre le nombre de demandeurs d'emploi et celui des offres d'emploi! Certes émanant de secteurs de l'activité peu attractifs, pénibles à assumer et souvent très mal payés, mais quand on a des enfants à nourrir, des loyers à payer et des charges à assumer ne vaut-il pas mieux travailler dans le bâtiment ou dans la restauration que de s'inscrire au chômage? Non répondrez-vous car les salaires alloués à ces postes sont inférieurs au montant des allocations chômage!
Bon alors "si tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes" tirons l'échelle et n'en parlons plus!